woensdag 31 oktober 2012

Ijdelheid...


Ijdelheid der ijdelheid en alles is ijdelheid! Behalve God liefhebben en Hem alleen dienen (vgl. Deut.6.13 enz). Dit is de opperste wijsheid: de wereld verachten en daardoor streven naar het rijk der hemelen. Ijdelheid is het dus, vergankelijke rijkdom te zoeken en daarop zijn hoop te stellen. Ijdelheid is het ook, onderscheidingen te streven en zich tot een hoge plaats te werken. Ijdeldheid is het, de begeerten van het vlees (vgl. Gal.5.16) te volgen en te verlangen naar dingen, waarvoor ge later zwaar gestraft gaat worden. Ijdelheid is het, een lang leven te wensen en u over een goed leven weinig zorg te maken. Ijdelheid is het, uw ogen alleen maar op dit tegenwoordige leven te richten en niet vooruit te zien naar de dingen die komen. Ijdelheid is het, lief te hebben wat schielijk voorbijgaat en u niet daarheen te haasten, waar eeuwige vreugde bestendig blift.

Herinner u voortdurend die betende spreuk: Het oog raakt niet verzadigd van zien en het oor niet vol van horen (Pr.1.8). Leg u er daarom op toe, uw hart af te trekken van de liefde voor de zichtbare dingen en u te wenden naar het onzichtbare. Want die hun zinnelijkheid volgen, bevlekken hun geweten en verliezen Gods gunst en genade.  

Thomas A Kempis, De navolging van Christus.

Travaillent-ils au BIEN COMMUN?



Travaillent-ils au BIEN COMMUN?

L'Évangile... quand nos dirigeants ne savent plus...

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR


Le mercredi de la 30e semaine du temps ordinaire
Saint(s) du jour : St Quentin, martyr (IIIe s.), St Alphonse Rodriguez, jésuite († 1617)
imageLes autres Saints du jour...

Les lectures du jour

Commentaire du jour : Saint Augustin
« Vous verrez Abraham, Isaac, Jacob et tous les prophètes dans le royaume de Dieu »

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 13,22-30.
Dans sa marche vers Jérusalem, Jésus passait par les villes et les villages en enseignant.
Quelqu'un lui demanda : « Seigneur, n'y aura-t-il que peu de gens à être sauvés ? » Jésus leur dit :
« Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et ne le pourront pas.
Quand le maître de la maison se sera levé et aura fermé la porte, si vous, du dehors, vous vous mettez à frapper à la porte, en disant : 'Seigneur, ouvre-nous', il vous répondra : 'Je ne sais pas d'où vous êtes. '
Alors vous vous mettrez à dire : 'Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné sur nos places. '
Il vous répondra : 'Je ne sais pas d'où vous êtes. Éloignez-vous de moi, vous tous qui faites le mal. '
Il y aura des pleurs et des grincements de dents quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous serez jetés dehors.
Alors on viendra de l'orient et de l'occident, du nord et du midi, prendre place au festin dans le royaume de Dieu.
Oui, il y a des derniers qui seront premiers, et des premiers qui seront derniers. »

Un rapport...

http://en.wikipedia.org/wiki/Globalization_and_Its_Discontents

Et quand je pense que ma belle-mère habite Wassenaar et était marié avec un ingénieur de la Shell et a une jolie petite maison en France...

Il nous faudrait, M. Attali , un petit rapport bien clair et bien sincère sur le fonctionnement de l'Union Européenne à Bruxelles depuis quelques années, sur le Luxembourg aussi... Une enquête sur les eurodéputés ou les commissaires européens. Sur les lobbyistes aussi. Sur les paradis fiscaux, sur le monde de la finance, sur les multinationales bien implantées ici,  sur les transactions financières, etc.

Nous avons aussi affaire ici à un scandale de moeurs touchant le coeur de l'appareil judiciaire néerlandais, le coeur de ce pays. Il s'agit de savoir s'il est question d'un réseau international. Nous avons besoin que les médias néerlandais et européens élucident les faits. Il ne s'agit pas de noircir un homme ou un ministère, ou toute autre instance,  il s'agit de dire la VÉRITÉ et le premier rôle des médias européens est d'éclairer la démocratie. L'Europe s'est construite sur la JUSTICE et le respect de la dignité humaine, le RESPECT des droits les plus fondamentaux. Il revient maintenant aux dirigeants et aux médias de prendre leurs responsabilités. J’ai contacter Le Monde à ce sujet et une dame m'a très aimablement répondu. J'essaierai de contacter ce journaliste spécialiste des affaires européennes.

Est-ce que les citoyens européens ne pourraient pas participer avec vous,  dans le cadre de la démocratie participative, à l'élaboration de ce rapport? Nous pouvons fixer une date. Et nous ne nous prenons pas pour ce que nous ne sommes pas, juste des citoyens lucides et de BONNE VOLONTÉ, guidée je parle pour moi par la foi, l'espérance et la CHARITÉ. JF59,  comment avez-vous réussi à rencontrer Jacques Attali?

Sur les transactions financières...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Association_pour_la_taxation_des_transactions_financi%C3%A8res_et_pour_l%27action_citoyenne

Dans le numéro de décembre 1997 du journal Le Monde diplomatique, dans un éditorial intitulé Désarmer les marchés[4], Ignacio Ramonet constate que la mondialisation financière a créé son propre État, avec ses appareils, ses réseaux d'influence et ses moyens d'actions, mais que c'est un État complètement dégagé de toute société, qu'elle désorganise les économies nationales, méprise les principes démocratiques qui les fonde, presse les États à s'endetter, exige des entreprises qu'elles leur reverse des dividendes de plus en plus élevés, et fait régner partout l'insécurité. Il propose d'établir une taxe sur toutes les transactions financières, la taxe Tobin. Pour cela, il suggère de mettre en place une organisation non gouvernementale, l'« Association pour une taxe Tobin d'aide aux citoyens (ATTAC)», qui ferait dans tous les pays la promotion de l'idée de cette taxe. Cet appel, lancé en pleine crise des marchés asiatiques, reçut en apparence un accueil favorable, mais aucun soutien réel des dirigeants des différents pays développés.
L'association pour la taxation des transactions pour l'aide aux citoyens, Attac, est créée le 3 juin 1998 au cours d'une assemblée constitutive[5]. Depuis, Attac est présente dans 38 pays[3]. En France, des hommes politiques, des associations, des syndicats et des particuliers sont adhérents à l'association.
L'association s'est dotée en France dès l'origine, et aussi dans certains pays, d'un « conseil scientifique » qui se veut indépendant de toute structure universitaire ou officielle. En France, ce conseil scientifique a été présidé successivement par deux professeurs d'économie, René Passet puis Dominique Plihon. Il regroupe[6] :
Des membres d'Attac sont à l'origine du Forum social mondial de Porto Alegre et des forums sociaux européens.
Attac a reçu en France le statut d'association d'éducation populaire par arrêté ministériel, ce qui lui permit notamment de recevoir des subventions[7].
Dès l'origine, Attac était une association très centralisée sur Paris. Elle bénéficiait d'un local situé à proximité du siège du Monde diplomatique dont deux salariés consacraient la majeure partie de leur temps au développement d'Attac. De même, une dizaine d'autres permanents de plusieurs associations fondatrices, notamment la Fédération des Finances CGT, la FSU, et Solidaires ont libéré pour Attac une part importante de leur temps (payé par leur propre organisation). Quelques mois après sa création, Attac a embauché quatre permanents salariés.
Cependant, les initiatives décentralisées de militants enthousiastes créant des « comités locaux d'Attac », après l'automne 1998, ont surpris la direction. Cette dernière n'avait même pas envisagé l'existence de ces formations dans ses statuts rédigés avant juin 1998.
Après 1999, Attac a ainsi fonctionné sur deux modes d'organisation parallèles :
  • D'un côté, un centre tout-puissant soutenu au départ par ses quatre salariés et des dizaines de permanents mis gratuitement à disposition d'Attac par les associations fondatrices.
    Ils programmaient les réunions[8], développaient un site Internet qui a assuré très vite une très large diffusion des idées d'Attac, rédigeaient et publiaient un bulletin quasi mensuel Ligne d'Attac diffusé à la presse, aux adhérents et sympathisants, et planifiaient le développement des réseaux national (les comités locaux) et international (les autres Attac qui ont pris rapidement naissance, en Europe puis dans le monde entier).
  • D'un autre côté, 90, 120 puis plusieurs centaines de comités locaux autonomes se sont créés d'une façon très spontanée en France.
    Répartis dans presque tous les départements, ils fonctionnent selon un principe décentralisé : des associations locales ou des organisations de fait organisant des réunions, des conférences, rédigeant des documents visant à exposer des alternatives concrètes à la « société néolibérale » qui découlerait de la « mondialisation libérale ».
Très vite, ce difficile partage du pouvoir posa problème. Ce sont les associations dites « fondatrices » qui avaient la réalité du pouvoir dans Attac ; du fait des statuts de 1998 rédigés pour se prémunir contre le risque d'entrisme[9].
Les comités locaux n'ayant pas d'existence dans les statuts, une conférence nationale des comités locaux (la CNCL) fut créée en 2002. C'était la première instance ad hoc qui leur donnait des moyens de délibération et d'expression important. Mais cela ne fut pas suffisant et la révolte des comités locaux[Quoi ?] recommença dès 2003.
  • En 2006, après un débat très dur[Quoi ?] précédant la nouvelle assemblée générale, la direction sortante ne fut pas reconduite.
  • Fin 2006, le président fondateur Bernard Cassen, le président sortant Jacques Nikonoff et plusieurs de leurs amis ne faisaient plus partie du bureau d'Attac[10].
En 2009, une reforme des statuts est votée par les adhérents de l'association[1],[2]. Ces nouveaux statuts officialisent la reconnaissance des comités locaux et de la conférence nationale des comités locaux (CNCL). Le nom de l'association se voit aussi modifié en « Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne ».

dinsdag 30 oktober 2012

Responsabilité et transmission...

