zaterdag 13 mei 2017

Quel héritage européen?... Que transmettre auX jeunes en Europe afin qu'ils puissent mieuX s'investir dans la mondialisation?...

http://www.europanostra.org/our-work/policy/european-year-cultural-heritage

http://www.europanostra.org/contact-us:

Quels chemins de randonnée et pistes cyclables en Europe?

Comment bien marcher en Europe? Dans la bonne direction, tous ensemble. Avec une boussole et une éthique mieuX comprise de tous. La Revue des DeuX Mondes en parle d'ailleurs très bien. Ses mécènes sont prêts à s'investir et à investir leur argent correctement dans les projets éthiques et sociauX mieuX compris au XXIème siècle électronique. La Revue des DeuX Mondes parle de la redistribution des sous dans la mondialisation plus équitable et plus SMART aussi. C'est quoi l'optimisation fiscale?

Autre chose, le Portugal, la France, les USA et la Grande-Bretagne et l'Allemagne sont en ligne. Les chancelleries s'appellent, les ordinateurs parlent entre euX.

P.s: Bernard Guetta et Fouad Laroui se mêlent à la conversation. Luuk van Middelaar aussi. Avec Sylvain Ephimenco. En France, les journalistes néerlandais et les écrivains observent la relation franco-hollandaise: qui fait quoi? En passant par BruXelles et le LuXembourg.

Autre chose, Voltaire en de Fransche Verlichting et les postmodernes, un certain genre au XXIème siècle mieuX compris. En Hollande en tout cas. Et en France aussi en passant par BruXelles et le LuXXembourg. Antoine Compagnon commenterait depuis Amsterdam. Avec le professeur flamand bien-aimé, plongé dans l'interteXtualité littéraire anglo-saXonne. Parfois, un peu d'éthique aussi. Même anglo-saXonne... comprise dans le bon sens. Depuis les années 90 en tout cas. Qui a fait quoi?

P.s: Les OrientauX selon la littérature du XIXème siècle, sont-ils connectés à l'Internet? Quel Internet? Quelle bonne gouvernance pour l'Internet mieuX compris, innovant aussi un peu. Ce qui est normal. Une perspective néerlandaise maintenant: La famille royale hollandaise, se posant des questions aussi, téléphone à Erik Akerboom. Voulez-vous aller un peu enquêter là où il faut dans les grands ports et demander auX avions de moins survoler les villes, les habitants en ont assez de ce bruit, et des nuisances atmosphériques liées à une trop grande circulation des engins au-dessus des communes néerlandaises et flamandes, en tant que famille royale, nous devons les écouter. Nous leur devons notre légitimité. Et si nous ne nous impliquons pas plus dans l'éthique dans les affaires, les écrans pourraient nous faire remarquer que nous avons quelques obligations et des responsabilités évidemment, nous aussi. Il y a des questions d'impôts aussi qui reviennent régulièrement sur les écrans européens: qui paie ou ne paie pas correctement ses impôts? Les Princesses AAA soutiennent leurs parents... et l'éthique des SMARTphones et la Responsabilité Sociale des BIG Ones. Est-ce une fiction?

Noblesse&Royautés communique:

"A Zeist, la princesse Beatrix des Pays-Bas a participé à un séminaire sur les maladies musculaires."

"Au Concert Noble à BruXXXelles, la reine des Belges a prononcé un discours lors de la clôture du Printemps de la Philanthropie. Cette conférence européenne était organisée par la Fondation Roi Baudouin en vue de promouvoir la philanthropie dans notre société."

"Au Palais royal de BruXXelles, la princesse Astrid de Belgique a remis les priX scientifiques 2017."

"Pour le dîner donné par le gouvernement norvégien à l’Opéra d’Oslo en l’honneur des 80 ans du roi Harald et de la reine Sonja, les convives ont dégusté des mets auXX saveurs norvégiennes."

Où en sommes-nous au BénéluX, et en Europe... jusqu'en Norvège? Les comptes bancaires les plus confortables veulent parler, s'eXprimer librement euX aussi. EuX aussi ont droit à l'émancipation toute européenne. Bien comprise pour tous. Combien d'X pour mieuX penser tous ensemble dans la bonne direction avec la redistribution des richesses plus équitables en Europe en tout cas, mais ailleurs aussi? Jean-Marie Messier veut commenter également. Les fonds souverains norvégiens ont décidé de participer aussi à La Haye. En tout cas, financer l'apéritif avec la Shell. Et Schlumberger. Les frérots ici et là souhaitent participer également, ils ont gagné beaucoup (trop) d'argent sur le dos des (jeunes) consommateurs les plus vulnérables. Les Princesses AAA ont-elles le droit de se servir n'importe comment de l'ordinateur et des écrans à l'école? Comment s'organise l'enseignement à Wassenaar et à La Haye à l'heure des NTIC? Les puces dans les chambres des Princesses ont-elles le droit d'entrer? Les puces et chips ont-ils le droit d'entrer dans les chambres diverses? Dans la première chambre, des questions se posent, dans la deuXième aussi, dans la troisième également. Même dans les parlements et les assemblées. Le Conseil de l'Europe se remet en question, il appelle les Flamands. En Belgique flamande, c'est Christian van Thillo qui prend le téléphone, il possède la presse de qualité néerlandaise. Quelques sites du Telegraaf souhaitent interviewer les plus gros conglomérats médiatiques... au BénéluX en tout cas. Avec le droit luXembourgeois. Une répétition. Hilversum téléphone auX LuXembourgeois: Internet parle de nous. Sylvain Ephimenco se connecte aussi.

Et les Européens souhaitent un très bon quinquennat au nouveau président de la République Française. N'oubliez pas de contacter les Français dans la mondialisation et GOOGLE social Europe, ils pourront peut-être vous aider dans votre tâche. Comment comprendre l'Europe du bon sens tous ensemble?

Une perspective tunisienne pour le monde diplomatique... de Serge Halimi... Un peu d'humour pour se relaXer...

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Chez Gisèle Halimi, femme illustre, avocate et féministe raconta comment son traitement, au sein d'une famille juive tunisienne, fut moteur dans son émancipation (en pré-puberté, elle fera grève de la faim pour ne plus servir ses frères).

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Ses certitudes sont érigées en principe d’éducation. À cet égard, la seule différence entre une mère ashkénaze et une mère sépharade, c’est « Mange, mon fils, mange » versus « Monge, mon fils, monge ! »

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Le stéréotype de la mère juive se fond en l'occurrence avec celui de la mère pied-noir, utilisé par Guy Bedos.

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Gilles Achache, J’aurais tant voulu qu’il soit docteur ! - Toute la vérité sur les mères juives, Calmann-Levy, 1999

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in: https://fr.wikipedia.org/wiki/Mère_juive

https://he.wikipedia.org/wiki/%D7%90%D7%9E%D7%90_%D7%A4%D7%95%D7%9C%D7%A0%D7%99%D7%99%D7%94

Où en sommes-nous dans les familles du Nord africain jusqu'au Nord européen en passant par Londres? Se mettre d'accord sur un certain nombre de principes essentiels: qui dit quoi à qui? qui écrit quoi pour qui?

Valérie Peugeot est également chargée d'organiser la rencontre conviviale avec Jean-François Abramatic et quelques Européens intègres et honnêtes...

Il se trouve que Strasbourg et son Conseil de l'Europe a bien organisé les choses. Une première rencontre a déjà eu lieu entre ces acteurs intègres et honnêtes. On pu déjà échanger en REAL nos points de vue européens, le W3C pour prendre des notes, les télécommunications aussi.

Le droit d’eXpression réinvesti

par Valérie Peugeot

Il y a 11 ans, Transversales Science Culture s’élevait contre une approche techniciste et presse-bouton de la démocratie, dont les époux Toffler s’étaient fait les hérauts. Dix ans plus tard, l’état démocratique de l’Europe nous confirme dans cette position. Alors que l’Union européenne investit massivement dans la e-administration et les essais de vote électronique et/où en ligne, elle a, au moment du referendum, négligé l’essentiel : le processus démocratique.

En démocratie, le temps du vote est bien entendu structurant, mais moins que son amont, le débat démocratique. Le temps de l’expression des différences, du décryptage des options, de la construction d’une opinion étayée, du passage de l’impulsion et de l’émotion au véritable choix politique est déterminant. S’il n’est pas précédé d’un débat démocratique de qualité, le vote s’apparente plus à un abandon qu’à une délégation de pouvoir.

Ce qui importait, pour que les citoyens européens s’approprient enfin véritablement le projet européen, n’était pas tant la constitution elle-même et son approbation ou rejet en aval, que le processus constituant en amont. Seul un processus constituant authentique, porté par une Assemblée constituante élue spécifiquement pour cette tâche, au terme d’une campagne et donc d’un débat menés au plus près des citoyens, aurait pu garantir cette qualité démocratique.

Contrastant avec ce rendez-vous démocratique raté, les multiples cyberespaces d’échanges marquent la fin d’un droit de parole accordé. Les individus n’attendent plus qu’on leur concède un temps référendaire ou une tribune occasionnelle dans les médias pour s’exprimer, débattre, penser. Ils prennent d’assaut l’espace public, par le foisonnement de leurs blogs, sites collaboratifs, podcasts et autres formes d’expression individuelle ou collective. Dans sa grande majorité, ce nouvel élan ne se pense ni ne se veut de nature politique. Mais par sa simple existence, il brise le monopole de la parole instituée et donne au citoyen une parcelle du pouvoir que le modèle démocratique délégataire par nature ne peut lui concéder. De la même manière que les formes de liens sociaux qui se nouent dans le cyberespace ne se substituent pas aux rencontres humaines « en présentiel » mais interagissent avec elles, l’espace public d’expression vient s’articuler avec la démocratie représentative en la vivifiant.

Reste aujourd’hui à travailler autour de la question clé : que faire de ce droit d’expression réinvesti ? Comment passer de l’expression à l’action, comment mobiliser cet élan au service de mouvements transformateurs ? Il ne s’agit pas d’instrumentaliser ces nouvelles formes d’expression publique - bonne chance à ceux qui s’y essaieraient ! - mais d’ouvrir des chemins qui permettent à ceux qui le souhaitent d’aller plus loin. Ces nouvelles formes d’action doivent associer ceux qui ne peuvent ou ne veulent participer à l’espace public immatériel, afin d’éviter que deux narrations du monde ne se construisent en parallèle. Tou en encourageant et accompagnant ces mouvements, il faut éviter que ne se mette en place une nouvelle technocratie "de classe" portée par celles et ceux qui sont les plus avancés dans l’utilisation des technologies informationnelles.

Les citoyens qui s’expriment dans le cyberespace développent un regard au monde et une relation aux autres inédits : on ne rédige pas un blog, on n’anime pas un site collectif, comme on mène une discussion entre copains au café du coin. Gageons que la construction de la blogosphère constitue pour partie une sorte de mouvement d’auto-éducation populaire, condition sine qua non à la prise de responsabilité. Tous les responsables auX postes à responsabilités connaissant leur éthique et le bon sens de la morale du marketing en s'adressant auX consommateurs les plus vulnérables surtout: les enfants, les mineurs, les jeunes, les familles normales, les personnes les plus âgées de notre société de consommation, d'hyperconsommation, qui veut vendre des choses, parfois des choses un peu litigieuses, voire illicites ou portant à la polémique dans les foyers, auX familles, auX institutrices, auX parents et grands-parents responsables, auX mineurs aussi... surtout.

[...]

in: http://grit-transversales.org/article.php3?id_article=93

Madame Valérie Peugeot peut contacter Jean-François Abramatic de l'Inria et contacter ce blog. En la remerciant cordialement. A Sophia-Antipolis, on suit un peu les discussions en ligne. Où vont les boussoles européennes? Dans quelle direction?

