Ariejan Korteweg innove aussi avec la blogosphère francophone: une rencontre conviviale serait bien en Hollande avec les Français connaissant un peu l'éthique...

Il a raison, Ariejan Korteweg, de se demander comment se positionne la France dans la mondialisation. La question est compleXe certes, car on ne sait pas toujours de quoi est faite la France et ses réseauX. C'est une société multiculturelle mais avec une très riche histoire qui traverse les frontières... jusqu'en Hollande. Ce couple franco-hollandais intrigue un peu, monsieur Alberti vient de raccrocher, il repart à Paris, il fait ses valises: qui fait quoi dans cette relation diplomatique et culturelle à l'Education dans la ligne qui nous intéresse ici auX questions essentielles que peuvent se poser les Européens? Laurent Alberti peut commenter en ligne aves son ordinateur avant de repartir pour Paris? Qui fait quoi dans les affaires culturelles faites d'élecronique culturelle? Ce genre de questions demandent des réponses, et on ne pourra pas y répondre tant que la diplomatie n'aura pas ouvert suffisamment grandes ses portes auX Français et Hollandais les plus honnêtes et intègres pour l'apéritif du 14 juillet par eXemple. En effet, comment comprendre la E-diplomatie dans la ou les lignes européennes qui nous intéressent ici? Frans Timmermans dans son meilleur Français pourrait organiser cette rencontre avec une connotation bruXelloise par eXemple. Ou monsieur Alberti avant de repartir pour Paris. Ce n'est qu'une suggestion, mais quand même, c'est une idée que l'on essaie de transmettre, via les voies de l'électronique européenne, auX Commissaires européens auX Directions intéressantes, à monsieur Alberti aussi. A celle du Dialogue social en toute loyauté incluse. Alors que la société des décideurs ne peut plus tout faire toute seule, le soutien des plus honnêtes et intègres citoyens, parfois des penseurs européens, serait et sera le bienvenu en innovant d'une façon équitable et loyale. Il peut arriver que les penseurs pensent en ligne l'Europe du bon sens. Avec bon sens peut-être, et d'une façon raisonnablement responsable, comme les philosophes l'ont bien décrit dans leurs ouvrages sur l'éthique morale et sociétale servant la société mieuX comprise de l'intérêt général et écologique aujourd'hui. Face auX ambitions des marchés et lobbies divers et variés.