NOUVEAUX ENJEUX DANS LES TECHNOLOGIES DE LA COMMUNICATION
Qui contrôlera la cyber-économie ?

 Avec la prolifération des ordinateurs personnels et la multiplication des réseaux permettant leur interconnexion, un monde nouveau, électronique et virtuel, émerge peu à peu. C’est une sorte de non-Etat de non-droit. Il possède cependant son propre territoire : le cyber-espace ; ses voies de communications : les inforoutes ; ses divertissements : la cyber-culture ; et son propre marché : la cyber-économie. Le contrôle de celle-ci, en particulier, apparaît comme un enjeu majeur pour les sociétés de demain. Car le montant des échanges de données immatérielles - valeurs financières, boursières ou monétaires, mais aussi textes, documents, informations - d’un bout à l’autre de la planète, en temps réel et en permanence, dépasse déjà, et de loin, celui des transactions commerciales de l’économie réelle. Comment empêcher que cette cyber-économie soit parasitée par les mafias et serve, par exemple, au blanchiment de l’argent de la drogue ? Comment freiner la spéculation ? Comment, en un mot, moraliser ce gigantesque marché ? Faut-il interdire le cryptage et l’anonymat des échanges ? Confier à des fonctionnaires internationaux la surveillance de ces réseaux électroniques ?
par Philippe Quéau, février 1995
Aperçu

L’ÉCONOMIE virtuelle est en marche, porteuse d’une logique de l’abondance, de la déterritorialisation et de la fin des intermédiaires. Le temps « réel » devient un facteur prépondérant et l’espace s’efface. Les entreprises se font virtuelles, elles se transforment en « quasi-firmes ». La « cyber-économie » se caractérise par une globalisation et une intégration mondiale, par une poussée des techniques de l’information, par une déréglementation accrue.
Le marché devient un forum planétaire informationnel où s’effectuent en permanence des échanges de données et des arbitrages financiers, lesquels prennent d’ailleurs largement le pas sur l’économie réelle. On estime que les mouvements spéculatifs de capitaux sont quotidiennement de soixante à cent fois plus importants que les mouvements de capitaux correspondant à des transactions économiques réelles.
Cet emballement incontrôlé de la « bulle spéculative », capable de mettre à mal n’importe quelle banque centrale, risque de se généraliser à brève échéance sur le terrain de l’économie « réelle ». Du fait de l’interconnexion instantanée, bon marché et surtout fonctionnelle et « coopérative » (grâce aux inforoutes et aux techniques de travail coopératif de groupe (groupware) entre des pays aux systèmes économiques et sociaux profondément différents, les économies occidentales basées de plus en plus sur la manipulation d’informations vont être frappées de plein fouet par une concurrence sauvage, sans aucun moyen de rétorsion.
Il est en effet difficile de mettre un douanier derrière chaque ligne téléphonique. Des secteurs entiers subiront et subissent déjà les conséquences de ce court-circuit planétaire. Les cadres et les employés de secteurs comme la banque ou les assurances sont en première ligne, comme le montre le concept de « banque directe ». Mais les exemples de Swissair faisant télétraiter son système de réservation et sa comptabilité en Inde, de Siemens faisant faire de la télémaintenance informatique aux (...)

http://www.monde-diplomatique.fr/1995/02/QUEAU/1160

Et donc en 1995 déjà, tout avait été pensé, tout s'annonçait, et les responsables s'apprêtaient à se plonger dans la spéculation ultime, grâce aux nouvelles technologies, on allait profiter... Les responsables n'avaient qu'à se mettre en place....En 1995, certains abordaient la cinquantaine, d'autres avaient 60 ans, aujourd'hui, nous en avons 50;)...

Un rapport sur la responsabilité et la  transmission serait nécessaire.

Wie is verantwoordelijk.... Une question de responsabilités....

Qui est responsable? Que faisons-nous des commissaires européens? Quelle fut la part de responsabilité de Wim Duisenberg, hélas décédé aujourd'hui? Quelle est la part de responsabilité de la BCE? Des très grosses banques? Voire de certaines multinationales? Des fonds de pension gigantesques?


Je lis: http://www.volkskrant.nl/vk/nl/7264/Schuldencrisis/article/detail/3334995/2012/10/21/Knot-wil-meer-macht-eurocommissaris-voor-de-euro.dhtml

Knot wil meer macht eurocommissaris voor de euro

Klaas Knot, president van De Nederlandsche Bank, is voorstander van het idee om de Europese Commissaris voor de euro meer macht te geven. Hij zei dat zondag in een gesprek met de Duitse krant Welt am Sonntag.
'Ik begroet dat idee. We hebben in Europa niet alleen strengere budgetdiscipline nodig maar ook scherper schuldentoezicht', aldus de bankpresident. Het idee voor een machtiger 'valutacommissaris' werd eerder geopperd door de Duitse minister van Financiën, Wolfgang Schäuble. De commissaris zou bijvoorbeeld de bevoegdheid moeten krijgen om nationale begrotingen tegen te houden. Staatssecretaris Ben Knapen van Europese Zaken liet afgelopen week ook al weten daar voorstander van te zijn.

In het televisieprogramma Buitenhof liet Knot zondag weten dat 'een logische consequentie van het hebben van een monetaire unie is dat je ook op begrotingsniveau meer coördinatie afdwingt'.

De bankpresident zei verder dat hij sterk voorstander is van het onderbrengen van alle 6000 Europese banken onder het bankentoezicht waarover de Europese leiders eerder deze week overeenstemming hebben bereikt. Dat is 'in zijn begrip' ook in Brussel afgesproken, maar er komt wel een 'fasering in het tempo' waarin de banken onder de toezichtsparaplu worden gebracht. Volgens Knot is het duidelijk dat voor de huidige problemen niet de grote instellingen, maar de kleinere banken hebben gezorgd.

De opmerkingen van de Franse president François Hollande, die afgelopen week zei dat de eurocrisis inmiddels bijna voor bij is, noemde Knot 'een vroegtijdige conclusie'. Volgens de bankpresident is er nog 'een lange weg te gaan'. Overheden zullen nog jarenlang maatregelen moeten nemen en 'de marges zullen heel smal zijn'.

M. Knot, on peut se poser des questions...



Wat zijn wij aan het doen?...

Geen excuses van kabinet om misbruik op 10/10/12,
http://www.volkskrant.nl/vk/nl/10704/Kabinet-Rutte/article/detail/3329705/2012/10/10/Geen-excuses-van-kabinet-om-misbruik.dhtml

Excuses kabinet om misbruik in jeugdzorg op 29/10/12
http://www.volkskrant.nl/vk/nl/10704/Kabinet-Rutte/article/detail/3339188/2012/10/29/Excuses-kabinet-om-misbruik-in-jeugdzorg.dhtml

Les Pays-Bas et l'Europe...Nederland en Europa...

http://www.volkskrant.nl/vk/nl/10704/Kabinet-Rutte/article/detail/3296527/2012/08/04/Het-Europese-geduld-met-etterbakje-Nederland-is-op.dhtml

Het geduld in Europa met het eurosceptische Nederland is op. Verlies aan macht en geld dreigt als een ommekeer uitblijft na de verkiezingen. 'Het probleem is niet dat Nederland dwarsligt, het probleem is dat Nederland bijna altijd dwarsligt. 

Jullie premier speelt een verderfelijke rol tijdens de EU-toppen'

Het optreden van premier Mark Rutte tijdens de laatste EU-top is exemplarisch. Hij eist - en bereikt - dat de moeizaam in elkaar gesleutelde compromistekst over Europees banktoezicht en noodsteun nogmaals wordt doorgelopen. Woord voor woord, zin voor zin, glijdt Ruttes rechterwijsvinger over de tekst. Het is inmiddels 3 uur in de ochtend, zijn zestien eurocollega's kijken vermoeid, verbaasd en vol afgrijzen toe.

Uiteindelijk wordt het de Cypriotische president Demetris Christofias te veel. Hij, de onbetwiste leider van 800 duizend Cyprioten, richt zich tot Rutte, demissionair premier van 16 miljoen burgers. 'Wat wilt u nu? Waar bent u mee bezig? Wilt u woorden of solidariteit?', gooit hij Rutte voor de voeten. Om zijn uitval kracht bij te zetten, dreigt Christofias - wiens eiland financieel aan de rand van de afgrond staat - niet bij de EU of Rusland om een lening te vragen, maar bij een echte schurkenstaat.

Op zich een mooie anekdote voor Rutte, iets voor thuis in de Trêveszaal: 'Komt die Cyprioot naar me toe...' Maar het venijn voor de premier zit in wat erna gebeurde: de Duitse bondskanselier Angela Merkel die Christofias goedkeurend toeknikte.

Nedergif
Nederland mag zijn buik vol hebben van Europa, Europa heeft het langzamerhand ook gehad met Nederland. Dat de verkiezingen over Europa gaan, is in alle Europese hoofdsteden genoegzaam bekend. Alsook het feit dat nergens anders in de EU de eurohaat zo intens en zo wijdverbreid is als in Nederland. 'Nedergif', noemt een hooggeplaatste EU-ambtenaar het. 'En we appreciëren het nog minder dan de nederwiet.'

Zonder uitzondering waarschuwen ze voor de gevolgen als Nederland na de verkiezingen volhardt in zijn afkeer van Brussel. 'Ze', dat zijn ambassadeurs, gewone diplomaten en EU-ambtenaren van uiteenlopende lidstaten, waaronder ook Nederland zelf. Bij elkaar goed voor decennia aan Europese ervaring. Ze praten op basis van anonimiteit, omdat er binnenkort weer moet worden onderhandeld met Rutte en diens mannen.