Des parlementaires européen(ne)s pensent à se promener en Europe avec les citoyens européens désireuX de marcher, quel chemin choisir? Dans quelle direction? Guy Verhofstadt, Hans van Baalen et Daniel Cohen-Bendit se disent prêts au challenge européen proposé par... les Européens honnêtes et intègres: tous ensemble dans la même direction. Avec bon sens. Et l'éthique dans les affaires retrouvée.

P.s: La DG-Connect pourrait vouloir participer aussi. Les écrivains divers genres, directeurs de rédaction, ont publié une lettre à la Commission européenne: les Européens veulent du social bien compris, très bien compris à la Commission européenne et à La Haye, en tout cas à la DG-Connect.

"Les systèmes de connaissances" [& GOOGLE], Ed. HERMES, 160 p. ...

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Ook was hij patroon van de schilders.

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Un peu d'humour artisan: les artisans s'activent dans leurs ateliers. Même au XIXème siècle bien compris. Toujours la boussole en vue, la boussole éthique faite de philosophie morale comme l'enseigne les professeurs en philosophie morale et éthique au BénéluX. Même pour les parlementaires européens tentés par les nombreuX lobbies qui courent dans les couloirs des assemblées et des parlements... jusqu'au bureau de Frans Timmermans. Même dans les rues allemandes de la ville d'AiX-la-Chapelle. Les mamans peuvent fêter leur anniversaire en Allemagne, leur fils, fonctionnaire européen et ministre des Affaires étrangères avant cela, peut les y mener promener: Heerlen - Aken, la ligne est cyclable, la distance se fait en bus électrique aussi. Ils font quoi dans cette région européenne eXactement?

https://nl.wikipedia.org/wiki/Aken_(stad)
https://fr.wikipedia.org/wiki/AiX-la-Chapelle:

[...]

Paul Julius, baron von Reuter (1816-1899), journaliste et propriétaire de médias britannique d'origine allemande qui fonda la première Agence Reuters à AiX-la-Chapelle.

[...]

Qui fait quoi en Europe? Boris Johnson et David Cameron, mais aussi Nigel Farage pourraient se joindre à la marche, faite d'éthique et moralement acceptable si possible, organisée par les parlementaires européen(ne)s de la ALDE en tout cas. C'est quoi le libéralisme responsable? Les libérauX et l'éthique: un nouveau genre. Comme au XIXème siècle de W.J.F. Nuyens (1823-1894).

"RéseauX numériques : le renouveau du politique"... en avril 2007...

Une nouvelle organisation du pouvoir politique est en train d’émerger. Une forme inédite de démocratie s’invente sous nos yeux et nous devons participer activement à ce renouveau si nous voulons éloigner le risque de voir un jour apparaître un régime non démocratique.

Un nouveau rapport au pouvoir

Nous ne parlons pas ici d’e-démocratie ou d’e-gouvernement. Nous ne nous intéressons pas prioritairement au vote à distance ou aux services publics en ligne. Certes, il ne faut pas minimiser l’importance de la modernisation de ces services, car ils contribuent à redonner confiance en l’État. Mais nous parlons ici du pouvoir. Nous sommes convaincus que nos sociétés numériques produisent un autre rapport au pouvoir politique et que nous ne sommes qu’au début de cette nouvelle étape historique.

Notre système d’organisation démocratique du pouvoir est aujourd’hui remis en cause, sous le double impact d’une mondialisation libérale profondément inégalitaire et d’une révolution technologique sans véritable précédent. La première met à mal le rôle régulateur de l’Etat au service de l’intérêt général. La seconde questionne les valeurs et la place de l’humain sur terre, tout en donnant aux citoyens les moyens d’orienter leur destin.

De nouvelles formes du politique émergent, mais elles rencontrent de lourdes réticences, car elles remettent en cause des règles existantes de gouvernance et d’organisation du pouvoir. Cette mutation d’un système à un autre a des conséquences bien réelles et dangereuses qui obligent à l’action et à l’inventivité. Les nouveaux outils de communication, d’expression et d’action sont là. Ils correspondent aux besoins de l’action militante et politique.

Ces outils numériques bouleversent la relation entre citoyen et politique. L’exercice du pouvoir se répand, devient diffus et éclaté. Tout citoyen de la communauté est, dans l’absolu, détenteur d’une parcelle du pouvoir politique. Le numérique nous permet de revenir aux fondamentaux de la révolution des Lumières : la souveraineté appartient au peuple.

Tous les ingrédients d’une mutation profonde sont réunis, tout au moins dans nos sociétés numériques du Nord : un réseau omniprésent, un niveau d’éducation permettant la conception et le traitement de l’information, un accroissement des savoirs et expertises de toute nature et un nombre de citoyens connectés en croissance rapide et irréductible. De la combinaison de ces quatre éléments naît un nouveau rapport au pouvoir et potentiellement un nouveau système de régulation politique. Donc, quelque chose d’assez éloigné de nos systèmes actuels, où ceux qui détiennent le pouvoir tirent leur légitimité d’un vote et des capacités qu’on leur prête à traiter les lourdes questions auxquelles nos sociétés sont confrontées.

L’exercice du pouvoir politique deviendrait linéaire, sans rupture, sans lieu, sans espace attribué. Le peuple « éclairé » aurait potentiellement la capacité de participer au débat et à la décision politique. Sans moment déterminé (le calendrier électoral) et espace attribué (la circonscription et le bureau de vote), la démocratie deviendrait continue. L’utopie du pouvoir de tous pour tous et par tous est de nouveau à l’ordre du jour !

Cette « démocratie permanente » peut s’étendre à diverses échelles et modifier la cartographie des territoires politiques. Dans l’ancien système, les décisions étaient prises par des représentants, élus par une population inscrite en tant qu’électeurs sur un territoire délimité. Aujourd’hui, les frontières des territoires politiques éclatent et les représentants de ces territoires voient leur légitimité reculer en fonction de leur capacité à répondre aux besoins des populations.

Nous ne sommes qu’aux balbutiements de cette révolution du politique. Nous observons des tâtonnements et des expérimentations à divers niveaux, en particulier aux niveaux local et international. Dans ce bouillonnement de laboratoire du politique, quelque chose de neuf est en train d’émerger. À la base de ce renouveau, on trouve la participation.

La participation, vecteur de transformation sociale : l’apprentissage par le net

Ce que nous appelons « participation » est le fait, pour un individu ou un groupe, de prendre part à l’organisation de la cité - au sens de lieu de vie collective -, à la conception de cette organisation, à son contrôle et à sa mise en œuvre.

Cette forme de citoyenneté active a toujours été un exercice difficile. Passer de la sphère privée à la sphère publique n’est pas aisé. Il faut soit en avoir le goût et disposer d’une nature altruiste, soit en éprouver la nécessité. Dans les deux cas, cette « citoyenneté active » s’acquiert. Espérer que les habitants aient envie de participer au débat public et de devenir acteurs de leur propre devenir, a toujours été une utopie légère ; il y a une certaine naïveté à penser que les dispositifs proposés leur conviennent et qu’ils vont s’y engager. Car la participation politique n’est pas innée. Elle s’apprend. Et nous constatons que la pratique des réseaux numériques a des vertus pédagogiques.

Comme le souligne Michel Briand, maire adjoint de Brest, « l’expression citoyenne ne va pas de soi, elle implique aussi un parcours, un accompagnement, un regard critique, une reconnaissance individuelle et collective des personnes. Le chemin est long pour que l’expression citoyenne soit un droit effectif comme le vote. Un chemin qui passe d’abord par l’apprentissage, la formation à l’expression et par une mutation culturelle : l’intériorisation par le plus grand nombre du fait que cette expression est non seulement un droit mais aussi un ressort de transformation sociale [1]. »

La nouveauté est que téléphone mobile et Internet semblent participer activement à cette « éducation » à la participation. Les nouveaux réseaux numériques suscitent des sentiments d’appartenance à une communauté et un certain sens du collectif, en développant la connaissance et la curiosité, ou plus simplement l’envie de/du savoir. Sur les réseaux s’entremêlent de manière permanente la sphère privée et la sphère publique, entre intérêts individuels et action collective. Sur le net, les besoins de se connaître, d’échanger, la volonté de construire du collectif ou de « faire nombre » sont permanents. Or l’échange, l’information, la curiosité, la communauté sont les ingrédients indispensables de la participation.

La première qualité du Web est donc avant tout psychologique : il permet à tout le monde de prendre la parole. L’Internet est un média égalitaire même si sa pratique est tout autre. La participation passe par l’expression publique. Or, les formes possibles de ces prises de parole s’élargissent avec le numérique.

Des outils tel que le blog participent à une meilleure connaissance de soi, car l’écriture est révélatrice de sa propre pensée et permet de décrypter son environnement. Les forums de débats, les blogs, les messages instantanés pallient la carence de débat public. Ils produisent de l’interactivité, de la diversité de contenu, de la liberté de parole, et répondent aux besoins de communication et d’échanges sur les grands enjeux de nos sociétés, enjeux absents du débat politique actuel ou confisqués par quelques-uns.

Progressivement, des formes de communication nouvelles, invisibles à l’œil mais bien réelles, émergent sur ces réseaux. Par cette conjonction de l’affaiblissement du politique et de l’expansion des outils numériques, les citoyens interviennent dans le débat politique et prennent position sur la manière dont ils sont gouvernés. On voit se constituer des identités virtuelles de groupes militants et contestataires sur les réseaux.

Le Web a donc des vertus formatrices. Il effectue un lent et patient travail d’information et de prise de conscience. Il peut donner du sens à ces concepts abstraits que sont la société, la politique ou l’économie, en les contextualisant et en leur donnant un contenu concret. L’information circulant sur les réseaux suscite des sentiments de rage, de doute, de colère qui sont autant de terreaux favorables à l’action. Le net nourrit l’indignation indispensable à tout mouvement contestataire. Mais il peut aussi orienter l’initiative, permettre de trouver l’autre ou les autres qui pensent de manière similaire, de créer des communautés d’intérêt puis d’action. Et ainsi de construire le lien entre disposition individuelle et action collective. Le net produit un « être au monde » potentiellement politique, un « éveil », une politisation « décrite alternativement comme une conversion à un regard lucide sur le monde et comme la prise de conscience de la capacité à le changer [2]. »

Certes, on ne devient pas citoyen actif aussi facilement qu’on peut devenir blogueur. Les réseaux restent avant tout des outils de consommation, de services et, au mieux, d’accès à la connaissance. Ils sont encore rarement perçus comme leviers d’une citoyenneté active. Mais un changement s’opère sous nos yeux. Il semble en effet qu’un nombre croissant d’individus voient dans l’accès et l’usage des réseaux numériques des moyens pour résoudre des problèmes très concrets de leur quotidien.

Véronique Kleck

Extrait du livre : "Numérique & Cie - sociétés en réseaux et gouvernance », Ed Charles Léopold Meyer (38 rue Saint Sabin 75011 Paris), 2007, 237 pages, 21 euros. Préfacé par Manuel Castells

in: http://grit-transversales.org/article.php3?id_article=174

Paul Jorion a décidé d'organiser avec GOOGLE et ses plateformes une rencontre conviviale au Palais de la PaiX...

La blogosphère est-elle un espace public comme les autres ?

