Les historien.nes et le "numérique" : quelques usages et besoins de formation.
Questionnaire conçu et diffusé par Émilien Ruiz en vue d'une journée d'études sur les transformations du métier d'historien-ne et dans le cadre d'une réfleXion plus générale. Toutes les réponses sont totalement anonymes. L'analyse des résultats fera l'objet d'un billet sur La boîte à outils des historiens et/ou Devenir historien-ne. Chercher en réseau.
Avec: http://www.courrierinternational.com/une/2014/11/28/pourquoi-l-europe-s-acharne-t-elle-sur-google... L'âne en tout cas remercie Google et son service Blogger. Google est une belle entreprise, très GROSSE certes, avec beaucoup de GROS bénéfices... mais un service à la personne gé-nial... et d'une simplicité eXtra-ordinaire. Google permet auX écrivains d'écrire, un écrivain écrit, au penseur de penser, un penseur pense, un penseur postmoderne peut faire du collage et de l'art hybride, du mélange de genres, de la surperposition, surtout s'il est bien placé. Avec de la perspective européenne. Au chapitre Histoire et Conférences et relations internationales. Surtout en 2014. Ils peuvent s'auto-publier. C'est un peu comme au temps de l'imprimerie à la fin du XVème siècle. En Hollande. Il est vrai que les GROS bénéfices sont pour Googlequinepaiepastropdímpôts et pas pour le fournisseur de contenu. Les petites mains travaillent pour rien parfois. C'est gratuit. Et vous, chers lecteurs, chers journalistes, car les journalistes doivent se promener sur la Toile aujourd'hui, vous en profitez. On dit merci Google et on remercie l'équipe en charge de la plateforme Blogger. Ici aussi, on fait un peu de surveillance en réseauX. On surveille un peu ce qui se fait dans la presse en particulier. Dans la diffusion du discours de haine et de la violence via les voies médiatiques en tous genres. Electroniques incluses. Surtout les sites s'adressant à la jeunesse. A quoi sert l'électronique eXactement? Et tous ces écrans? Ou comment occcuper la jeunesse et la tenir tranquille... ou la manipuler, l'utiliser.
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