'Brussel is één groot knooppunt van vriendendiensten', zegt een EU-ambtenaar die nauw betrokken is bij de EU-toppen. 'En Nederland heeft straks geen vrienden meer. Dat betekent minder macht, minder invloed en minder invloedrijke posities.' Een tweede, doorgewinterde eurocraat: 'Nederland ziet geen oplossingen in Brussel, het zoekt alleen maar problemen.'
'




Premier Rutte eind juni in Brussel.'Rutte wil geen constitutioneel debat', concludeert weer een andere hoge EU-ambtenaar. 'Hij heeft gewoon een kruis gezet achter de woorden 'solidariteit' en 'soevereiniteit'. Dan ben je snel uitgepraat in Brussel, want daar gaat het wel over.'

Benepenheid
Het was niet alleen het gehakkel over het banktoezicht waarmee Rutte eind juni de ergernis van zijn collega's over zich afriep. Een Oost-Europese diplomaat: 'Die hele EU-top was voor Nederland kennelijk een oefening in benepenheid. Neem het rapport van EU-president Van Rompuy over de toekomst van de EU. Dat was zo'n beetje op het lijf van Nederland geschreven met alle nadruk op strikte regels en discipline. Maar wat zegt jullie premier: 'Ik lust geen vergezichten.' Tja, wat doet hij daar dan aan tafel?'

'Rutte wil geen constitutioneel debat', concludeert weer een andere hoge EU-ambtenaar. 'Hij heeft gewoon een kruis gezet achter de woorden 'solidariteit' en 'soevereiniteit'. Dan ben je snel uitgepraat in Brussel, want daar gaat het wel over.'

De boosheid in de Brusselse wandelgangen treft de premier en de ministers, niet de Nederlandse diplomaten in Brussel. Die worden door alle gesprekspartners geprezen om hun professionaliteit, hun dossierkennis én - opvallend genoeg - hun bereidheid een compromis te vinden. 'Naar België wordt niet geluisterd, naar Nederland wel', zegt een diplomaat uit een kleine EU-lidstaat.

Voor de Oost-Europese lidstaten die in 2004 tot de EU toetraden, was de Nederlandse diplomatie in Brussel lange tijd hét grote voorbeeld. 'Wij waren nieuw, arm en zonder ervaring en keken enorm naar jullie op', herinnert een Oost-Europese diplomaat. 'Nederland dwong veel respect af', vertelt een collega van hem.

Verderfelijke rol
De huidige Nederlandse EU-ambassadeur Pieter de Gooijer doet dat nog steeds. Hij wordt door collega-ambassadeurs omschreven als 'zeer intelligent' en een 'ras-onderhandelaar'. Een van hen: 'Hij verpakt de Nederlandse blokkades als opbouwend en noodzakelijk voor brede steun onder de bevolking. Heel slim, maar helaas voor Pieter is het masker van Nederland afgevallen. Den Haag kan de beste man niet elke keer een dolk laten verkopen als een wortel.'

Diplomaten en ambtenaren benadrukken eensgezind: het is op het hoogste niveau dat de goede reputatie van Nederland wordt vernietigd. 'Jullie premier speelt een ronduit verderfelijke rol tijdens de EU-toppen', zegt een ambtenaar die in- en uitloopt bij de vergaderingen van de regeringsleiders. 'Rutte zet zich vast in cijferreeksen, dogma's en vermoedelijke parlementaire overmacht. Of het nu over de noodleningen voor Spanje of Griekenland gaat, over de meerjarenbegroting van de EU, het banktoezicht, de regels voor de pensioenfondsen, het asielbeleid, de Hedwigepolder of het opheffen van de grenscontroles met Roemenië en Bulgarije, Ruttes antwoord is steeds: nee, nee, nul, nul.'

Een ambassadeur: 'Rutte straalt het beeld uit van een machteloze leider, een bange premier. Steeds opnieuw mekkert hij tijdens de EU-toppen: 'Ik kan niet tegen de wensen van de Tweede Kamer ingaan.' Het geeft de andere leiders het idee dat hij Wilders' marionet is. Denk je dat Merkel geen lastige Bondsdag heeft? Heeft zij soms geen Constitutioneel Hof als waakhond? Denkt Rutte nu echt dat hij de enige premier is met verkiezingen in aantocht? Een politiek leider vindt een compromis in Brussel en overtuigt thuis zijn parlement. Rutte behoort overduidelijk niet tot die categorie.'

Pour le Président de la République...

Pour le Président de la République...

Parce que l'Église a raison, parce que la France ne doit pas oublier qu'elle est la fille aînée de l'Église.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nostra_%C3%86tate

Travailler certaines choses...


Le mardi de la 30e semaine du temps ordinaire

Saint(s) du jour : Bx Ange d'Acri († 1739), Bse. Bienvenue Bojani (1225-1292)
imageLes autres Saints du jour...

Les lectures du jour

Commentaire du jour : Saint Jean Chrysostome
« Jusqu'à ce que toute la pâte ait levé »

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 13,18-21.
Jésus disait à la foule : " A quoi le règne de Dieu est-il comparable, à quoi vais-je le comparer?
Il est comparable à une graine de moutarde qu'un homme a jetée dans son jardin. Elle a poussé, elle est devenue un arbre, et les oiseaux du ciel ont fait leur nid dans ses branches. »
Il dit encore : « A quoi vais-je comparer le règne de Dieu ?
Il est comparable à du levain qu'une femme enfouit dans trois grandes mesures de farine, jusqu'à ce que toute la pâte ait levé. »

Le 14 novembre...

Le 14 novembre, nous sommes invités, tout citoyen européen de bonne volonté que nous sommes, à manifester notre mécontentement.

voir:
http://blogs.lexpress.fr/attali/2012/10/29/au-rapport/?fl_cv=1351585945#comment-109035

http://www.altersummit.eu/Appel-a-un-sommet-alternatif.html

http://www.france.attac.org/evenement/14-novembre-mobilisation-europeenne-contre-lausterite

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR

http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-pierre-anselme/201012/europe-premiers-pas-vers-une-greve-generale

Nous pensons la société européenne...

Un rapport sur les points essentiels au niveau européen: une ébauche.

I. Lutte contre la délinquance financière
II. Lutte contre la délinquance sexuelle
III. Lutte contre le trafic de stupéfiants et le trafic d'armes
IV. Intégrité des élites
          IV.1. Quelles valeurs morales pour nos élites?
          IV.2. Comment mettre nos élites européennes devant leurs responsabilités?
          IV. 3. Les élites et la notion de justice. Qui est responsable de quoi?
V. Une économie humaine, etc.

A suivre...

J'ajoute pour ceux que cela intéresse:

 http://queau.eu/

maandag 29 oktober 2012

Une affaire...

Peut-on faire le ménage et être en même temps femme au foyer, penseuse, veilleuse et blogueuse? Oui, c'est possible, pourquoi ne le serait-ce pas? Et c'est justement en écoutant de la musique classique et en faisant le ménage que l'inspiration me vient... Car écrire, cela veut-il dire quoi au juste? On peut écrire et chercher, chercher des réponses aux questions que la société devrait se poser.

Quel est le problème? Aujourd'hui, j'ai appelé le quotidien néerlandais, NRC Handelsblad, au sujet de l'affaire Demmink. Ce haut fonctionnaire de Justice serait soupçonné depuis de nombreuses années d'être impliqué dans un réseau délictueux.

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_europ%C3%A9enne_des_droits_de_l%27homme

Devons-nous rester les bras croisés et attendre que les individus dont on doute de l'intégrité morale s'en aillent tout tranquillement à la retraite? Est-ce bien la société dont nous voulons? Bien sûr que non, nous n'avons tout de même pas mis en place tout un système judiciare pour que les affaires qui hantent nos sociétés ne soient pas éclaircies. La justice a une fonction, ceux qui détiennent le pouvoir judiciaire le savent parfaitement. Alors la société civile, faisant confiance à ses responsables,  a elle aussi parfaitement le droit de se demander ce qu'il en est. Est-ce que ce fonctionnaire est impliqué, oui ou non, dans ce genre d'affaires?

Pour en revenir à mon appel à ce quotidien. Le rédacteur des affaires intérieures m'a répondu, lorsque je lui ai demandé si le NRC allait s'intéresser à cette affaire et faire une enquête, que le journal, ne disposant pas d' assez de preuves, ne publirait rien sur cette affaire. et ce qlors que des manifestants ont protesté devant le domicile de M. Demmink, le film est en ligne sur le Net, visible par tout internaute;  mais non, le NRC  n'y voit rien d'alarmant. Pour ce média, rapporter une manifestation de citoyens mécontents à La Haye -  ville de la  paix et de la justice internationale, ville où siège le gouvernement -  dans la rue où habite ce haut fonctionnaire de la justice ne semble pas être une priorité. Pourquoi informer les lecteurs, beaucoup faisant partie de l'élite du pays d'ailleurs, des citoyens lucides en général, d'une telle manifestation? Il y a des choses qui ne semblent pas être bonnes à dire. Et c'est sans doute ce que doit penser la majorité des journalistes de ce journal.