Le 26 avril 2006 - par Dominique Cardon

Sans doute faut-il se méfier de l’engouement actuel pour l’Internet politique. Après l’avoir souvent ignoré, beaucoup, sans plus de mesure, lui prête aujourd’hui des vertus qui risquent fort d’être illusoires. Dans un mouvement de balancier caractéristique des périodes de transition technologique, un nouveau média se voit brusquement doté de pouvoirs exorbitants susceptibles de lever les difficultés du présent : l’abstention, l’anémie du débat public, la faiblesse des engagements partisans, l’investissement sélectif dans la participation citoyenne, l’illisibilité de la décision publique, etc. Il est vrai que la mobilisation électronique autour du « non » au référendum sur la constitution européenne, l’usage intensif du Web par les militants altermondialistes ou les balbutiements de pratiques politiques numériques (blogs, mailing, adhésion en ligne, etc.) témoignent d’une insertion de plus en plus significative des médias électroniques dans la formation de l’espace public. Mais il va aussi sans dire que la « crise de la représentation » a des racines suffisamment profondes pour qu’il soit bien improbable qu’un nouvel outil de communication apporte, à lui seul, une solution aux difficultés de notre système de représentation. Le propre du débat sur le rôle des nouvelles technologies dans l’espace public est de présenter des oppositions, des concurrences et des effets de substitution quand ce sont plutôt les interdépendances, les entrelacements et les complémentarités qu’il faudrait mettre en avant. A cet égard, il est peu probable que l’Internet citoyen vienne supplanter les formes traditionnelles du débat démocratique, structuré par les rituels électoraux (élections, référendums), les logiques d’opinion (mesurées par sondages) ou l’organisation « professionnelle » d’une couverture médiatique du débat public. Les dispositifs de la « démocratie représentative » sont suffisamment installés aujourd’hui pour qu’il soit difficile de remettre en cause leur légitimité.

Ces réserves faites, il reste que les mobilisations ayant Internet pour support entretiennent une étroite correspondance avec les idéaux de démocratie directe. En effet, le fonctionnement, plus que la légitimité, de la démocratie représentative fait l’objet de critiques de plus en plus vives, qui préexistent très largement à la naissance de l’Internet citoyen. Mais une des caractéristiques de ces critiques réside dans le fait qu’elles revendiquent une transformation des processus attachés à la représentation politique : participation élargie aux profanes, enrichissement délibératif des débats, proximité avec les élus, transparence, ouverture du cercle de la décision, auto-organisation des acteurs de la société civile, etc. Or, l’imaginaire d’Internet contribue à revivifier et réactiver ces idéaux de démocratie directe, en les opposant à la grammaire représentative et délégataire de nos démocraties. Car à bien y regarder, les formes de représentation qui s’exercent au sein de l’ « Internet citoyen » sont très différentes de celles qui président à la démocratie représentative. La question de la représentativité des opinions n’a pas de sens sur Internet et il serait bien difficile de proposer des fondements numériques, géographiques ou sociaux à la mesure de telle ou telle prise de position. La question du vote est absente des pratiques des internautes, qui lui préfèrent généralement la formation de consensus. La séparation entre amateurs et professionnels, profanes et spécialistes, représentés et représentants, est fortement estompée dans la plupart des dispositifs d’expression sur Internet. La réputation et la notoriété sur Internet se construisent sur la base de l’audience et sont mesurés par l’ensemble des réseaux de contributeurs, commentateurs, évaluateurs et diffuseurs, qui se greffent à tel ou tel site, de sorte que la notoriété n’est jamais donnée (par un statut) mais acquise par un travail de conviction et d’intéressement. Enfin, l’Internet ne connaît pas les silencieux. Pour y être présent et reconnu, bref légitime, il faut agir, contribuer, écrire, recommander, répondre. L’espace public de l’Internet offre toujours une prime aux agissants sur les internautes passifs. D’où le risque de voir les écarts entre citoyenneté active et passive se creuser. Ces différentes caractéristiques de la participation sur Internet renvoient à un autre paradigme de la représentation politique, que l’on peut assimiler à la forme réseau et qui s’ancre sur l’idée d’une mobilisation volontaire de la société civile, moins préoccupée de représentativité que de convaincre de la justesse des arguments et des causes défendues. L’espace public traditionnel se trouve ainsi soumis à une tension critique exercée par le foisonnement de débats, des initiatives et des propos qui se sont construits, développés et diffusés dans l’Internet citoyen.

Cet enrichissement se manifeste notamment par l’élargissement du cercle des preneurs de parole, que permet Internet. Même si ce déplacement ne doit pas être surestimé, une ouverture nouvelle à l’expression publique d’acteurs non professionnels se réalise néanmoins à travers les sites d’auto-publication, les médias alternatifs et le développement d’une « blogosphère » journalistique et politique. Ceux-ci exercent un effet critique sur l’espace public traditionnel et mettent en tension au moins trois aspects des formats informationnels : l’affirmation subjective, le renforcement de l’expertise et la contrainte argumentative.

En premier lieu, on observe une part plus grande de subjectivité et d’expressivité dans les formats médiatiques : énonciation en première personne, investissement d’affects, vivacité des échanges et (parfois) des arguments. La composante numérique de l’espace public médiatique s’ouvre à de nouvelles formes d’échanges et « déformalise », dans une certaine mesure et dans des arènes spécifiques, le débat public. Il n’est qu’à observer le ton « personnel » emprunté par les quelques hommes politiques qui ont entrepris de tenir eux-mêmes un blog ou la différence entre les propos tenus par les journalistes dans leur blog et dans leurs articles. En second lieu, l’Internet a ouvert un espace pour des formes d’expertises publiques portées par des individus ou des collectifs de tous ordres. De sorte que, en contrepoint du renforcement de la subjectivité personnelle, l’espace public de l’Internet apporte aussi plus de factualité, d’informations et de vérifications. Une des particularités de la production proliférante d’informations sur les médias personnels de l’Internet est le principe d’auto-régulation collective qui l’organise. C’est en effet un nouveau modèle éditorial qui se fait jour, dans lequel le contrôle de la qualité de l’information n’est pas réalisé a priori par un système de sélection éditorial pyramidal et certifié mais par un contrôle a posteriori dans lequel la qualité des informations est principalement une conséquence du travail des lecteurs. En dernier lieu, ces espaces d’expression publique ouvrent aussi de nouveaux formats de discussion. Parce que l’information publiée est aussi, et surtout, une information commentée, la sphère publique de l’Internet permet un travail collectif de mise en débat d’argumentation, comme lors du débat sur le référendum portant sur le projet de constitution européenne.

in: http://grit-transversales.org/article.php3?id_article=100

P.s: Ce sont l'Alliance française et l'Institut Français avec GOOGLE et BILL, Melinda & Kids qui pourraient organiser l'évènement: la blogosphère européenne se rencontre à La Haye, une ville de PaiX. L'apéritif serait financé par la Shell et ses plus gros actionnaires. L'idée est-elle bonne? Les conseils de surveillance, même celui du journal Le Monde, seraient également invités.

Autre chose, au chapitre des questions essentielles:

Quel projet pour Internet à l’Ecole ?

Le 31 mai 2003 - par Bernard Benhamou

L’Internet à l’Ecole est aujourd’hui à la croisée des chemins. En effet les mutations technologiques, culturelles et industrielles de l’Internet, pourraient remettre en cause ses principes fondamentaux. Nous pourrions passer d’un Internet d’échange à un Internet de diffusion. Or c’est le principe d’échange qui est à l’origine même de la création et du succès de l’Internet. Face aux changements de l’Internet, l’Ecole doit à la fois tenter de lui donner du sens et permettre aux élèves d’en retirer des bénéfices scolaires. Pour y arriver l’Ecole doit permettre aux élèves de se former à devenir des citoyens/internautes actifs et pas seulement des téléspectateurs/consommateurs passifs.

C’est au travers de la réalisation de projets collaboratifs que nous pourrons développer cette culture citoyenne de l’Internet. A terme ces projets collaboratifs menés par l’ensemble des établissements pourront constituer des bases d’informations locales qui rassembleront de données à la fois géographiques, topographiques et historiques des villes, des départements et des régions. Les informations ainsi rassemblées pourront alors être mises en commun à l’échelle des académies et complétées par des établissements distants.

Un exemple de ce genre de projets collaboratifs sur Internet nous a été donné par nos voisins italiens lors de la constitution du site Histoire et Mémoire. Plus de 1000 lycées italiens ont ainsi participé à l’élaboration d’une grande base d’informations historiques sur la période pré et post-mussolinienne. Ce projet soutenu par la Présidence de la République et le Parlement italien a été réalisé en collaboration avec le journal La Repubblica. Rapidement ce projet éducatif est devenu le deuxième journal le plus lu sur Internet en Italie. Loin de n’être qu’un exercice " technique " ce projet a permis aux élèves des lycées italiens d’aller à la recherche de l’histoire de leur commune ou de leur région.

A l’opposé, la plupart des sites réalisés aujourd’hui par les établissements scolaires le sont de manière isolée. Le fait de structurer ces projets à l’échelon local, régional et national, pourra constituer une motivation supplémentaire pour l’ensemble des acteurs scolaire dans la réalisation de ces projets. L’un des avantages de ces projets sera aussi de permettre aux élèves d’entamer une recherche d’informations en dehors du cadre scolaire et ainsi promouvoir un dialogue intergénérationnel. En particulier lorsque ces projets auront trait à l’histoire, à la géographie ou au patrimoine local. Un autre avantage de ces bases d’informations de proximité est qu’elles pourront être déclinées sur l’ensemble des plateformes technologiques mobiles de géolocalisation. En effet, pour les citoyens, les systèmes d’information géographiques seront amenés à devenir à la fois des outils quotidiens et des aides à la prise de décisions locales.

A la logique " quantitative " des équipements technologiques, il convient aujourd’hui d’opposer une logique " qualitative " basée sur de nouveaux usages. Appréhender l’Internet comme une vaste source d’informations n’est désormais plus suffisant. Pour être à même de retirer des bénéfices scolaires, professionnels voire démocratiques, il nous faut passer à une autre étape du développement de l’Internet à l’Ecole. A l’instar du rapport à l’écriture, il devient nécessaire non plus simplement de lire mais aussi d’écrire avec le nouveau média pour être à même de le maîtriser. C’est ce que résume Ben Shneiderman en disant : " Il ne convient plus seulement d’apprendre à nos enfants à surfer sur Internet mais bien de leur apprendre à créer des vagues... ".

in: http://grit-transversales.org/article.php3?id_article=14

Les parlementaires européens: "Qu'est-ce que la démocratie participative?"... Au BénéluX aussi...

Qu’est-ce que la démocratie participative ?

Le 24 avril 2007 - par Philippe Merlant

Durant la révolution française, d’âpres débats opposaient les démocrates, nostalgiques de l’agora athénienne, et les tenants de la représentation, processus par lequel le peuple délègue sa souveraineté à des représentants. Notre démocratie représentative est le fruit d’un compromis entre ces deux conceptions, a priori opposées. Elle a, tant bien que mal, plutôt correctement fonctionné pendant deux siècles. Aujourd’hui, tout le monde s’accorde à reconnaître que ce modèle est en crise : d’abord, parce que, depuis la révolution individualiste, il devient très difficile de déléguer à quelqu’un d’autre ses opinions et son pouvoir de décision ; ensuite parce que, sociologiquement, l’écart ne cesse de se creuser entre la société politique (les représentants) et la société civile (les représentés).

La démocratie participative se veut une réponse à cette crise. En invitant les citoyens à participer plus directement aux décisions qui les concernent, on tente de combler un peu l’écart qui s’est creusé. L’un des exemples les plus significatifs est le budget participatif, inventé au début des années 90 à Porto Alegre et reproduit depuis dans de nombreuses villes brésiliennes. Mais aussi, plus près de nous, les conseils de quartier mis en place par certaines municipalités françaises.

Le problème, c’est que, très vite, des tensions surgissent entre les élus - qui se targuent de leur légitimité - et ces instances de participation - parfois plus dynamiques mais qui "ne représentent qu’elles mêmes". Pour contourner cette difficulté, on a tendance à privilégier une troisième voie : la démocratie délibérative. Il s’agit, cette fois, de mettre l’accent sur les conditions et la qualité du débat, afin de réussir à construire de l’intérêt général. Les conférences de citoyens et autres forums hybrides en offrent un bon exemple : on associe des citoyens - généralement tirés au sort - à la mise en place de politiques économiques ou de grands choix technologiques, en les formant et en les aidant à élaborer un point de vue commun sur le sujet. Très usités dans les pays scandinaves, ces outils tardent cependant à s’imposer en France.

