Georges Bernanos, La France contre les robots.
P.s: On reprend dans la blogosphère au chapitre la Technique contrôlée et surveillée par des conseils de surveillance. Une question de responsabilités bien comprises.
Avec les robots américains: http://www.bostondynamics.com/index.html:
Boston Dynamics is wholly owned subsidiary of Google, Inc. We began as a spin-off from the Massachusetts Institute of Technology, where National Academy of Engineering member Marc Raibert and his colleagues first developed robots that ran and maneuvered like animals.
They founded the company in 1992, and their ground-breaking work continues to inspire much of our work.
Boston Dynamics has an extraordinary technical team of engineers and scientists. The team seamlessly combines advanced analytical thinking with boots-in-the-mud practicality.
We pride ourselves in building machines that are both innovative and actually work.
http://en.wikipedia.org/wiki/Google_X
P.s: Quelles petites entreprises font des robots dans le monde? Comment ce business a-t-il été financé? Quelle Corporate Social Responsibility? Et si nous organisions, au chapitre business ethics, une petite rencontre conviviale sur le sujet? A La Haye au Peace Palace, en zone internationale. La Haye est une ville de tradition: des Conférences y ont été organisées. Déjà à la fin du XIXème siècle. Au chapitre le care et la Technique.
https://www.icrc.org/fre/resources/documents/misc/5fzgkl.htm:
[...]
Quel bilan peut-on tirer de ces trois conférences ? Qu’en est-il ressorti de concret ?
Le grand mérite des conférences de La Haye et de Saint-Pétersbourg aura certainement été de réaffirmer haut et fort l’importance du droit international — et en particulier du droit international humanitaire. On peut en revanche regretter que peu de nouvelles pistes de réfleXion aient été eXplorées. Pour ce qui concerne le CICR, ses représentants ont été heureuX de pouvoir participer aux dernières grandes conférences de ce siècle qui, de surcroît, relevaient directement de son mandat de promoteur et de gardien du droit international humanitaire.
Notes
1. Voir André Durand, Le Comité international de la Croix-Rouge à l’époque de la première Conférence de La Haye (1899), RICR , no 834, juin 1999, pp. 353-363, ainsi que Catherine Rey, Le CICR et la Conférence de La Haye de 1899 , à paraître prochainement dans le rapport officiel ayant trait aux conférences de La Haye et de Saint-Pétersbourg.
2. Voir à ce sujet les documents suivants de l’Assemblée générale: A/RES/51/159 du 16 décembre 1996, A/C.6/52/3* du 15 octobre 1997 (contenant un descriptif détaillé des conférences), A/RES/52/154 du 26 janvier 1998, A/C.6/53/10 et A/C.6/53/11 du 12 novembre 1998 et A/RES/53/99 du 26 janvier 1999.
3. Tels les deux Protocoles additionnels de 1977, la Convention de 1980 sur certaines armes classiques avec ses quatre Protocoles, le traité d’Ottawa sur les mines antipersonnel, le DeuXième Protocole additionnel à la Convention de La Haye sur la protection des biens culturels de 1954 — mais aussi le Statut de Rome sur la Cour pénale internationale de 1998.
4. Ce discours est reproduit sur le site internet du CICR : ww w.cicr.org (www.icrc.org pour la version anglaise).
5. Ce discours est disponible sur le site internet du CICR, cf. note 4 supra .
6. Ce rapport n’était pas encore disponible lors de la rédaction de cet article.
7. Cela est stipulé expressément dans le document de l’Assemblée générale A/C.6/53/10 du 12 novembre 1998.
8. Document A/54/98 du 20 mai 1999.
9. Dont la lutte contre la prolifération des armes légères, la ratification du Statut de Rome sur la Cour pénale internationale, l’interdiction des mines antipersonnel ou l’utilisation d’enfants-soldats.
Où en sommes-nous?
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