Nous sommes dans la philosophie et la technologie.

http://www.trouw.nl/tr/nl/5116/Filosofie/article/detail/3333011/2012/10/17/He-Plato-jij-ook-op-Facebook.dhtml

Wat zou Socrates van de smartphone hebben gevonden? Zou hij, als hij nu had geleefd, ook meteen naar Wikipedia zijn gegaan als hij iets niet wist? In zijn boek 'Socrates Reloaded' laat Frank Buytendijk (43), directeur marketing van softwarebedrijf Be Informed, denkers uit het verleden opdraven om hun licht te werpen op actuele ontwikkelingen in de wereld van de informatica.
Filosofie is een late liefde, vertelt Buytendijk. "Tijdens mijn studie bedrijfskundige informatica begin jaren negentig ging het nooit over ethiek of lastige waarom-vragen. Nooit. Het ging om carrière maken en geld verdienen. Bedrijven werden gezien als amoreel, ethiek deed niet ter zake. Iedereen leek toen wel een 'material girl', zoals Madonna zong. Maar ik kwam er gaandeweg achter dat er ook een maatschappelijke kant aan ondernemen zit. Je moet je als IT-manager de vraag stellen: is wat ik doe wel goed voor iedereen? Daarmee beland je bij ethiek en filosofie. Toen ik dat ontdekte, ging er een wereld voor me open."

Grijnzend: "Ik ben natuurlijk een amateur. Gelukkig zijn de meeste filosofen die ik bespreek al eeuwen dood. Ik verwacht geen vervelende brieven van de erven Socrates."

Dan kunnen we hem dus gerust ten tonele voeren. Zou Socrates een iPad hebben gehad als hij nu leefde?

"Zeker weten. Hij deed niet anders dan skypen, twitteren en whatsappen, alleen dan niet via zijn mobiel, maar via spontane gesprekjes op straat in Athene. Hij zou in die sociale media tegelijk een gevaar zien. Twitteren leidt al snel tot een enorme golf van reacties, die losgezongen zijn van de werkelijkheid. Het geeft maatschappelijke ruis. Zijn leerling Plato zou sowieso kritisch zijn over de rol die computers in ons leven spelen. Hij zou die zien in het licht van zijn verhaal over de grot. Mensen die op hun scherm berichtjes tikken, langs de statusupdates van hun vrienden scrollen, of van hyperlink naar hyperlink surfen, houden zich bezig met schaduwen op de muur, terwijl de werkelijkheid zich achter hun rug afspeelt."

Computers leiden ons af van de echte werkelijkheid?

"De techniek was bedoeld als hulpmiddel, maar is voor velen een doel in zichzelf geworden. Zozeer zelfs dat de virtuele wereld soms even echt of zelfs echter aanvoelt dan 'real life'. Mensen worden soms slaaf van het systeem. Dat zie je ook in bedrijven. Neem bijvoorbeeld Customer Relation Management-systemen. Dat zijn softwareprogramma's waarin je klantprofielen kunt opslaan en ook scripts kunt schrijven voor medewerkers in callcenters. Die systemen waren bedoeld om mensen te helpen, maar sinds hun komst is de klantenservice nog nooit zo slecht geweest. De heel basale vraag 'wat is nu eigenlijk goed voor de klant?', wordt niet meer gesteld. Terwijl de techniek dienend moet zijn, niet leidend."

Dat is de techniek toch ook? Computers hebben ons leven een stuk aangenamer gemaakt. Plato had toch niets tegen een comfortabel leven?

"Maar Plato wilde ook dat je vrij was en de waarheid kon zoeken. Het probleem is dat de techniek zo ver in ons leven is ingedrongen, dat onze vrijheid gevaar loopt. In winkels wordt je gedrag bewust gestuurd. Je doet bepaalde boodschappen, het systeem registreert dat en geeft je op maat gesneden aanbiedingen. Die koop je dan, het systeem denkt: ha succesvol! - en scherpt de aanbiedingen nog meer aan. Het systeem dat mijn behoeften moeten dienen, gaat ze op een gegeven moment zelf voor mij bedenken. Het schept een eigen werkelijkheid. Maar hoe kom ik nou ooit nog buiten die werkelijkheid? Hoe leer ik ooit nog Mexicaans eten, bijvoorbeeld?"

Dat u gerichte aanbiedingen krijgt, ontneemt u toch niet de vrijheid ook eens een keer naar het schap met taco's te lopen?

"Het volgende verhaal zette mij erg aan het denken. Bij de kassa van een Amerikaanse supermarkt kreeg een meisje, dat samen met haar vader boodschappen aan het doen was, kortingscoupons voor zwangerschapsartikelen. De vader ontplofte. Het meisje bleek inderdaad zwanger te zijn, dus het systeem had het bij het rechte eind. Maar moest die vader daar nou op die manier achterkomen? Je moet je afvragen of je zulke dingen wel wil. Die reflectie is bij mensen in de IT-wereld op dit moment totaal afwezig."

Waarom is dat eigenlijk zo?

"Het IT-dogma luidt: laten we alles mogelijk maken! IT'ers geloven onvoorwaardelijk in de vooruitgang. Dat is eigenlijk heel paradoxaal. Technisch staat de IT-wereld aan de voorhoede van onze maatschappij: zij creëert de systemen van onze toekomst. Maar filosofisch leven IT'ers nog in de negentiende eeuw. Het zijn Verlichtingsdenkers die geloven dat je alles kunt meten en vastleggen en dat er een objectieve waarheid bestaat. Met hun geloof in de vooruitgang lopen IT'ers zo'n tweehonderd jaar achter op de rest van de maatschappij."

Want die maatschappij gelooft niet meer in vooruitgang?

"In het postmodernisme is het idee van een objectieve waarheid losgelaten en dus ook een optimistisch geloof in vooruitgang. En is er het besef dat al onze waarneming gekleurd is."

Toch accepteren we zonder morren wat de IT-jongens voor ons bedenken. Misschien zijn we wel helemaal niet zo postmodern als we denken.

"Ja, dat vraag ik me soms ook af. Dan toont de IT-wereld dus hoe het er eigenlijk met ons voorstaat. De meeste mensen laten zichzelf thuis als ze naar hun werk gaan. Ze zullen zeggen dat elke waarneming subjectief is; maar op hun werk varen ze gewoon op de 'objectieve' meetinstrumenten van de informatica. Met de mond belijden we het relativisme, maar leven we er ook naar?"

"Ik wil graag dat er meer debat komt over de rol die techniek in de maatschappij speelt. Neem de TomTom. Dat kastje ontvangt niet alleen informatie, maar stuurt ook informatie vanuit de auto naar het moederbedrijf. Op die manier verzamelde TomTom allerlei gegevens van haar klanten. Rijkswaterstaat gebruikte de informatie ook, om files te voorkomen. Prachtig. Maar de TomTom-gegevens kwamen ook terecht bij de politie, die het gebruikte om snelheidscontroles te plannen. Ten eerste: hoe 'objectief' is die informatie eigenlijk? Het kastje meet alleen de snelheid, niet de verkeersomstandigheden, de context. Ten tweede: wilden de klanten van TomTom wel dat de politie via het kastje met hen meekeek?"

Zo kan elke technische mogelijkheid op een goede en op een slechte manier worden gebruikt.

"Maar techniek is helemaal niet zo neutraal. Je kunt zeggen: 'guns don't shoot people, people shoot people', maar dan maak je je er te makkelijk van af. Een pistool is ontworpen om mee te schieten."

Kunt u een voorbeeld geven van een IT-innovatie die in zichzelf ethisch niet neutraal is?

"Ja. Bedrijven voeren zogeheten Enterprise Resource Planning-systemen in. Dat zijn enorm grote administratieve systemen, waardoor je zoveel mogelijk werk in zo kort mogelijk tijd kunt doen. Het liefst cluster je bijvoorbeeld al je personeelszaken in één afdeling wereldwijd, en die zet je dan neer op een plek waar arbeid het goedkoopst is. In deze tak van sport gaan miljarden om. De enige twee criteria bij het bouwen van zo'n systeem zijn: is het efficiënt en is het effectief? De vraag of het wel goed is voor de mensen die ermee moeten omgaan, wordt domweg niet gesteld. Als jij op zo'n megalomane afdeling werkt, moet je precies doen wat het systeem van je wil. Het systeem maakt je dom en zorgt dat je nauwelijks voeling hebt met je werk. Daar zou Socrates vraagtekens bij hebben geplaatst. Want dient de techniek hier nog wel de mens?"

Frank Buytendijk: Socrates Reloaded. The Case for Ethics in Business & Technology. Verkrijgbaar via Amazon.com, 16 dollar (13 euro).

IT-filosofie
Al sinds de uitvinding van computers was er filosofische belangstelling voor. IT-filosofie is nu de grootste tak binnen de techniekfilosofie. Beoefenaars verenigen zich in organisaties als de International Association for Computing and Philosophy. De bekendste IT-filosoof is Luciano Floridi van de universiteit van Oxford.

Peter-Paul Verbeek, hoogleraar Mens en Techniek aan de Universiteit Twente, vindt Buytendijks pleidooi voor meer filosofische reflectie bij IT'ers zélf 'heel sympathiek'. Verbeek schreef vorig jaar het boek 'Moralizing Technology', waarin hij net als Buytendijk betoogde dat techniek niet neutraal is. Het probleem, aldus Verbeek, is dat die morele lading van techniek meestal impliciet blijft. "Je moet die expliciet maken. En je moet nog een stap verder gaan: je moet de door jou gewenste moraliteit bewust mee-ontwerpen."

Un autre philosophe: Charles Taylor...

http://www.trouw.nl/tr/nl/5116/Filosofie/article/detail/3334151/2012/10/19/Religie-als-basis-van-vrijheid.dhtml


Wie vandaag de dag de godsdienst nog ernstig neemt, heeft niets van de moderne wetenschap willen begrijpen en durft niet in te zien dat wij toevallige wezens zijn, verloren op een planeetje aan de rand van ons zonnestelsel. Verlossing en gerechtigheid kent de natuur niet. Daar kunnen we maar beter aan wennen.

Heel verrassend klinkt een dergelijke visie niet: ze wordt uitgekreten in kranten en weekbladen en op tv, en drukt het 'officiële' oordeel van de moderne tijd uit over wat nog rest van de godsdienst: ooit misschien een imponerende traditie, nu alleen nog van betekenis voor beklagenswaardige mensen die het bestaan niet aankunnen.