(Philippe Merlant, extrait du livre de Jacques Robin & Laurence Baranski L’urgence de la métamorphose)

in: http://grit-transversales.org/article.php3?id_article=171

Paris reprend en 2005... avec La Haye en passant par Genève, Strasbourg, LuXembourg, BruXXelles...

L’Europe, la culture du compromis et le projet politique

Le 10 juillet 2005 - par Jean-Paul Karsenty

Les Français ont donc rejeté la communauté politique européenne qu’il leur était proposé de créer. "On vous donne un texte fondateur et, en échange, vous renoncez à votre parole trop plurielle, à votre goût du politique" : et si c’était à ce troc-là qu’ils venaient de dire "Non" ? Nostalgie d’une parole perdue ? Révolte contre une parole confisquée ? Pourtant, à chercher à donner forme à cette... "logique-là" à l’extérieur de l’hexagone, ils risquent de devoir faire face à un choix bien paradoxal : ou bien "vaincre en Europe" en forçant à l’extension d’une telle révolte ou bien "convaincre en Europe" du bien-fondé de cette révolte, et, dans ce second cas, ils devront alors emprunter aux méthodes de la culture qu’ils viennent (inconsciemment ?) de rejeter, celle qui ne confisque pas la parole des autres, celle qui appelle donc au... compromis politique ! Que les Néerlandais aient fait de même en accroissant le nombre de raisons contradictoires à ce rejet ne fait-il pas que renforcer la pertinence du principe de réalité que représente la culture du compromis lorsqu’il s’agit d’Europe, mais d’un compromis qui, toutefois, sache ne pas abandonner l’envie et la substance du projet politique ?

Le problème de l’approfondissement démocratique reste donc entier, et, en particulier celui qui concerne l’élaboration, la mise en œuvre et le contrôle des choix scientifiques et techniques d’intérêt général. Saura-t-on donc, en effet, "politiser" quelque peu les orientations qui concernent les recherches, qu’elles soient relatives, par exemple, au niveau nanométrique, à la numérisation des patrimoines de connaissance, aux biosciences et aux biotechnologies en solidarité avec les Suds, à la brevetabilité des logiciels,... ? Et comment articuler les différentes légitimités d’intervention à ces fins-là : celles des acteurs directs de la recherche et de l’innovation avec celles du Parlement européen, des Parlements nationaux (démocratie représentative) et avec celles des forces civiles et civiques de nos sociétés (démocratie participative),... ? En outre, quel rôle renouvelé pour la Commission ? Voilà quelques questions, parmi bien d’autres, qui appellent un "débat citoyen" que nous souhaitons nourrir dans cette lettre-ci.

Et si les mois qui venaient, et dont chacun-e admet aujourd’hui qu’il serait plus pertinent et urgent de les consacrer à réfléchir ensemble plutôt qu’à décider séparément, étaient utilisés à chercher comment un tel goût rémanent pour la parole perdue pourrait servir à contribuer à l’esquisse d’un nécessaire projet politique commun à notre Union ?

in: http://grit-transversales.org/article.php3?id_article=105

P.s: Il se trouve, et on se demande un peu pourquoi, que les Français et les Hollandais, ensemble, un hasard intéressant, dire non à LA Constitution. Aujourd'hui, en 2017, on peut reprendre et rechercher cette Constitution avec les plus intègres et les plus honnêtes européens si possible.

On n'oubliera pas de demander auX autorités allemandes et à leurs familles d'artiste du XIXème siècle ce qu'ils en pensent de cette Europe mieuX pensée, bien pensée avec une boussole aussi. La ligne Paris - Berlin - La Haye, BruXelles au milieu, est intéressante, les historiographes s'y intéressent aussi.

Sur un autre lobby: "L'Invasion pharmaceutique" de Jean-Pierre Dupuy et Serge Karsenty...

Le bonjour à l'autre monsieur Karsenty de chez TECHNOLOGOS et du CNRS. Comment allez-vous Jean-Paul Karsenty? Suivez-vous ce que la blogosphère de la grande famille de Paul Jorion écrit en ligne au XXIème siècle fait de progrès... éthique si possible, et responsables évidemment.

http://grit-transversales.org/auteur.php3?id_auteur=41

"Système de la peinture" par Marcelin Pleynet...

Pour comprendre les média, par M. McLuhan: quelle éthique et quels droits et devoirs pour les média européens?

Les média dans les chambres: qui fait quoi? Les chambres se concertent, les téléspectateurs parlent de nous dans les chambres. En tout cas au BénéluX. Que faut-il répondre à GOOGLE? GOOGLE social Europe, une des branches de GOOGLE, est une plateforme dont le but est de retrouver le sens de l'éthique et de l'honnêteté sur ce marché unique européen, où les teXtes juridiques devraient mieuX s'accorder... selon LA Constitution qui sera reprise par les Européens, les plus intègres si possible. Un genre aussi. Un certain genre attaché à l'éthique et à la Responsabilité Sociale des Entreprises et des systèmes financiers. La ville de La Haye, ville de PaiX et de Justice internationale pour tous, se propose pour accueillir tous les acteurs intéressés par ce genre de questions. Les penseurs et essayistes les plus intéressants et productifs sont également invités dit la Fondation Carnegie. C'est l'Institut Français qui est également chargé, avec GOOGLE, de prendre les inscriptions. La fortune du philanthrope Carnegie écossais finance beaucoup de choses au BénéluX. Tout comme celle de BILL, Melinda & Kids et quelques multinationales, les plus grosses au monde parfois. Même à La Haye pour entretenir les jardins et le Palais de la PaiX. La visite se fait en vélo aussi, la marche est rafraîchissante et instructive pour mieuX comprendre les enjeuX européens, la promenade est belle... jusqu'à Scheveningen et sa promenade européenne. Des juristes internationauX ici et là pour eXpliquer les choses comme dans Internet of Things (IoT). D'autres parleront des priorités essentielles dans les questions essentielles liées auX média justement dans les chambres diverses. Quels genres de contenus eXactement pour les mineurs, la jeunesse, les familles? Quels médiacodes pour qui? Les juristes strasbourgeois pour commenter les teXtes et les articles avec bon sens afin d'éviter les amalgames possibles dans les différents genres de concepts abordés... jusque dans le Parlement européen. Avec les parlementaires européens soumis à certains genres de lobbies. Quels lobbies eXactement?

Autre chose:

http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/05/12/auX-etats-unis-des-cafes-debranchent-le-wi-fi-pour-que-leurs-clients-se-parlent_5127048_4832693.html

Joël de Rosnay, "Le Macroscope"... Collection Points, "Civilisation", Ed. du Seuil... De la publicité en plus...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Macroscope: c'est quoi un ordinateur?

Les AAArtisans éthiques s'emparent du Web de GOOGLE... Avec GOOGLE...

GOOGLE pour organiser les rencontres conviviales nouveaux genres à La Haye? C'est quoi la démocratie européenne mieuX comprise par l'éthique dans les affaires? Avec les concepts essentiels mieuX définis aussi... même à Strasbourg. Le W3C participerait aussi. En tout cas, Jean-François Abramatic, Paul Jorion et Valérie Peugeot, quelques parlementaires européens, quelques responsables, quelques citoyens, quelques penseurs, quelques essayistes et juristes. Tim Berners-Lee (W3C) pourrait vouloir participer auX discussions essentielles en Europe en tout cas. Même Joël de Rosnay et... TECHNOLOGOS peut-être... avec les ouvrages de Jacques Ellul et La Convivialité (1973). Même Philippe Breton sur la communication éthique et honnête en ligne, mais à La Haye aussi. Les Commissaires européens et leurs Directions se disent intéressés tout comme le Conseil de l'Europe basé à Strasbourg aussi. Comment bien et correctement innover au XXIème siècles avec les nouvelles technologies mieuX comprises?

Pierre Rosanvallon: "Installations contemporaines ou eXpression artistique?"...

InstAAAllAAAtions contemporAAAines et l'éthique dans les AAAffAAAires: est-ce postmoderne? Une fiction ou une non-fiction made by GOOGLE?

RRI... Cordis... Subventions européennes... Horizon 2020... L'éthique dans les affaires se confirme au BénéluX...

C'est quoi la Recherche et l'Innovation technologique postmoderne mieuX comprise par les philosophes en philosophie morale de l'éthique dans les affaires responsables face à la société des citoyens-consommateurs, parfois vulnérables, comme la faune et la flore, la nature en général faite de culture(s)? En Hollande, des cultures en tous genres. Erik Akerboom réunit ses équipes: cherchons dans le Brabant... jusqu'en Belgique en tout cas; les citoyens nous disent qu'ils y déversent des choses [chimiques] dans l'eau des lacs, parfois des gaz toXiques dans l'atmosphère aussi a dit la presse. En effet, la presse et les maires concernés en parlent de plus en plus, GOOGLE reprend pour les équipes concernées et pour Erik Akerboom, chargé de faire bien son travail. Il s'agit de mettre des caméras et des systèmes électroniques auX bons endroits, là où il faut évidemment. Le Brabant est concerné... jusqu'en Belgique et plus loin encore parait-il. Les grands ports aussi... jusqu'à Anvers, dans les cartons d'ananas, pas que des ananas a encore dit la presse: qui fait quoi dans ce secteur d'activité mondialisée?

vrijdag 12 mei 2017

La Neutralité du Net en question: l'éthique dans les affaires s'affirme à La Haye, une ville de PaiX et de Justice pour tous...

Quel est le rôle de la Justice internationale à La Haye eXactement? Une justice, a dit son porte-parole, qui est évolutive tout comme ses compétences. Il faudrait juste se mettre un peu d'accord dans la mondialisation harmonisée et respectueuse des puissances dans un monde multipolaire. Les parlementaires européens en discutaient justement à Amsterdam d'une façon innovante l'autre jour. Tout comme la question du SWIFT: c'est quoi le SWIFT dans les transactions financières en tous genres?

https://www.swift.com/contact-us

Big Data in LuXembourg.

Autre chose: les conglomérats d'Hilversum et médiatiques sous protection luXembourgeoise, France24 commente.

Les recruteurs et les investisseurs s'interrogent: les cours de la bourse vont-ils tenir encore longtemps? Où pourraient aller les capitauX? Dans quels secteurs faits d'éthique servant la société, l'harmonisation mieuX comprise de la Justice européenne et internationale également, l'intérêt général, les droits et les devoirs des hommes, des femmes et des enfants, de la jeunesse, de la nature, de la faune et de la flore et de l'Internet des réseauX éthiques, les entrepreneurs corrects et intègres, honnêtes si possible?

Quelle bonne gouvernance pour l'Internet européen en tout cas? L'Internet européen se cherchant des protecteurs intègres et honnêtes, conscients des enjeuX et des questions essentielles, quelques magistrats et juristes internationauX pourraient y travailler aussi, les plus honnêtes.

Autre chose, Vivendi de Jean-Marie Messier communique dans Le Figaro:

Évaluée à 4 milliards d'euros, l'opération doit permettre au groupe, présent dans les médias, les contenus et l'entertainment et disposant de partenariats capitalistiques et stratégiques dans les télécoms, de créer de la valeur en s'adjoignant l'expertise d‘Havas dans la connaissance des clients et l'exploitation de la data.

[...]

Bonjour, combien vaut vos DATA?

GOOGLE communique:

"Cette start-up française organise des stages intensifs de code pour apprendre les fondamentauX du HTML et du CSS."(source: Le Figaro)

En message codé: où faut-il payer correctement ses impôts quand on fait beaucoup de profits et bénéfices depuis longtemps déjà?