Zo hard als dit vonnis klinkt, zo weinig herkennen gelovigen zich erin. Zwak en laf voelen zij zich allerminst, en een hekel aan wetenschap hebben ze zelden. Voor hen bestaat er geen tegenstelling tussen het vertrouwen in hun eigen rede en hun vertrouwen in God.

Optelsom van individuen
Waar komt die tweedeling in de moderne cultuur dan vandaan?, zo vroeg de Canadese filosoof Charles Taylor - zelf overtuigd katholiek - zich een paar decennia geleden af. En wat zegt zij over de grote impassen waarin we ons nu lijken te bevinden? De strijd tussen godsdienst en Verlichting is opnieuw opgelaaid, terwijl de samenleving haar eigen normen en waarden nauwelijks nog lijkt te kunnen funderen. Bestaat die 'samenleving' eigenlijk nog wel, of is ze, zoals Margaret Thatcher ooit zei, alleen maar een optelsom van afzonderlijke individuen?

In twee grote studies maakte Taylor brandhout van het heroïsche emancipatieverhaal dat de moderne cultuur over haar eigen ontstaansgeschiedenis vertelt. Aan het eind daarvan staan mensen die zichzelf liefst als individuen zien en zelf wel uitmaken hoe ze moeten denken en leven. Godsdienst, die hen juist 'van bovenaf' dwingend toespreekt, was vanaf het begin van die emancipatie hun natuurlijke vijand.

In werkelijkheid, zo schreef Taylor aan het eind van de jaren tachtig in zijn boek 'Bronnen van het zelf', ging het heel anders. Het is juist de godsdienst geweest die de gelovigen steeds meer tot individualiteit heeft opgeroepen. Vroom moesten ze worden tot in hun hart. Bij uitwendige ritualiteit mochten ze het niet laten. Daar begon de katholieke kerk al in de late middeleeuwen op te hameren. Met de Reformatie brak die verinnerlijkte individualisering pas goed door. Iedere gelovige was voortaan zelfstandig en verantwoordelijk geworden voor zijn eigen heil. De hedendaagse zelfbewuste mens die zich niets meer laat gezeggen, is zijn late erfgenaam.

Wetenschap uit vroomheid
Er is dus geen strijd tussen achterlijke religie en moderne vrijheid, aldus Taylor. De vrijheid ligt in het verlengde van de religie. En in de wetenschap gebeurde iets dergelijks. Wetenschap ontstond niet omdat mensen de bijbelse sprookjes zat waren en eindelijk wilden weten hoe het in de werkelijkheid écht zat. De vroege onderzoekers doorvorsten de wereld juist uit vroomheid. In haar zagen zij de hand van God aan het werk en door research hoopten zij Diens bedoelingen nog beter te kunnen begrijpen.

De breuk kwam later pas, in de negentiende eeuw, toen de wetenschap de wereld begon af te schilderen als een toneel van strijd, wedijver en geweld, zo stelde Taylor vast in zijn nóg dikkere studie 'Een seculiere tijd' uit 2008. Niet toevallig kreeg in diezelfde negentiende eeuw de samenleving een grimmig gezicht. Zij werd een wereld 'van markt en strijd', om het met de romanschrijver Houellebecq te zeggen. En dat vroeg om sterke en weerbare individuen: precies het soort dat zich door religie niets meer liet gezeggen. Samen met het geloof in God verdween zo ook het geloof in een bij voorbaat geordende, morele samenleving.

Sprookje
Daar zijn we inmiddels mooi klaar mee, aldus Taylor. De strijd om het gelijk tussen gelovigen en atheïsten, allebei even militant, is er maar één aspect van. Minstens zo belangrijk is de vraag hoe we nog vorm kunnen geven aan een gemeenschap - en ook die wordt met grote ideologische heftigheid uitgevochten.

Taylor reikt geen kant en klare oplossingen aan. Daarvoor zijn de vraagstukken te ingewikkeld en de keuzes te principieel. Maar ze moeten wel op goede gronden worden gemaakt. Het sprookje van de vijandschap tussen godsdienst en moderniteit, is niet langer geloofwaardig. Pas met een open oog voor het verleden kunnen we helder nadenken over de vraag welke toekomst er is weggelegd voor ons, voor de samenleving, voor de godsdienst.

Voorbestemd tot multi-culturalisme
Charles Taylor werd in 1931 geboren in het Canadese Montreal. Zijn vader was een protestantse industrieel met Britse wortels, zijn rooms-katholieke moeder was van Franse komaf. De tweetalige Taylor leek voorbestemd om zich in verschillende culturen te bewegen. Hij studeerde geschiedenis aan de McGill-universiteit, en filosofie, politiek en economie in Oxford. Daar was hij assistent van de Russisch-Britse ideeënhistoricus Isaiah Berlin. Als katholiek raakte hij er verzeild in marxistische kringen rond het tijdschrift New Left Review, maar hij was tegelijk sterk betrokken bij dissidenten in Oost-Europa.

Aan het begin van de jaren zestig keerde Taylor als docent terug naar de McGill-universiteit, waar hij tot 1998 hoogleraar zou blijven. Hij stelde zich enkele keren vergeefs kandidaat voor het Lagerhuis en roerde zich in het Canadese debat rond multiculturalisme en meertaligheid. Een multiculturele samenleving, zo schreef hij, wortelt in de bereidheid van de staat en de meerderheid de eigenheid van minderheidsgroeperingen te erkennen, opdat van hun kant ook minderheden de rechten en plichten van de staat kunnen onderschrijven.

In 1975 publiceerde Taylor een vuistdikke studie over Hegel, de filosoof die volgens hem het wezen van de moderne tijd al vroeg doordacht. Internationale roem kreeg hij met zijn studie 'Bronnen van het Zelf' uit 1989, waarin hij de ontstaansgeschiedenis van ons moderne ik-besef beschreef. Bijna twintig jaar later liet hij in 'Een seculiere tijd' zien dat wetenschap en godsdienst niet elkaars vijanden hoeven te zijn en aanvankelijk zelfs bondgenoten waren. In 2007 ontving Taylor de prestigieuze Templetonprijs voor bijzondere verdiensten op het vlak van religie.

Un peu de philosophie postmoderne: Kierkegaard...

http://www.trouw.nl/tr/nl/5116/Filosofie/article/detail/3337769/2012/10/26/Vind-je-eigen-waarheid-met-Kierkegaard.dhtml

L'idéologie néo-libérale

Trouvé dans un livre datant de 1998.

La globalisation des marchés produit sa propre idéologie: l'idéologie néo-libérale. Le mouvement qui la met au monde étant potentiellement tout-puissant, cette idéologie se donne à voir comme une pensée unique, comme l'idéologie de la "fin de l'Histoire". elle légitime la globalisation et l'autonomisation des capitaux. Elle pursuit sa voie triomphante de bradage du bien public sous le couvert de quelques slogans tels  que "privatisation", "dérégulation", "flexibilité", "épuration des structures".
Idéologie noble! Elle opère en se servant du mot "liberté".

Au tout début de ce livre, cet épigraphe:

"Chacun de nous est responsable de tout devant tous." Fiodor Dostoïveski.


Que veut dire le mot liberté ?
 
Une prière
 Prière de l’artisan
Apprends-moi, Seigneur, à bien user du temps que tu me donnes pour travailler, à bien l’employer sans rien en perdre
 Famille chrétienne 

La publicité
Avec un peu de volonté
Chacun de nous peut changer le monde.

zondag 28 oktober 2012

Géopolitique

http://www.diploweb.com/L-UE-modele-multipolaire.html


Je n'ai pas le temps de tout lire, mais ce que vous avez mis est intéressant. Le problème: tout semble devenir très compliqué, alors que je suis sûre que nous devons faire dans la simplicité volontaire. Simplifier les choses. Je reviens à ma chère Hollande, je pense qu'elle joue ou a joué un grand rôle dans les affaires européennes. Est-ce que les experts en géopolitique ne pourraient pas se réunir ici?  À mon avis, la nouvelle Europe d'Érasme pourrait très bien commencer ici. Il suffit de la (bonne) volonté de quelques uns... La Hollande n'est qu'à trois petites heures de Paris en TGV... Un motto: faisons simple. Les nouvelles technologies et les grosses têtes peuvent aider. Et surtout ne pas chercher à diviser, un mot, le RESPECT.

Érasme et l'Europe des valeurs...


On returning from England, Erasmus wrote his second most popular work, the Enchiridion Militis Christiani (Handbook for the Militant Christian), modelled in part on the Enchiridion of Faith, Hope, and Charity of St. Augustine. This book is his direct intervention into the new “middle class” that was developing in the cities, and was one of the first secular works designed to teach the basics of Christian morality. The initiative for the book came from a friend, a woman, whose weapons-merchant husband had become a profligate womanizer. She asked Erasmus to write something to put her husband back on the straight path. The word “Enchiridion” has a double meaning, meaning both a “manual” but also a short sword, or dagger, symbolizing the book should be used as a weapon to fight off evil.
[...]
In the Enchiridion, Erasmus fully expresses his faith in the goodness of his fellow man and, as always, the necessity to teach: “In regard to the soul we are capable of divinity, that is, we may climb in flight above the minds of the very angels themselves and become one with God.” Later, he criticizes the Church:
Charity does not consist in many visits to churches, in many prostrations before the statues of saints, in the lighting of candles, or in the repetition of a number of designated prayers. Of all these things, God has no need. Paul declares charity to be the edification of one’s neighbor, the attempt to integrate all men into one body so that all men may become one in Christ, the loving of one’s neighbor as one’s self. Charity for Paul has many facets; he is charitable who rebukes the erring, who teaches the ignorant, who lifts up the fallen, who consoles the downhearted, who supports the needy. If a man is truly charitable, he will devote, if needs be, all his wealth, all his zeal, all his care to the benefit of others. Keep all this in mind, my brother in Christ, and accept this advice; Have only contempt for the changeable crowd with its ways. To be holy, ignore demands of your senses. ... Do not fear the crowd to the extent that you dare not defend the truth.
You say that you love your wife simply because she is your spouse. There is no merit in this. Even the pagans do this, and the love can be based on physical pleasure alone. But, on the other hand, if you love her you see the image of Christ, because you perceive in her His reverence, modesty and purity, then you do not love her in herself but in Christ. You love Christ in her. This is what we mean by spiritual love.
On peut être inspirée.... J'ai retrouvé cela dans mon blog, billet posté le 19 septembre dernier... Est-ce que le blog de l'âne of Ezelblog pourra aider Érasme et l'Europe des valeurs retrouvées. Nous faisons de la politique européeenne. J'attends des commentaires;)... 

P.S. Éric,  est-ce que je vous ai déjà serrer la main quelque part ?...

Sur les Pays-Bas d'après le NRC ce 27 octobre 2012...

Afrekening  tussen de generaties

Alles wijst erop dat het aanstaande Regeerakkoord ook een herverdeling tussen de generaties van inkomen en bezit zal betekenen - een afrekening. Een discussi over jongeren, dertigers, babyboomers en gepensioneerden.

Van de 1.500 miljard euro in de pensioenfondsen van de eurozone is 850 miljard voor de Nederlandse gepensioneerden, die ook privé nog eens  zo'n 400 miljard opzij hebben gelegd.


 Nous sommes au chapitre les fonds de pension néerlandais.

http://www.mediapart.fr/journal/international/120912/les-eurodeputes-neerlandais-protegent-leurs-fonds-de-pension-tout-prix



L'Histoire est remise en question....


Sur l’Histoire des Pays-Bas, qui dit Europe, dit Pays-Bas, les Pays-Bas ou le Benelux au coeur de l'Europe:
Pour reprendre ce qu'a écrit Sylvie:
On revient à la même question : quelles attributions, quel pouvoir, à quel niveau ; qui fait quoi, avec quelle légitimité et qui décide.
Et j'ajoute: Qui est responsable de quoi? Cette question devra trouver une réponse mais plutôt lors d'une rencontre en Real Life. Qui l'organisera? Et la société civile sera cordialement invitée. Il suffit de se mettre d'accord sur un lieu et une date.

Certains parlent de Diderot...


Dans ce blog il y a comme un échos…

Je lis plus haut:

Je pense que vous apprécierez de découvrir quelques pages sur le bonheur, européen ou universel, de « libre-penser »:
http://www.myboox.fr/feuilletage/?calameo=00034266836aa72d1ee28&authid=cX9ZZfHCqXsU&title=Diderot

(ce qui me rappelle une citation de Jules Renard, selon laquelle il faudrait changer d’avis comme de chemise: ce serait une question d’hygiène…)
(penser et surtout vivre le bonheur, avec ou sans Dieu, avec ou sans maîtresse(s))
 
????

Et je posais la question: que veut dire être un esprit libre? Il y a des penseurs qui se cherchent et qui se trouveront…Les hommes médiatiques se font remarquer, il ne faut pas s’étonner après que des esprits libres cherchent à comprendre certaines choses….

La pensée m’intéresse, la pensée européenne en particulier, qui peut en dire un peu plus sur Diderot, puisque ce penseur apparaît dans ce fil?

Nous sommes au chapitre: les penseurs et l’Histoire des Pays-Bas, l’Europe, c’est l’Histoire..

Les blogs et les blogueurs... Une façon de faire de la politique?


Chose essentielle à l'heure de l'interconnexion, comment fonctionnent les blogs?

Je m'étais déjà posé la question chez PJ, les blogueurs sont-ils sincères dans leur démarche? Il y a tellement de questions à se poser aujourd'hui, ce qui m'intéresse c'est de concentrer le débat sur certaines choses, sur certaines personnes qui mènent ou voudraient mener les chose, et sur l'Europe. Ces individus ici ou là qui s'entendent pour toujours tenir les ficelles, les ficelles de la manipulation bien souvent, ils peuvent être journalistes aussi... Et je leur demande pourquoi? Pourquoi ne pas être sincères, un, un homme derrière son pseudo, un avec sa pensée, un dans l'honnêteté, un et pas plusieurs, divisés, c'est tellement facile de changer de nom à tout instant, tellement facile de jouer avec l'honnêteté des gens, tellement facile de manipuler... Nous cherchons à construire l'Europe, une Europe humaine et solidaire, la blogosphère est une sorte d'agora pas une matrix. la blogosphère peut servir à relier pour aller dans le BON SENS. J'espère que les blogueurs seront assez courageux pour organiser une rencontre en vrai, avec pour thème: l'Europe et le BON SENS, l'Europe et le BIEN COMMUN. Qui veut bien organiser une rencontre simple avec Jacques Attali et Paul Jorion par exemple?  Qui dit A dit B, qui cherche à récolter la pensée doit pouvoir la rencontrer en vrai. Le but: l'Europe. Une chose qui m'intrigue est le lien entre certains blogueurs  et les Pays-Bas. Y a-t-il un lien? Une autre question qui est essentielle: qui est responsable de quoi? Je blogue depuis assez longtemps maintenant pour avoir envie de passer du virtuel au réel. Qu'en pensez-vous?

zaterdag 27 oktober 2012

Friedrich Nietzsche

L'homme européen et la destruction des nations

Le commerce et l'industrie, l'échange des livres et des lettres, la communauté de toute la haute culture, le rapide changement de lieu et de pays, la vie nomade qui est actuellement celle de tous les gens qui ne possèdent pas de terre, - toutes ces conditions entraînent nécessairement un affaiblissement et enfin une destruction des nations, au moins des nations européennes: si bien qu'il doit naître d'elles, par la suite de croisements continuels, une race mêlée, celle des hommes européens. A cette fin s'oppose actuellement, sciemment ou non, l'exclusisme des nations par la production des inimitiés nationales, mais la marche de ce mélange n'en avance pas moins lentement, malgré tous les courants contraires momentanés: ce nationalisme artificiel est au reste aussi dangereux que l'a été le catholicisme artificiel, car il est par essence un état de contrainte, un état de siège forcé, imposé par un petit nombre au grand nombre, et a besoin de ruse, de mensonge et de violence pour se maintenir en crédit. Ce n'est pas l'intérêt du grand nombre (des peuples), comme on aime à le dire, mais, avant tout, de certaines dynasties princières, puis celui de certaines classes des affaires et de la société, qui mènent à ce nationalisme; une fois qu'on a reconnu ce fait, on ne doit pas craindre de se donner seulement pour bon Européen et de travailler par le fait à la fusion ds nations; à quoi les Allemands peuvent contribuer par leur vieille qualité éprouvée d'interprètes et intermédiaires des peuples. - En passant: tout le problème des Juifs n'existe que dans les limites des Etats nationaux, en ce sens que là, leur activité et leur intelligence supérieure, le capital de génération en génération à l'école du malheur, doit arriver à prédominer généralement dans une mesure qui éveille l'envie et la haine, si bien que dans presque toutes les nations d'à présent - et cela d'autant plus qu'elles se donnent des airs de nationalisme - se propage cette impertinence de la presse - à suivre -

Dans "Humain, trop humain", aphorisme 475, p. 306-308.

Le prince sort, sa femme est au Nigéria... C'est ce blog qui le dit...

Blog JA - suite-

Et pendant ce temps, le prince sort avec maman. Quel bel exemple pour les hommes...

Source:

http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/2012/10/la-famille-royale-des-pays-bas-a-une-soiree-de-violon/#comments

Pour être au courant de ce que font les familles royales.

Et puisque nous sommes en Hollande et que nous aimons aussi parler de la vie des femmes, mais - je le dis tout de suite, mais vous le savez déjà - je ne suis pas féministe, je suis pour Marie:

http://www.geheugenvannederland.nl/?/nl/items/previous:next/&p=1&i=1&o=13&st=Vrouwen+in+actie%21&sc=%28isPartOf+any+%27IIAV01%27%29&t=3746

vrijdag 26 oktober 2012

Une petite confidence...


Je vais vous faire une petite confidence, j’aimerais écrire un livre, écrire, écrire  et dire des choses qui nous concernent tous….  Nous parlons de la corruption des élites à grande échelle. Mais manier les outils pour cerner cette corruption ne plaît pas forcément à tout le monde...  Je remarque que mes amis ont du mal à me lire sur le long terme...  C'est vrai, les hommes n’ont pas envie qu’une pauvre petite femme de rien du tout leur fasse la leçon… Et pourtant…

Enfin, un écrivain fait quoi ? Il écrit, elle écrit, elle ne s’arrête plus d’écrire… Tellement de choses à dire… Mais dans le fond,  il vaut mieux se concentrer sur son propre blog, faire confiance en son âne... J'espère que je serais lue. Vous pouvez réagir si vous le souhaitez, car je n’exclus pas l’engagement politique, il faudra voir… Je suis sûre que mes amis viendront de temps en temps jeter un coup d’œil sur ce qui se fait chez elle… Ou alors ils seront bien idiots.  Car en effet, les ânes peuvent avoir de la suite dans les idées.  Accrochez-vous, je dirais… Non… j’exagère… tout dépendra de ce que la presse, les médias nous réserveront,  et de l’inspiration du moment bien sûr...  En commentatrice attentionnée, œil critique entrainé,  plume bien taillée, je suis une  postmoderne, une mère postmoderne qui aime écrire… La machine m’aide, mais les hommes derrière leurs machines ne sont pas toujours de bonne volonté…  Enfin, après m’être essayée sur quelques blogs -, je vous les cite, un au tout début, c’était début 2009 sur un blog du Monde, où  nous abordions un problème  fabriquée par Elizabeth Badinter, un non-problème.  Le problème des féministes est, fut plutôt, un de mes passe-temps favori. Aujourd’hui, même si je ne les ai pas oubliées, mon attention se porte plus - mais elles y ont contribué -  à la corruption que nous soupçonnons dans les hautes sphères... Pourquoi d’ailleurs parler de hautes sphères ? L’ère de l’horizontalité a sonné, les hautes sphères vont bientôt perdre un peu de leur hauteur… Cela s’appelle retour du balancier.  Enfin, j’ai aussi pu dire cela,  à ma façon, chez d’autres blogueurs que vous connaissez maintenant.  Je ne vais pas tout vous dire d’un coup, j’en ai déjà  beaucoup dit à droite et à gauche, mais chaque jour, à raison d’ un ou plusieurs billets sur nos sociétés et sur ce qui en fait l’essence, ceux qui la dirigent, la guident ;)…  - à interpréter comme vous voudrez… - j’espère que je pourrais mettre noir sur blanc ces pensées qui me viennent, qui m’inspirent, il y a des choses qu’on ne s’explique pas vraiment…  On sent juste cette présence qui nous demande d’écrire,  c’est une recherche de la justice et de la vérité.