Autre chose sur une culture et industrie particulières: Omgevingsdienst Midden- en West-Brabant, Waterschappen, les produits chimiques et les cannettes de boissons énergisantes, les perturbateurs endocriniens, la presse sont questionnés. C'est Christian van Thillo qui mène l'enquête en personne... avec les maires des communes concernées du Brabant brabançon. En Norvège, ils ont décidé d'enquêter aussi, les citoyens leur demandent leurs avis: qui est responsable de quoi dans une société bien dirigée... par BruXelles parfois? Ou Strasbourg? La Turquie, toujours dans la presse de Christian van Thillo, demande des eXplications auX autorités. Qui fait quoi dans les ambassades? La diplomatie européenne se remet en question, elle cherche l'éthique dans les affaires diverses, et cherche à harmoniser les choses, les teXtes, les perspectives, les intérêts, les coopérations mieuX pensées, l'intégrité et toutes les qualités qu'il faut pour être un bon diplomate dans un monde global et respectueuX des autres puissances et de la Justice évidemment... pour tous. Une certaine forme d'égalité bien comprise aujourd'hui. Que dit LA Constitution européenne en 2017? Quels points essentiels travailler tous ensemble dans la même bonne direction? En reprenant les bons teXtes faits d'interteXtualité dans les bibliothèques juridiques en tout cas. Même à Paris, ou en Suisse, à Genève. Quelles archives consulter? Que racontent celles de La Haye?

http://www.volkskrant.nl/opinie/is-een-andere-vorm-van-kapitalisme-mogelijk~a4493566

Autre chose: qui a vraiment droit à la retraite?...

...

Les plus gros fonds de pension du monde, celui de la ville des mineurs dans le Limbourg, il s'en passe des choses dans le Limbourg, toutes sortes de choses avec toutes sortes de hauts fonctionnaires aussi, commente. Des fonds de pension avec énormément de responsabilités. Des fonctionnaires même à BruXelles ou à Strasbourg. A quelles transactions financières penser eXactement?

Et le SWIFT, comme France 24 en parle si joliement, à point nommer d'ailleurs?

https://nl.wikipedia.org/wiki/Society_for_Worldwide_Interbank_Financial_Telecommunication

Les médias commencent à en parler, il était temps.

...

P.s: En espérant que la République en marche va remettre un peu d'ordre ici et là en Europe. Même l'Institut Français en Hollande le dit, tout comme les ambassades américaine, britannique et française, mais allemande aussi, toutes les chancelleries basées à La Haye, la ville de tous les possibles qui attend de réunir toutes les diplomaties, responsables et entrepreneurs sociauX, même notre ami blogueur Paul Jorion, tous honnêtes et intègres évidemment.

C'est l'Institut Français avec la commune de La Haye et la Fondation Carnegie qui sont chargés d'organiser la/les rencontres conviviales innovantes du XXIème siècle européen bien compris, celui qui RESPECTE les autres grandes puissances dans un monde multipolaire. Les citoyens européens participant un peu plus aujourd'hui, grâce auX machines qui encapacitent un peu grâce à... GOOGLE. BILL, Melinda & Kids pourraient participer financièrement en finançant l'apéritif en tout cas et commentant par-ci, par-là. Une eXplication de teXte américaine pour les Européens.

http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/05/11/une-multinationale-au-service-de-son-territoire_5125977_3232.html, sur les multinationales bénévoles qui attendent un peu les mécènes les plus riches de la planète pour un apéritif haguenois bien mérité. France 24 sera là aussi avec ses jolies presentatrices qui disent de drôles de choses parfois, avec des images violentes dans les foyers quand les bébés zappent encore parfois. Et on repart sur les polémiques médiatiques du moment: quelle justice internationale pour les eXcès des gens des médias, présentatrices mignonnes compris? France 24 peut commenter... en ligne. Quelle éthique pour les médias européens? Une répétition lancinante avec Sylvain Ephimenco du Trouw.nl de Christian van Thillo de la Belgique, où on a fui les impôts, pour commenter en ligne aussi. Qui fait quoi dans la ligne magique Pays-Bas-Belgique-LuXembourg-Suisse-France-Afrique du Nord?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Society_for_Worldwide_Interbank_Financial_Telecommunication

Quel contrôle pour tout ce monde médiatico-politico-financier? Les citoyens honnêtes et intègres se posent parfois ce genre de question.

Vos commentaires sont les bienvenus. Même les présentatrices de France24 ont droit à la libre eXpression.

Autre chose, vue par la presse, sur la bonne gouvernance de l'Internet en Europe en tout cas:

http://www.lemonde.fr/piXels/article/2017/05/11/aux-etats-unis-le-debat-sur-la-neutralite-du-net-provoque-une-guerre-des-commentaires_5126124_4408996.html

Les Hollandaises et monsieur Roberto Viola de la DG-Connect , https://ec.europa.eu/info/persons/director-general-roberto-viola_en, et les parlementaires du parlement européen qui travaillent les questions essentielles peuvent commenter en ligne.

http://ec.europa.eu/transparencyinitiative/meetings/meeting.do?host=aae7124c-b839-4139-9ffe-ad5660fe9404... IBM s'empresse dans les couloirs de la Commission européenne.

Tags: European telecoms framework - Industry 4.0 - IoT - Data Flows - KPN - youth protection, consumers protection, Justice, etcetera, data economy package, ongoing assessment of platforms and competitiveness in the mobile economy, ethics, TRADE&TAXES, CSR, RSE, codes of conduct, AT&T, Inc. (AT&T, IBM, Microsoft, patents, European Electronic Communications Code, Roaming, NN, Philips-Santé numérique, European Association of Research and Technology Organisations (EARTO), avec la Suisse, le Canada, la Turquie, la Grande-Bretagne en Europe, GOOGLE social Europe, etcetera.

Que faire de la diffusion de la violence, du discours de haine, du seXisme, de la pornographie dans les chambres des consommateurs les plus vulnérables, même des pères de famille d'ailleurs... à protéger aussi des dérives multiples au XXIème siècle. C'est quoi la morale dans les écoles? Et l'instruction civique pour tous en Europe? A Amsterdam, des caméras partout filment.

Où en sommes-nous

Autre chose au pays des contrôleurs financiers et des assurances:

[...]

Delta Lloyd kreeg het na de kredietcrisis van 2008 vaak aan de stok met De Nederlandsche Bank (DNB). De toezichthouder op de verzekeringssector was erg kritisch over het beleid van het bedrijf, dat voor de kredietcrisis zijn marktaandeel wist te vergroten door zijn polishouders hoge beleggingsrendementen te garanderen.

[...]

in: http://www.volkskrant.nl/economie/grootste-overname-in-verzekeringswereld-nn-neemt-delta-lloyd-over~a4438946

Les assurances, les assureurs, les zorgverzekeraars et la crise de 2008: où en est-on depuis? Le système financier fonctionne-t-il encore convenablement après les remous provoqués par la crise de 2008?

http://www.volkskrant.nl/opinie/rekent-belgie-of-nederland-zich-rijk-aan-fortis~a4493378

http://www.volkskrant.nl/opinie/is-op-financiele-markten-sprake-van-stilte-voor-de-storm~a4494151

Les partis politiques se réunissent à Bruxelles: tout va bien?

C'est quoi çà dans la Constitution?... Encore des questions essentielles en tous genres... Même pour la ALDE...

Zedelijkheidswetgeving.

Que faut-il transmettre auX enfants? Quelles valeurs et quels principes essentiels pour les enfants et les écoliers dans les écoles? Quels livres pour la jeunesse? Parce que finalement, on pourrait tout à imaginer les enfants relire les bons livres... avec de belles histoires qui protègent l'innocence des enfants et qui protègent la famille. Ce qui est un peu normal en fait. Les institutrices peuvent commenter en ligne, leurs commentaires sont les bienvenus afin de ne pas trop faire dans les dérives sectaires ou communautaristes, devenues un peu trop eXplicites dans les établissements scolaires et en ligne à l'adresse des mineurs et de la jeunesse, mais dans la presse aussi. Depuis des années maintenant. Quelle changement de paradigme serait nécessaire en Europe? Quelles harmonisation des intérêts afin d'aller tous ensemble vers la protection de l'intérêt général mondial? Les politiques peuvent vouloir s'eXprimer librement en ligne, pendant ce temps, les Néerlandais attendent la formation du gouvernement plus écologique. Le CDA - qui fait quoi au CDA eXactement depuis des années? - n'a qu'à bien démocratiquement se plier à la volonté des jeunes et moins jeunes qui ont voté massivement pour la protection de la nature. Et la diminution des gaz toXiques dans l'atmosphère ainsi que l'interdiction de déverser des substances chimiques dans les ruisseauX du Brabant en tout cas. La presse en parle, les maires des communes concernées aussi, les parlementaires néerlandaises aussi, même à la ALDE. Avec des parlementaires se promenant dans toute l'Europe. Guy Verhofstadt ou Hans van Baalen peuvent en témoigner. Les Néerlandais n'ont pas toujours apprécié ce genre de promenade. GOOGLE reprend ce qu'il entendit dire ici et là.

Quels principes essentiels dans les Constitutions? quelles questions prioritaires? Des questions essentielles au chapitre du Zorgplicht pour les ministres et les parlementaires européens aussi. Quels devoirs pour les responsables et chargés de famille... avec beaucoup de responsabilités, c'est euX aussi qui doivent acheter les écrans imposés par l'enseignement, et payer l'assureur au cas où l'ordinateur et le SMARTphone ne marcheraient plus? Même France 24 en a parlé. Les Europhiles aime l'Europe du bon sens en marche sur le bon chemin, et le font savoir, ici et là. Même auX parlementaires européens néerlandaises.

Comment lutter contre les nuisances des industries pétro-chimiques?...

Prendre le vélo. Ou le bus électrique. Et sortir les enfants et les papas sans écran.

Transparantie-financieel-toezicht... Un lecteur propose... GOOGLE reprend...

Sur la transparence du contrôle financier et fiscal: quel est l'état du système financier et fiscal? quelles Autorités pour commenter? quels BIG entrepreneurs, conseils d'administration, holdings ou private equities ou fonds de pension pour témoigner en ligne? quels ministères et quelles commissions en revenant un peu en arrière? quelles enquêtes parlementaires par eXemple? quels rapports? quels articles de presse? quels reportages TV? quels débats télévisés?

Autre chose sur l'industrie électronique du High-Tech dans les chambres des enfants et des mineurs, la presse en a parlé, GOOGLE reprend:

Les successeurs des célèbres XboX 360, Nintendo Wii et PS3 sont-ils vraiment indispensables ? Petit tour d'horizon des forces et des faiblesses.
PS4
Design et hardware
Côté format, la PS4 n'est pas vraiment différente de sa devancière, la PS3 (27,5 x 5,3 x 30,5 cm). Son design rectiligne, par contre, contraste furieusement avec les lignes tout en douceur de l'ancienne PS3. Les accessoires fournis à l'achat d'une PS4 sont les suivants : câble HDMI, casque, manette, câble USB et câble d'alimentation. La caméra - la réponse de Sony au succès du capteur Kinect de la XboX - n'est par contre pas comprise dans le pack et est vendue séparément au priX de 59,99 €.
La PS4 dispose d'un disque dur de 500 GB, d'un lecteur Blu-ray et d'une conneXion Wi-Fi. Il s'agit en réalité d'un ordinateur très puissant, avec une console capable de grandes performances graphiques. Dommage qu'il n'eXiste pas, actuellement, de jeuX utilisant cette puissance de manière optimale. Dernier point très important : les jeuX des anciennes consoles Playstation ne sont plus compatibles !
Installation
L'installation de la console est relativement simple. Une mise à jour de 300 MB est disponible, mais son téléchargement n'est pas obligatoire. Après l'installation, la console peut fonctionner sans problème sans internet, même si les fonctions ne sont alors pas toutes disponibles.
Encore un changement par rapport aux anciennes consoles : les jeuX doivent désormais être installés avant de pouvoir y jouer. Cela ne pose heureusement pas trop de problèmes grâce à la puissance de la console. L'installation prend environ une minute.
Interface et manette
Le système d'eXploitation de la PS4 est très simple, mais peut-être aussi trop limité. Un point négatif est assurément le manque de possibilités avancées de streaming multimédia. Impossible, par eXemple, d'écouter un CD audio sur la PS4 !
La manette Dualshock 4 de la PS4 a cette fois fait l'objet d'une attention toute particulière et présente de nombreuses améliorations bienvenues. Elle est ainsi plus ergonomique et son nouveau design favorise une meilleure prise en main. Elle est aussi désormais pourvue d'un petit pavé tactile (env. 5 x 3 cm) à l'avant ainsi que d'un petit haut-parleur intégré et d'un connecteur compatible avec n'importe quel téléphone casque ou des écouteurs. Les boutons ‘Select’ et ‘Start’ ont été rebaptisés respectivement ‘Share’ et ‘Option’. Le bouton ‘Share’ permet, comme son nom l’indique, de partager des vidéos sur Facebook ou sur le Réseau PlayStation. Enfin, la manette est équipée d'une barre lumineuse qui, en association avec la caméra PlayStation, est capable de reconnaître les joueurs. Autant l'avouer, nous ne sommes pas fans de cette nouveauté. La lumière réfléchit dans l'écran et cette fonction réduit la durée d’autonomie de la batterie. Il n'eXiste malheureusement pas d'option pour désactiver cette fonction.
http://www.test-achats.be/hightech/internet/dossier/XboX-one---ps4---wii-u

Encore sur l'industrie dite créative...

...

La blogosphère est une grande famille honnête et intègre évidemment. Et c'est GOOGLE qui le dit. Même à Dublin. Même l'ami B-NL, Paul Jorion, à l'Université Libre de Bruxelles, lors de la projection du film sur la crise des subprimes.

...

Un lecteur y revient, GOOGLE aussi, sa branche sociale européenne... Les parlementaires européens essaient de comprendre...

Over schadelijke producten in speelgoedzaken:

[...]

Voor sommige chemicaliën geldt ‘’recht op informatie’’. Dat betekend dat de fabrikant binnen 45 dagen moet antwoorden of de stof in het bewuste speelgoed zit. Dit geldt echter maar voor een beperkte soort chemicaliën.

[...]

Veel fabrikanten bieden echter al een ‘’ ecologische’’ speelgoed/ verzorgingsproducten lijn aan. Het boycotten van dit soort producten door het niet te kopen is natuurlijk ook een manier om ervoor te zorgen dat de fabrikanten er iets aan gaan doen!

in: http://anurati.com/651/schadelijke-stoffen-in-alledaagse-producten

http://www.veiligheid.nl/tips-en-advies/speelgoed

http://www.trouw.nl/tr/nl/5009/Archief/article/detail/3062667/2011/12/03/Schadelijk-speelgoed.dhtml:

[...]

Hier valt niet grappig over te doen. Kinderen en baby's zijn veel kwetsbaarder dan volwassenen. Ze hebben een snellere stofwisseling, een dunnere huid, halen sneller adem en hun zenuwstelsel, immuunsysteem en organen zijn volop in ontwikkeling, dus schadelijke stoffen doen bij hen veel meer kwaad dan bij ons.

Wat moet je met die kennis? Een paar tips: het Europese veiligheidskeurmerk CE functioneert niet goed, dus zoek het GS- of TÜV-label of het wereldwijde Eco-Tex Standard 100 Keurmerk. Was speelgoed, knuffels, poppen voor gebruik af of uit. Koop onbewerkt, onbeschilderd, massief hout. Let op de aanduiding: vrij van schadelijke stoffen. Vertrouw op je neus: nare lucht of juist geparfumeerd? Niet kopen. Voelt plastic kleverig of de knuffel statisch? Niet goed. Vermijd speelgoed op batterijen, vooral voor kleine kinderen. Kies voor kwaliteit bij bekende winkels, veel grote merken hebben hun leven gebeterd. Behalve Ravensburger, zegt de organisatie Women in Europe for a common future (WECF). In alle puzzels voor kinderen onder de drie jaar, die door deze club onderzocht werden, is formaldehyde aangetroffen.

[...]


Un lecteur lit, on reprend ce billet:

Pour les dirigeants de la planète qui lisent l'Internet... et qui cherchent des idées... Au chapitre comment faire pour bien faire?... Sur les holdings dans le jouet et les produits s'adressant auX jeunes... et auX familles. Pour l'Arrondissementsparket, pour la Justice à La Haye.

[...]

Les ouvrages de Pierre Rosanvallon ont été traduits en 22 langues (allemand, anglais, arabe, chinois, espagnol, finnois, grec, hongrois, italien, japonais, polonais, portugais, roumain, russe, slovène, suédois, turc, ukrainien) et édités dans 26 pays (Source : Catalogue de la Bibliothèque générale du Collège de France, 2014 ).

Hierarchie des salaires et lutte des classes, Cerf, 1972. Publié sous le pseudonyme Pierre Ranval pour échapper à l'interdiction d'écriture pendant son service militaire13.
L'Âge de l'autogestion, Le Seuil, coll. Points politique, 1976, 246 p.
Pour une nouvelle culture politique (avec Patrick Viveret), Le Seuil, coll. Intervention, 1977.
Le Capitalisme utopique. Histoire de l'idée de marché, Le Seuil, coll. Sociologie politique, 1979 ; coll. Points Politique, no 134, 1989 (sous le titre Le Libéralisme économique) ; nouvelle édition sous le titre initial, Points Essais, no 385, 1999.
La Crise de l'État-providence, Le Seuil, 1981 ; Coll. Points Politique, 1984 ; Points Essais, no 243, 1992.
Misère de l’économie, Le Seuil, 1983.
Le Moment Guizot, Gallimard, Bibliothèque des sciences humaines, 1985.
La Question syndicale. Histoire et avenir d'une forme sociale, Calmann-Lévy, coll. Liberté de l'esprit, 1988 ; Nouvelle édition, coll. Pluriel, 1990 et 1998.
La République du centre. La fin de l’exception française, avec François Furet et Jacques Julliard, Calmann-Lévy, coll. « Liberté de l’esprit », 1988, 1994, 182 pp., ISBN 270211752X ; nouvelle édition, Hachette, « Pluriel », 1989, 224 pp., ISBN 978-2-01-015380-8.
L'État en France de 1789 à nos jours, Le Seuil, L'Univers historique, 1990 ; coll. Points Histoire, 1993 et 1998.
Le Sacre du citoyen. Histoire du suffrage universel en France, Gallimard, Bibliothèque des histoires, 1992 ; Folio-Histoire, 2001.
La Monarchie impossible. Histoire des Chartes de 1814 et 1830, Fayard, Histoire des constitutions de la France, 1994.
Le Nouvel Âge des inégalités (avec Jean-Paul Fitoussi), Le Seuil, 1996 ; Points Essais, no 376, 1998.
La nouvelle question sociale. Repenser l'État-providence, Le Seuil, 1995. Coll. Points essais, 1998 (2 éditions), ISBN 2-02-022030-X
Le Peuple introuvable. Histoire de la représentation démocratique en France, Gallimard, Bibliothèque des histoires, 1998 ; Folio-Histoire, 2002.
La Démocratie inachevée. Histoire de la souveraineté du peuple en France, Gallimard, Bibliothèque des histoires, 2000, Folio Histoire 2003
Extraits téléchargables
Pour une histoire conceptuelle du politique, Le Seuil, 2003
Le Modèle politique français. La société civile contre le jacobinisme de 1789 à nos jours, Le Seuil, 2004 ; Points-Histoire, no 354, 2006.
La contre-démocratie. La politique à l'âge de la défiance, Seuil, 2006 ; Points-Essais, no 598, 2008. ISBN 978-2-02-088443-3"
Transcription d'une interview de Pierre Rosanvallon sur France culture à propos de ce livre
La Légitimité démocratique. Impartialité, réflexivité, proximité, Le Seuil, 2008; Points Essais ISBN 978-2-7578-1788-9
La Société des égaux, Le Seuil, 2011.
Le parlement des invisibles ( Manifeste pour "raconter la vie"), Paris: Seuil 2014, ISBN 2370210168

[...]

in: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Rosanvallon

Où en sommes-nous? Et si Pierre Rosanvallon acceptait de venir à La Haye, en zone internationale, au Palais de la PaiX, eXposer son véritable programme auX Européens intéressés?

http://leblogdelaneezelblog.blogspot.nl/2015/03/pour-les-dirigeants-de-la-planete-qui.html

P.s: Ici, on met les choses en relief dans l'aXe franco-hollandais en tout cas. En passant par BruXelles, voire Strasbourg.

http://www.test-achats.be/hightech/internet/dossier/XboX-one---ps4---wii-u-vraiment-indispensables?

in: http://leblogdelaneezelblog.blogspot.nl/2015/04/wetboek-van-strafrecht-en-consumenten.html

"L'éthique et la philosophie du management" Pierre-Yves Monteil...

Quelle éthique? Une répétition pour les managers. Ou les PDG. Ou les conseils d'administration. Chez les investisseurs et les actionnaires aussi. Les fonds de pension et l'éthique dans les affaires: est-ce une répétition?

L'Europe et ses priorités essentielles... C'est quoi?... C'est par eXemple...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Union_française_pour_le_sauvetage_de_l'enfance_et_de_la_jeunesse

https://www.editions-eres.com/ouvrage/4058/petite-enfance-les-dangers-des-ecrans:

Télévision, tablettes, téléphones : nos tout-petits passeraient entre 6 et 12 heures devant les écrans avant l’âge de 4 ans ! Cette exposition massive a un impact évident sur leur développement psychomoteur et celui de leur cerveau : elle entraîne des troubles des apprentissages, du comportement et des relations, qui ressemblent étrangement à ceux des troubles du spectre autistique. L’augmentation exponentielle des diagnostics d’autisme s’expliquerait-elle par une surconsommation d’écrans à un âge précoce ? C’est ce que pensent certains pédiatres, pédopsychiatres et enseignants qui tirent la sonnette d’alarme face à ce problème de santé publique. Un numéro à lire de toute urgence.

[...]

Quelle politique face auX écrans trop actifs et présents, devenus trop nombreuX dans les écoles et dans l'intimité des familles? Et dans les consciences, avec risque, sans vouloir trop dramatiser, de dérives diverses. Même trop communautaristes, consuméristes, et sectaires même peut-être. Qu'en pensez-vous? Même à Hilversum avec son droit luXembourgeois.

La Société de Gens de Lettres...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pseudonyme

http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:52001DC0366...

[...]

94. Tout commentaire doit être envoyé par écrit, avant le 31 décembre 2001, à l'adresse suivante:

Commission européenne Consultation sur le Livre vert sur la responsabilité sociale des entreprises Rue de la Loi/Wetstraat 200 B - 1049 Bruxelles/Brussel

CSR@CEC.EU.INT


ANNEXE

Concepts

- Investissement engagé ou solidaire: soutien d'une cause ou activité particulière par le biais d'un investissement destiné à son financement. Contrairement aux donateurs, les investisseurs engagés veulent récupérer leur investissement initial, par le biais soit de paiements (pour les prêts), soit de transactions (pour les actions).

- Code de conduite: déclaration officielle des valeurs et pratiques commerciales d'une entreprise et, parfois, de ses fournisseurs. Un code énonce des normes minimales et atteste de l'engagement pris par l'entreprise de les observer et de les faire observer par ses contractants, sous-traitants, fournisseurs et concessionnaires. Ce peut être un document extrêmement élaboré exigeant le respect de normes précises et prévoyant un mécanisme coercitif complexe.

- Citoyenneté d'entreprise: gestion de la totalité des relations existant entre une entreprise et ses communautés d'accueil à l'échelon local, national et mondial.

- Gouvernance d'entreprise: ensemble de relations entre la direction d'une entreprise, son conseil d'administration, ses actionnaires et les autres parties prenantes. La gouvernance d'entreprise fournit également le cadre au sein duquel sont fixés les objectifs de l'entreprise et définis les moyens de les atteindre et de surveiller les performances. (Code OCDE - 1999)

- Éco-efficacité: concept selon lequel une amélioration de l'utilisation des ressources peut limiter une dégradation de l'environnement et réduire les coûts.