À suivre… Si ce que j’écris vous plaît, alors, un jour,  nous nous rencontrerons, j’ai déjà fait des propositions. N’hésitez pas à poster des commentaires, donner votre avis, des suggestions, c’est un dialogue, un lieu de partage. Mon mouvement s’appellerait la DCE. On peut en rire mais… on ne sait jamais. Je ne sais pas si j’en ai la capacité ni les moyens… En tout cas, on peut toujours s’essayer à inspirer, les nouvelles technologies peuvent aider. J’ai quand même une idée fixe, réussir à réunir des gens autour du verre de la convivialité, ici ou là, pour parler de l'Europe … Préparez-vous et donnez  votre point de vue…. Les grosses têtes aussi... La génération X a peut-être encore son mot à dire…. La participation de personnalités intègres,  bien conscientes de ce que veulent dire les mots BIEN COMMUN, RESPECT et BON SENS  est plus que la bienvenue. Ceux qui se reconnaissent dans une société postmoderne façon Ivan Illich, E.F. Schumacher, Jacques Ellul ou encore Christopher Lasch, qui n’ont pas peur de lire un peu les textes sacrés, qui souhaitent réellement transmettre les BONNES VALEURS, peuvent me rejoindre ici.  L’Église ne nous fait pas peur,  au contraire, nous nous en inspirons, Érasme, W.J.F. Nuyens et les écrivains qui l'ont inspiré aussi. Et ceux qui ont tout jeté par-dessus bord, eh bien nous les laisserons patauger dans leur matérialité, réalisme et pragmatisme, leur progrès basé sur leur petite raison raisonnante n’a pas forcément les bonnes fondations… Ils ont trop pensé l'économique, trop aimé l'argent, mis la charrue avant les boeufs et jouer avec le sens dessus-dessous. Qu’en pensez-vous mes amis ?
P.S. Est-ce que certains hommes et femmes pourraient craindre une simple mère de famille ? Ce serait alors la preuve que nous sommes vraiment en crise... Que notre société est en train de vaciller, pour ne pas dire s'effondrer...

 


La corruption...


L'Europe, ce sont aussi les différentes langues...
Pour vous qui comprenez le néerlandais...
Je lis dans le Trouw du 24 octobre.
Ijsland na de bankencrisis.
Olafur Thor Hauksson is speciaal aanklager voor de bankencrisis in Ijsland. Hij onderzoekt bankiers, zakenlieden en politici. De eerste successen zijn geboekt.
En gros titre: "Ze zullen ons niet ontsnappen".
 En "We hebben onze contacten, ook in Nederland".
Qu'en pensez-vous?
Nous parlons culture, institutions, monnaie, finance,  nous pouvons aussi parler de la corruption généralisée... D'ailleurs, c'est bien par là qu'il faut commencer. Qui est responsable de quoi ? Et peut-on avoir confiance ? Il faudrait pouvoir travailler sur le mot confiance
Mon commentaire n'est pas passé chez JA...

 

donderdag 25 oktober 2012

On écrit, on écrit...

Et on a compris... Les blogs sont un espace de discussion dans le virtuel. Des choses très intéressantes peuvent y être dites. J'en ai maintenant un peu l'expérience... C'est aussi, en tout cas pour moi, un lieu d'écriture. On peut être blogueur avoir des idées, aimer penser, se frotter aux opinions diverses et variées, transmettre des informations, mais aussi aimer écrire tout simplement. La rencontre en real life, pourquoi est-elle importante à terme? Parce que nous sommes des humains et non pas des machines pensantes;)... Les blogueurs qui ouvrent un blog, et qui y récoltent de la pensée bien fraîche, doivent cependant prendre sur eux la responsabilité de devoir un jour réunir les blogueurs fournisseurs d'idées et de pensée. Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures, une rencontre conviviale suffira. Toute simple. Mais l'échange sera intéressant je pense. J'en ai fait l'expérience avec Paul Jorion, encore lui, mais bon il l'a un peu cherché en se faisant LE blogueur médiatique du moment, de surcroît néerlando-belge. Mais vraiment, j'ai trouvé ce bref échange déjà trés parlant... Mais restons sérieuse... Non, nous parlons de l'Europe, sujet crucial, certains ont une certaine expérience que d'autres n'ont pas forcément, une autre perspective, très intéressante pour celui ou celle qui ne connaît pas. L'échange et le partage deviennent essentiels. Ces derniers ne se feront pas éternellement derrière les machines. Il faut même surtout ne pas le souhaiter, je veux dire rester coller derrière l'écran. Nous connaissons les transhumanistes qui voudraient nous scotcher à l'écran. Pour certains un rêve. Vous vous imaginez, Monsieur un tel écrivant un billet, et attendant tranquillement, parce qu'il est connu-reconnu, dans son petit paradis, que la pensée lui tombe en directsous les yeux, sur l'écran? Et il en fait quoi de notre pensée? Moi, je voudrais lui demander franchement ce qu'il compte en faire, droit dans les yeux, verre à la main. Et je veux bien l'aider à régler certains problèmes qu'il n'aurait pas eu le temps de BIEN penser parce que trop occupé à par exemple faire...le chef d'orchestre... Je plaisante. Mais un blogueur n'est-il pas un peu chef d'orchestre dans le fond? Prenons tout avec humour, mais soyons aussi sérieux. Car il y a des choses qui ne vont pas dans le BON SENS, qui ne sont pas allées dans le BON SENS. Au niveau européen en particulier, et comme par hasard, quand je travaille un peu là-dessus, je rencontre des compratriotes.... néerlandais... Je redemande donc à Paul Jorion, une nouvelle fois, êtes-vous au courant de tout cela? Et si j'insiste, excusez-moi. Mais nous travaillons à l'Europe unie, une Europe juste et équitable, en tout cas, j'y travaille à ma façon... Nous sommes là au chapitre délinquance financière, malversations, blanchiment d'argent, conflit d'intérêts, paradis fiscaux, etc. Comment régler tout cela?

À vous, à nous, blogueurs de décider d'une rencontre. Car il n'y a rien d'exceptionnel à cela. Il m'arrive d'assister à des conférences ou des rencontres. C'est même la suite logique d'un investissement soutenu dans le blogging sur des sujets sérieux, dans des blogs sérieux, chez des blogueurs sérieux... Les politiques ou intellectuels sont invités, les journalistes bien sûr aussi. Il faut cesser de penser le monde en termes de bipolarité élites-citoyens, ou pire, utiliser le mot peuple. Les élites sont des gens tout à fait normaux, des citoyens comme les autres. Certains ont des réseaux juste un peu plus efficaces que d'autres. Ils en ont souvent gagné beaucoup, mais cela ne les empêchera pas de redescendre sur terre pour rejoindre la société civile... Que penser de cette pyramide? Il faut même arrêter de mettre des étiquettes partout, il faut parler de personnes qui ont quelque chose à dire, quelque chose à apporter à la société dans le but defendre le BIEN COMMUN. Essayer de BIEN faire marcher les choses. Et nous pensons à la société conviviale d'Ivan Illich. Tout a déjà été pensé depuis bien longtemps... Nouvelle société demande nouvelle politique. Et on dit merci aux machines qui nous servent;)... L'Europe doit commencer par là M. Attali, pas par des choses compliquées et coûteuses, bureaucratiques, technocratiques, mathématiques. Le moment venu, les vrais technocrates, comme les machines, pourront sortir systèmes et mécanique. Mais d'abord place à l'humain qui dit ce qu'il pense. Démocratie avant tout, et la liberté d'écrire. Oui Michel, Érasme est une personnalité très intéressante sur laquelle pourrait se construire la véritable Europe Unie. E.U d'Europe et E.U de l'aute côté de l'Atlantique. Bon quoi encore?... Les problèmes financiers, budgétaires et fiscaux. À régler au plus vite. Il faut une politique européenne. Aller rencontrer les Hollandais, pas toute seule bien entendu, s'ils font les difficiles;)... Comment s'y prendre là? JA, avez-vous une idée? Faut-il contacter l'Ambassade? J'y ai travaillé. Eh bien rencontrons-nous à l'Ambassade, pourquoi pas? Ou à l'Institut français d'Amsterdam. Michel Serres y vient dans quelques semaines. On peut organiser plein de choses... Alors cogitons chacun de notre côté, on finira bien par trouver. On peut lancer un nouveau mouvement... Il faudrait juste quelques têtes pensant juste et bien, ayant une perspective et une vue large, des personnalités connues si possible, des intellectuels intéressés par l'Europe, des personnes se sentant européennes d'abord. Des identités mixtes. Et maniant bien les outils. Les nouvelles technologies à leur service.