- Éco-audit: application de critères environnementaux, non financiers, à une décision d'investissement.

- Évaluation de l'impact environnemental: analyse de l'impact d'un projet ou d'une opération d'une entreprise sur l'environnement.

- Audit éthique: application de critères éthiques, non financiers, à une décision d'investissement.

- Sélection éthique: prise en compte ou exclusion d'actions dans un portefeuille d'investissement sur des bases éthiques, sociales ou écologiques.

- Commerce éthique: entend élever les conditions de travail sur les grandes chaînes de production au niveau de normes minimales fondamentales et éliminer les formes les plus dures d'exploitation de la main-d'oeuvre, telles que le travail des enfants, le travail forcé ou les ateliers clandestins. Les critères des labels se fondent généralement sur les conventions fondamentales de l'OIT.

- Commerce équitable: se définit comme une solution de remplacement au commerce international traditionnel. Il s'agit d'un partenariat commercial promouvant un développement durable des producteurs exclus ou défavorisés en améliorant leurs conditions d'échanges et en misant sur la sensibilisation et les campagnes d'information. Les critères appliqués aux produits du commerce équitable varient, mais portent généralement sur des points tels que la garantie des prix, une rétribution préalable et le paiement direct aux producteurs ou à leurs coopératives.

- Droits et devoirs de l'homme: les droits et devoirs de l'homme reposent sur le principe selon lequel la reconnaissance de la dignité intrinsèque et de l'égalité et l'inaliénabilité des droits de tous les membres de la famille humaine constitue la base de la liberté, la justice et la paix dans le monde. Ils sont définis dans la Déclaration universelle des droits et devoirs de l'homme (1948). Au niveau européen, l'article 6 du traité sur l'Union européenne réaffirme que l'Union européenne "est fondée sur les principes de la liberté, de la démocratie, du respect des droits et devoirs de l'homme et des libertés fondamentales, ainsi que de l'État de droit, principes qui sont communs aux États membres." De plus, la Convention Européenne des Droits et devoirs de l'Homme adoptée par le Conseil de L'Europe est juridiquement contraignante dans tous les États Membres. Enfin, la Charte européenne des droits fondamentaux adoptée à Nice en décembre 2000 est un instrument favorisant le respect des droits et devoirs fondamentauX par les institutions européennes et les États membres dans leur action au titre de la législation communautaire.

- Surveillance: processus de collecte régulière d'informations visant à contrôler des performances à l'aune de certains critères.

- Entreprise responsable: concept des Nations Unies reconnaissant que les entreprises ont un rôle à jouer dans l'obtention d'un développement durable et qu'elles peuvent gérer leurs opérations de manière à stimuler la croissance économique et renforcer la compétitivité tout en garantissant la protection de l'environnement et en promouvant leur responsabilité sociale.

- Activisme actionnarial: volonté des actionnaires d'améliorer le comportement éthique, social et/ou écologique d'une entreprise en favorisant le dialogue, en eXerçant des pressions, en soutenant une gestion responsable et en votant auX assemblées générales annuelles.

- Audit social: évaluation systématique de l'impact social d'une entreprise par rapport à certaines normes et attentes.

- Capital social: ensemble des valeurs communes et relations de confiance au sein d'une communauté. Le capital social constitue le préalable indispensable à la coopération et l'organisation d'activités humaines, y compris dans le monde des affaires. Le capital social peut être transformé, consommé et reconstitué, comme le capital financier.

- Évaluation de l'impact social: analyse systématique de l'impact d'un projet ou d'une opération d'une entreprise sur la situation sociale et culturelle des communautés concernées.

- Label social: mots ou symboles apposés sur un produit dont le but est d'influer sur la décision d'achat des consommateurs en apportant une garantie sur l'impact social et éthique d'un processus commercial sur les autres parties prenantes concernées

- Rapport social: document présentant les résultats d'une évaluation de l'impact social.

- Partie prenante: personne, communauté ou organisation influant sur les opérations d'une entreprise ou concernées par celles-ci. Les parties prenantes peuvent être internes (salariés par exemple) ou externes (clients, fournisseurs, actionnaires, financiers, communauté locale, etc.).

- Norme: ensemble de procédures, pratiques ou spécifications bénéficiant d'une large reconnaissance.

- Triple approche: conception selon laquelle les performances globales d'une entreprise doivent être mesurées en fonction de sa contribution combinée à la prospérité économique, à la qualité de l'environnement et au capital social.

- Vérification: certification par un auditeur externe de la validité, de la pertinence et de l'exhaustivité de la comptabilité, des rapports ou déclarations d'une entreprise.

Liens internet utiles

Organisations internationales

* United Nations Global Compact (http://www.unglobalcompact.org/): code de conduite à l'intention des grandes entreprises lancé par Kofi Annan, le secrétaire général des Nations Unies, en l'an 2000. Les 9 principes des Nations Unies pour les entreprises multinationales et transnationales reconnaissent diverses dispositions relatives aux droits de l'homme, au droit du travail/des travailleurs et au droit de l'environnement.

* Programme de recherche des Nations Unies sur la responsabilité sociale des entreprises (http://www.unrisd.org/engindex/research/busrep.htm): projet visant à promouvoir la recherche et le dialogue sur les enjeux de la responsabilité sociale et environnementale des entreprises dans les pays en voie de développement.

* Déclaration de principes tripartite sur les entreprises multinationales et la politique sociale (http://www.ilo.org/public/english/employment/multi/tridecl/index.htm)

* Base de données de l'OIT sur les entreprises et les initiatives sociales (http://oracle02.ilo.org:6060/vpi/vpisearch.first-p_lang=fr): base de données sur les entreprises et les initiatives sociales; contient des informations exhaustives sur les initiatives du secteur privé portant sur les conditions de travail et les conditions sociales observées sur les lieux de travail et dans l'environnement de l'entreprise.

* Principes directeurs de l'OCDE à l'intention des entreprises multinationales (http://www.oecd.org/daf/investment/guidelines/indexf.htm): recommandations aux entreprises formulées par les gouvernements des pays membres de l'OCDE ainsi que par l'Argentine, le Brésil et le Chili, et portant sur les enjeux de la responsabilité sociale des entreprises, des relations professionnelles à la concurrence en passant par la fiscalité et la corruption.

* Principes de l'OCDE relatifs au gouvernement d'entreprise (http://www.oecd.org/daf/governance/principes.htm): normes et lignes directrices concernant les droits des actionnaires et d'autres enjeux de la gouvernance (1999)

Institutions de l'Union européenne

* Page web sur la responsabilité sociale des entreprises de la DG Emploi et affaires sociales (http://europa.eu.int/comm/employment_social/soc-dial/csr/csr_index.htm)

* Page Web sur la responsabilité sociale des entreprises de la DG Commerce et principes directeurs de l'OCDE à l'intention des entreprises multinationales (http://www.europa.eu.int/comm/trade/miti/invest/oecd.htm)

* Page Web du Secrétariat général sur le développement durable (http://www.europa.int/comm/environment/eussd/index.htm)

* Page Web de la DG Environnement présentant le 6ème programme d'action 2001-2010 de la Communauté en faveur de l'environnement "Notre avenir, notre choix" (http://europa.eu.int/comm/environment/newprg/index.htm)

* Site Web de la DG Environnement décrivant la Politique intégrée des produits (PIP) (http://europa.eu.int/comm/environment/ipp/home.htm)

Organisations pluripartites

* Centre de Copenhague (http://www.copenhagencentre.org/): institution internationale autonome établie par le gouvernement danois en 1998 pour encourager les partenariats volontaires entre le gouvernement et les entreprises en vue de promouvoir la cohésion sociale.

* Business Partners for Development (http://www.bpdweb.org/): réseau international informel réunissant des représentants du monde des entreprises, du secteur gouvernemental et de la société civile, dont l'objectif est de promouvoir de par le monde des exemples de partenariats tripartites en faveur du développement social et économique.

* CERES (http://www.ceres.org/): association à but non lucratif regroupant des investisseurs, des fonds de pension publics, des syndicats et des groupes d'intérêt publics travaillant en collaboration avec les entreprises pour soutenir conjointement dans le monde entier la responsabilité des entreprises dans le domaine de la protection de l'environnement.

* Le site Business and Sustainable Development (BSD) (www.iisd.ca) de l'International Institute for Sustainable Development est une source détaillée d'informations sur le développement durable à l'intention du secteur privé.

* Tomorrow: The Sustainable Business Toolkit (www.tomorrow-web.com): site contenant, pour les entreprises, les informations les plus récentes au niveau mondial sur l'environnement, des liens vers des rapports d'entreprises sur l'environnement et d'autres informations intéressantes.

* Sustainable Business.com (www.sustainablebusiness.com): site détaillé contenant des ressources utiles pour tous ceux intéressés par les activités économiques soutenant le développement durable.

Conception des produits et exploitation efficace des ressources

* The Centre for Sustainable Design (www.cfsd.org.uk): facilite les débats et les recherches sur l'éco-conception et d'autres considérations plus vastes liées au développement durable dans l'élaboration des produits et services.

* Working Group on Sustainable Product Design, UNEP (http://unep.frw.uva.nl/): recherche sur les produits et services de développement durable, dont une base de données de produits et services.

* The Rocky Mountain Institute (www.rmi.org)- les créateurs du "facteur 4" et du "capitalisme naturel".

* Greening of Industry (www.greeningofindustry.org): réseau international et institut stratégique de recherche axé sur les thèmes de l'industrie, l'environnement et la société.

Organisations d'entreprises

* WorldCSR (http://www.worldcsr.com): portail commun reliant les sites Web de grandes organisations d'entreprises s'intéressant à la responsabilité sociale.

* CSREurope (http://www.ebnsc.org/): réseau européen d'entreprises membres lancé en 1996 à la suite de la déclaration européenne des entreprises contre l'exclusion sociale, rédigée à l'initiative de Jacques Delors, ancien président de la Commission européenne, et de 20 grands groupes.

* Des organisations nationales d'entreprises promouvant au niveau national, régional et local la responsabilité sociale existent en Belgique; Finlande; France; Grèce; Irlande; Italie ; aux Pays-Bas; au Portugal; en Suède et au RU.

* Social Venture Network (SBN) Europe: réseau d'employeurs et de grandes entreprises engagés en faveur de l'action sociale et la protection de l'environnement

* Fondation européenne pour la gestion de la qualité (EFQM) (http://www.efqm.org/): organisation à but non lucratif soutenue par la Commission européenne dont l'objectif est d'appuyer une amélioration de la qualité vis-à-vis de la satisfaction de la clientèle, la satisfaction des salariés, l'impact sur la société et les résultats des entreprises.

* Business Impact Taskforce (http://www.business-impact.org/): taskforce créée en 1998 pour fournir une référence sur les arguments commerciaux, les bonnes pratiques et les méthodes de mesure portant sur tous les aspects de la responsabilité sociale des entreprises.

* Conference Board (http://www.conference-board.org/): réseau d'entreprises membres et de recherche visant à renforcer l'initiative entreprenariale et la contribution des entreprises à la société.

* International Business Leaders Forum (IBLF) (http://www.csrforum.com/): organisation internationale à but non lucratif créée en 1990 pour promouvoir des pratiques responsables des entreprises bénéficiant à la fois à ces dernières et à la société et contribuant à un développement social, économique et écologique durable, notamment dans les nouvelles économies de marché.

* The European Bahá'í Business Forum (EBBF) (http://www.ebbf.org/framinfo.htm): réseau mondial d'entreprises axé sur l'Europe

* The World Business Council for Sustainable Development (WBCSD) (http://www.wbcsd.ch/): réseau international d'entreprises créé en 1995 dans le but d'instaurer une coopération plus étroite entre les entreprises, les gouvernements et toutes les autres organisations soucieuses de l'environnement et du développement durable.

* Business for Social Responsibility (BSR) (http://www.bsr.org/): réseau international d'entreprises créé en 1992 dont l'objectif est de fournir à ses membres des produits et services innovants les aidant à asseoir leur réussite commerciale sur le respect des valeurs éthiques, des personnes, des communautés et de l'environnement.