À un blogueur...


Nou...bon, vous auriez pu en profiter pour  décliner votre identité... Les liens, il y a des liens partout, car tout est lié comme vous le savez... Pourquoi est-ce que j’écris cela ici ? Il y a des rumeurs et il s’agit de savoir si elles sont fondées.  Faudrait-il que je contacte aussi le ministère de la justice ici? Je viens d'appeler le journal Trouw au sujet de cette affaire, parce qu’il est temps de dire certaines choses.  Des choses qui concernent la société civile à l’échelle européenne et plus encore,  des choses liées à la justice et à la vérité.  Il est important que les rumeurs cessent, ou alors  il faudra  enquêter, en y mêlant  la presse mainstream.  Sur ce blog, de quoi parlons-nous? De l'Europe, de l'Europe unie, d'une Europe qui aille dans le BON SENS. Nous bloguons, nous bloguons dans le même champ de la transnationalité. Peut-être pouvons-nous contribuer à conseiller les politiques. C’est peut-être être naïve, soit . Mais cela reste  de l’écriture, et puis il y a beaucoup de choses à dire en ce moment,  surtout avec la vue dont je dispose ici. Les blogs sont un espace, une place, une agora, où les pensées peuvent s’exprimer. Et c’est bien, c’est pratiquer la démocratie.  Nous sommes dans la liberté d’expression et de pensée. Nos droits les plus fondamentaux. Et c’est l’essence même de ce qui fait que  l’Europe est ce qu’elle est.  La machine qui la sert est un bien ; la machine,  avec des hommes ou des femmes  derrière  qui chercheraient à nous asservir , serait amener à devoir subir la critique, voire le mécontentement,  des populations.  Car, il ne faudrait pas penser pouvoir ne pas avoir à respecter cette pensée qui se rend lisible. Une pensée  qui ne cherche qu’à défendre le BIEN COMMUN gratuitement. En tout cas,  soyez certain que ce travail me prend du temps. Est-il utile ? Je ne le sais pas. 
P.S. Votre utilisation de la langue néerlandaise me fait penser à la fois où un blogueur ;)  se fit connaître dans ma boîte mail…
Le lien que j’ai mis est une sorte de devinette, aux lecteurs de s’amuser à trouver le rapport. Et sinon ce sera juste pour divertir et transmettre de l’information pour ceux que cela pourrait intéresser.
Pour reprendre ce que vous disiez plus haut, l'économique ne devrait pas venir en premier mais plutôt derrière la morale ou l'éthique. Vous savez qu'être trop pragmatique ou trop réaliste n’est qu’une posture qui ne sert pas forcément les hommes.

Avant cela j'avais écrit:

Et comme nous sommes à l’heure européenne et de la communication internationale, transparente et démocratique. Démocratie participative pour aider nos hommes et femmes politiques. Je vous transmets ce lien, http://www.wfm.nl/
Je le destine à nos blogueurs qui pensent, aux politiques et au ministère de la justice par exemple. Puisqu’ils doivent savoir de quel scandale on parle ici. Il s’agit maintenant pour les médias de faire un travail d’investigation sur le ministère de la justice, à La Haye se trouvent un bon nombre d’instances juridiques internationales. Il est temps que les autorités prennent leurs responsabilités. Il suffit de mener l’enquête, la société civile demande à ce que LES DROITS LES PLUS FONDAMENTAUX soient respectés. Nous parlons de justice et de l’Europe, du rôle des médias dans les affaires qui nous intéressent.

On en parle...


Et comme nous sommes à l'heure européenne et de la communication internationale, transparente et démocratique. Démocratie participative pour aider nos hommes et femmes politiques. Je vous transmets ce lien,  http://www.wfm.nl/.

 Je le destine à nos blogueurs qui pensent, aux politiques et au ministère de la justice par exemple. Puisqu'ils doivent savoir de quel scandale on parle ici. Il s'agit maintenant pour les médias de faire un travail d'investigation sur le ministère de la justice, à La Haye se trouvent un bon nombre d'instances juridiques internationales. Il est temps que les autorités prennent leurs responsabilités. Il suffit de mener l'enquête, la société civile demande  à que LES DROITS LES PLUS FONDAMENTAUX soient respectés. Nous parlons de justice et de l'Europe. Nous parlons de justice et de l'Europe, du rôle des médias dans les affaires qui nous intéressent.

 

 

 

La DCE... avec Ivan Illich et l'Église...

Nous faisons de la politique européenne, mon mouvement s'appelle la DCE;)... Dans la simplicité...
Je soutiens les mouvements PRO LIFE, Occupy et l'Église.
J'aime beaucoup ce que dit Ivan Illich, je pourrais aussi écrire sur Jacques Ellul, E.F. Shumacher, Christopher Lasch, pour ne parler que d'eux.
Dans "La convivialité"d'Ivan Illich (1973):
Si les outils ne sont pas dès maintenant soumis à un contrôle politique, la coopération des bureaucrates du bien-être et des bureaucrates de l'idéologie nous fera crever de "bonheur". La liberté et la dignité de l'être humain continueront à se dégrader, ainsi s'établira un asservissement sans précédent de l'homme à son outil.
   A la menace d'une apocalypse technocratique, j'oppose la vision d'une société conviviale. La société conviviale reposera sur des contrats sociaux qui garantissent à chacun l'accès le plus large et le plus libre aux outils de la communauté, à la seule condition de ne pas léser l'égale liberté d'accés d'autrui. (p. 30)

Le monde des médias et des banques...

Ce que vous dites Michel m'intéresse. Vous parlez de vérité, or il se trouve que moi aussi j'utilise les mots pour chercher à ma façon la vérité et la justice. À chacun sa spécialité, n'est-ce pas? Le monde des médias m'intéresse beaucoup, leur rôle dans la marche du monde énormément. Ils formeraient le quatrième pouvoir, le pouvoir de l'argent, le cinquième. Là aussi nous pourrions engager un débat avec nos penseurs médiatiques.
Bref, vous êtes tellement critique envers les journalistes du Monde, que je me demande ce qu'ils en pensent eux-mêmes... Il faudrait qu'ils s'amusent à fréquenter ce blog par exemple. Remarquez, peut-être le font-ils. Les blogueurs devenant journalistes et les journalistes, des blogueurs... Même les grosses têtes sont devenues blogueurs, pour vous dire.... Bloguer est devenu une activité à temps plein, pratiquée par (presque) tout le monde. Ceux qui en ont le temps... Certains étant mieux rémunéres que d'autres, je pratique par exemple la gratuité.
Ce monde des médias m'intéresse. Je pourrais les contacter directement, aujourd'hui c'est très facile. D'ailleurs, est-ce que ce n'est pas ce que je suis en train de faire. Les rédactions se doivent me semblent-ils de surveiller un peu ce qui se dit ici ou là... Je surveille un peu la presse, la presse surveille sans doute aussi ce qui se fait dans son champ. Dites-moi Michel, et les autres blogueurs de la place aussi, seriez-vous éventuellement intéressés par une petite visite à la rédaction du Monde par exemple? Si Jacques Attali et Paul Jorion voulaient bien nous accompagner, ce serait encore mieux. J'écris beaucoup derrière ma machine, mais une rencontre en real life de temps en temps m'est nécessaire pour l'inspiration. Chercher le comment du pourquoi demande à aller sur le terrain aussi. Et puis, n'est-il pas temps que les mondes des médias et de la blogosphère se rencontrent? Un but: l'Europe unie. Nous laisserons plus tard les technocrates s'occuper des problèmes techniques.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_de_propagande

Et puis....

Une commentatrice commente. Je relis le Monde du 23 octobre. Ils seront contents, je fais de la publicité. Mais bon, le Monde m'inspire pour écrire... Quelques petites choses.
"Les illusions perdues d'un repenti de Goldman Sachs" et "La banque lance une opération de discrédit sur son ex-salarié". Nous en revenons aux banques. Sujet éminemment intéressant, car nous n'en avons pas encore fini avec cette branche essentielle à nos économies. Les banques... soupir... Les banquiers...resoupir.. Nous levons les yeux au ciel... et nous nous demandons comment tout cela finira...
Dans l'article, des mots forts, du genre "toxiques et destructeurs". Qui sont les banques? Qui contrôle les banquiers?  Une banque, ce sont des hommes, éventuellement des femmes, peu j'imagine. Donc, on s'adresse à des personnes et non à des entités abstraites. Une question essentielle: comment la société formée de personnes également, ou un État, des personnes également, peuvent se prémunir contre ce qui serait "toxique et destructeur"? Première question.  J'attends que les internautes s'impliquent dans ce débat.
Dans l'article au-dessous. "J'ai aimé cet endroit. J'y ai mis beaucoup de mon coeur et de mon âme (?). Je n'y vois pas de trahison. Ce sont les dirigeants actuels de Goldman qui ne pensent pas à l'intérêt de long terme de la firme" dit Greg Smith. Nous espérons le trader sincère... On lit encore des mots doux du genre "rapacité", "hypocrisie", "toxicité" encore... On y lit encore littéralement "la petitesse des hauts financiers jaloux les uns des autres, leur goût du luxe jusqu'à la perte du sens réel"... On y lit comment Goldman Sachs servait de "conseil" au gouvernement grec tout en s'enrichissant de la déconfiture des finances publiques d'Athènes; comment elle vendait à ses clients des produits financiers dont un autre service, à un autre étage, se débarrassait parce qu'il misait sur leur effondrement. Ou encore comment un produit financier véreux, appelé Clorox, fut placé auprès de fondations ou de dotations charitables."( Le Monde, économie, p. 15)
Beaucoup de choses à méditer...