* Association of Chartered Certified Accountants (ACCA) (http://www.acca.co.uk/index.html): organisme international regroupant des experts en comptabilité, qui favorise des normes d'éthique et de gouvernance dans tous les aspects de la comptabilité financière, sociale et environnementale.

* Society and Business (http://www.societyandbusiness.gov.uk): guide - lancé en mars 2001 par le ministère britannique du commerce et de l'industrie - expliquant les arguments commerciaux en faveur de la responsabilité sociale des entreprises et indiquant les ressources disponibles des entreprises et du gouvernement.

* International Chamber of Commerce (www.iccwbo.org/home/menu_environment.asp): la Charte des entreprises pour le développement durable fournit à celles-ci les bases d'une saine gestion de l'environnement.

ONG

* Human Rights Watch (http://www.hrw.org/french): ONG spécialisée dans la protection des droits humains de la personne dans le monde.

* Transparency International (http://www.transparency.de/welcome.fr.html): ONG luttant pour juguler la corruption à l'échelon à la fois international et national.

* International Alert (IA) (http://www.international-alert.org/): ONG siégeant au RU qui cherche à soutenir les personnes engagées dans la résolution pacifique des conflits en facilitant le dialogue à tous les niveaux.

* International Corporate Governance Network (http://www.icgn.org/): réseau international d'échange de vues et d'informations sur la gouvernance d'entreprise visant à élaborer des principes directeurs dans ce domaine.

* European Corporate Governance Network (http://www.ecgn.ulb.ac.be/ecgn/): réseau européen de recherche à but non lucratif consacré aux études européennes et comparatives sur la gouvernance d'entreprise.

Codes de conduite

* Codes of conduct (http://www.codesofconduct.org/): site Web constituant une ressource intéressante pour tous ceux intéressés par l'intégralité des textes des différents codes de conduite existants, leurs dispositions, les organisations les parrainant et leurs répercussions sur les pratiques des entreprises.

* IEPCE (European Initiative for Ethical Production and Consumption) (http://www.iepce.org/): forum européen réunissant les principaux acteurs de la vie socio-économique désireux d'encourager une production et une consommation éthiques (employeurs, syndicats, ONG et institutions publiques).

* Responsabilité sociale 8000 (Social accountability SA8000) (http://www.cepaa.org/sa8000.htm): norme volontaire de responsabilité sociale des entreprises lancée en 1997 par le Council on Economic Priorities Accreditation Agency (CEPAA), récemment renommé Social Accountability International (SAI). Principalement axée sur des pratiques de travail, comme le travail des enfants, la liberté d'association, le temps de travail et la rémunération. Ce code international de responsabilité sociale s'inspire de la norme ISO 9000 et prévoit l'accréditation des auditeurs ainsi qu'une surveillance indépendante.

* Caux Round Table Principles for Business (http://www.cauxroundtable.org/): code de conduite axé sur la responsabilité mondiale des entreprises et adopté par une organisation tripartite d'entreprises.

* Global Sullivan Principles (http://www.globalsullivanprinciples.org/): ensemble de principes édictés par le révérend Leon H. Sullivan pour servir de guide aux politiques sociales, économiques, politiques et écologiques des entreprises.

* ICFTU Basic Code of Labour Practice (http://www.icftu.org/displaydocument.asp-Index=991209513&Language=EN): Code type de la Confédération internationale des syndicats libres concernant les droits des travailleurs (.)

* Investors in People (http://www.iipuk.co.uk/): norme de qualité britannique définissant un niveau de bonnes pratiques pour l'amélioration des résultats d'une entreprise grâce à ses ressources humaines.

* Ethical Trading Initiative (ETI) (http://www.eti.org.uk/): code britannique conçu dans le cadre d'un partenariat entre des détaillants, des entreprises fabriquant des biens de consommation, des ONG, des syndicats et le gouvernement du Royaume-Uni.

* Amnesty International: Human Rights Principles for Companies (http://www.amnesty.org/ailib/aipub/1998/ACT/A7000198.htm): code international imposant aux entreprises de protéger les droits de l'homme et de respecter plusieurs normes du travail dans les pays où elles sont installées.

* Code de pratiques pour l'industrie de l'habillement de la campagne "Clean Clothes" (http://www.cleanclothes.org/codes/ccccode.htm): code type pour les normes de travail et un système de surveillance des entreprises dans le secteur de l'habillement.

Labels sociaux

* International Federation of Alternative Trade (IFAT) (http://www.ifat.org/): fédération de producteurs et d'organisations du commerce "alternatif".

* European Fair Trade Association (EFTA) (http://www.eftafairtrade.org/): réseau européen d'organisations du commerce équitable important des produits auprès de groupes de producteurs économiquement défavorisés en Afrique, en Asie et en Amérique latine.

* Network of European World Shops (NEWS!) (http://www.shared-interest.com/cust/news.htm): réseau traitant à la fois du volet "commerce" et du volet "éducation" du commerce équitable.

* Fairtrade Labelling Organizations International (FLO) (http://www.fairtrade.net/): organisation-cadre visant à coordonner le travail des initiatives nationales de commerce équitable, à réaliser des programmes de surveillance plus efficaces et à introduire un label international unique pour le commerce équitable. La commercialisation et la promotion des produits du commerce équitable dans les différents pays concernés demeurent du ressort des initiatives nationales.

* The Fairtrade Mark (http://www.gn.apc.org/fairtrade/): label octroyé à des produits satisfaisant aux normes internationalement reconnues du commerce équitable par une fondation désirant améliorer les conditions commerciales appliquées à l'égard des producteurs du tiers monde.

* Max Havelaar (http://www.maxhavelaar.nl/english/): label de commerce équitable octroyé par une fondation néerlandaise dont l'objectif est que les agriculteurs et les travailleurs des régions défavorisées du tiers monde accèdent au commerce international dans des conditions satisfaisantes (1986).

* Transfair International (http://www.transfair.org/): initiative de label social lancée par l'EFTA et Transfair Allemagne.

* Rattvisemarkt (http://www.raettvist.se/): label suédois de commerce équitable.

Rapports sociaux

* Social & Ethical Reporting Clearinghouse (http://cei.sund.ac.uk/ethsocial/index.htm): site Web qui fournit des liens sur les lignes directrices, organisations et enquêtes portant sur les rapports sociaux et éthiques.

* Global Reporting Initiative (GRI) (http://www.globalreporting.org/): initiative internationale de diverses parties prenantes visant à créer un cadre commun à la production volontaire de rapports sur l'ensemble des pratiques économiques, écologiques et sociales d'une entreprise. CERES et le programme pour l'environnement des Nations Unies ont lancé cette action en 1997. En juin 2000, la GRI a publié les "Lignes directrices pour la production de rapports Développement durable" (Sustainability Reporting Guidelines).

* Accountability 1000 (AA1000) (http://www.accountability.org.uk/): norme permettant de mesurer les performances sociales et éthiques d'une entreprise par rapport à des critères objectifs; publiée en novembre 1999 par l'Institute of Social and Ethical Accountability, sis au RU.

Investissement socialement responsable

* UK Social Investment Forum (http://www.uksif.org/): réseau britannique d'organisations membres oeuvrant en faveur de l'investissement socialement responsable.

* Dow Jones Sustainability Group Index (DJSGI) (http://www.sustainabilty-index.com/): indice de cotation d'entreprises qui soutiennent le développement durable, fourni par Dow Jones en association avec SAM Sustainable Asset Management.

* FTSE4Good (http://www.ftse4good.com/frm0101.asp): indice de cotation d'entreprises au comportement éthique responsable lancé par FTSE en association avec l'Ethical Investment Research Service (EIRIS) et l'UNICEF (United Nations Children's Fund).

* Sustainable Investment Research International Group (SIRI) (http://www.sirigroup.org/): groupe de 10 organismes de recherche visant à fournir et promouvoir dans le monde entier des produits et services de qualité issus des recherches sur l'investissement social.

[...]

in: http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:52001DC0366

"Inleiding Europees recht"... Tweede druk... Une perspective du BénéluX...

Noordhoff Uitgevers.

[...]

Chistiaan Alberdingk Thijm [de la famille Alberdingk Thijm du temps des Nuyens du XIXème siècle?] die als advocaat ook altijd de belangen van Quote behartigt, vindt dat ministers Bussemaker en Schultz, en burgers, te ver gaan door zich te scharen achter de oproep aan adverteerders om GeenStijl te boycotten. Ook de Volkskrant en NRC Handelsblad hadden dit naar zijn mening niet mogen doen.

[...]

in: http://www.quotenet.nl/Nieuws/Quotes-huismeester-oproep-ministers-tot-boycot-GeenStijl-disproportioneel-video-196473

Où en sommes-nous au pays des médias jusqu'à LuXembourg avec son droit médiatique... et le SAFER-Internet? Les juristes luXembourgeois et strasbourgeois et parisiens, mais de La Haye aussi, s'interrogent. Qui fait quoi dans la Justice européenne et internationale à l'heure des intérêts globauX... jusque dans les chambres des mineurs et de la jeunesse et des (jeunes et moins jeunes) consommateurs les plus vulnérables et manipulables: BIG questions pour les juristes néerlandais en tout cas.

http://www.quotenet.nl/Nieuws/Onthulling-in-John-de-Mol-boek-Bert-van-der-Veer-had-multimiljonair-kunnen-worden-153872: où payer ses impôts? Quelle historiographie encore à partir du XIXème siècle?

Experts - Geschiedenis
Anna van Saksenlaan 51
2593 HW Den Haag
narcis@dans.knaw.nl

Les Européens se posent la question avec BruXelles, la DG-Connect et le LuXembourg et son droit:

"Welke rol speelt Europa in de digitale ontwikkelingen die momenteel plaatsvinden?"

Où en sommes-nous dans les questions essentielles liées à la bonne gouvernance dans les médias en général et de l'Internet en particulier, avec des responsables honnêtes, intègres et assez corrects si possible... jusque dans les diverses chambres et assemblées. Même au W3C. Qu'en pensent Jean-François Abramatic et Valérie Peugeot?

Les parlementaires européens se questionnent... Guy Verhofstadt et Hans van Baalen aussi: que disent les Européens?...

Europa: waarheen?

Datum: 06/05/2014
Tijd: 20:00 - 22:00
Locatie: Café Hofman Utrecht

In mei mogen we naar de stembus voor de Europese Parlementsverkiezingen. [...]. Wat zegt dit over de binding van burgers met Europa? De EU lijkt een trein die doordendert zonder dat mensen het gevoel hebben daar iets aan te kunnen veranderen. Discussies worden beheerst door economische thema’s, terwijl Europa ook gaat over politieke eenwording. In de voetsporen van Immanuel Kant zien filosofen de EU graag als een voorbeeld van kosmopolitisme, een verbondenheid met mensen die grensoverschrijdend is. Maar het gebrek aan enthousiasme voor Europa toont dat dit beeld ver afstaat van de realiteit. Hoe kan een gevoel van betrokkenheid met Europa worden aangewakkerd? Hebben we daarbij nog iets aan Kants ideeën? Tijdens deze avond onderzoeken we zowel de politieke filosofie als de visie van de burger: kunnen filosofen en burgers elkaar vinden in hun dromen en angsten over Europa?

http://filosofischcafe.hum.uu.nl/events/europa-waarheen/

Si les journalistes font bien leur travail, il ne devrait pas y avoir trop de problèmes... Quand les philosophes, les penseurs postmodernes, les blogueurs et les journalistes se rencontrent...

L'Europe des valeurs se trouve au centre évidemment... Alors messieurs, on fait quoi? On lance des débats po-si-tifs sur l'Europe ET ses valeurs. Et on peut remonter loin, très loin... Est-ce que Albert van der Zeijden pourra se joindre à nous? C'est un lecteur qui y revient, GOOGLE reprend.