vrijdag 23 oktober 2015

Mediawet... Une affaire de Justice nationale, européenne ou internationale?...

https://nl.wikipedia.org/wiki/GeenStijl:

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De verkoop van GeenStijl en bijbehorende sites aan TMG maakte journalistiek brein achter en oprichter van GeenStijl, Dominique Weesie, miljonair. Weesie heeft in april 2010 zijn functie bij GeenStijl moeten beëindigen omdat de Mediawet geen belangen bij een commerciële mediaorganisatie toestaat aan directieleden van een publieke omroep, in dit geval PowNed.

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https://nl.wikipedia.org/wiki/Dumpert:

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Het eerste filmpje op Dumpert werd geüpload op 20 maart 2006 en gaat over happy slapping.[2] In die tijd werd de website vooral gebruikt als bijlage voor blogposts voor GeenStijl.

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Happy slapping ("vrolijk meppen")[1] is een eufemisme voor het verschijnsel dat een willekeurige persoon door een groepje, meestal jongeren, in elkaar wordt geslagen hetgeen op een videocamera, meestal een mobiele telefooncamera, wordt vastgelegd. De beelden worden veelal op het internet geplaatst, waarbij de filmers pronken wie het beste iemand heeft gemolesteerd. Dit verschijnsel begon in het zuidelijke deel van de Engelse stad Londen.

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in: https://nl.wikipedia.org/wiki/Happy_slapping

https://fr.wikipedia.org/wiki/Happy_slapping

https://en.wikipedia.org/wiki/Happy_slapping

Et la Justice internationale à La Haye, ou Europol à La Haye aussi, ils servent à quoi au juste? Et si on organisait une rencontre conviviale avec les médias et le Commissariaat voor de Media en Hollande? A La Haye, avec les officiers de Justice, l'OM de la Haye, Arrondissementsparket Den Haag, pour être plus précis encore, et afin de bien ET très correctement se mettre d'accord sur le qui fait quoi dans une société correctement menée. Une rencontre conviviale dans la bibliothèque juridique du Vredespaleis, pourquoi pas? Car la presse et certains intervenants médiatiques seraient laissés un peu trop libres de diffuser de la violence et du discours de haine... jusque dans les chambres des enfants et des jeunes pendant qu'ils essaient de se concentrer. Et tout cela sur le dos des familles et des plus naïfs, certains se feraient même des sous de cette façon. Vos commentaires sont les bienvenus, même de la part de ceuX qui se reconnaissent dans cette histoire un peu juridique. Les notions juridiques qui pourraient servir sont: l'abus de faiblesse, la tentative de corruption de mineurs et de la jeunesse et des familles qui ont bon dos, la diffusion de la violence et du discours de haine, les atteintes à la dignité de la personne et à l'intégrité mentale et corporel, car les jeunes restent coincés derrière leurs écrans aujourd'hui, même dans les transports pubics, ils ne regardent plus assez les belles choses, ils ne recevraient plus assez les bons messages, des acteurs en tous genres s'étant mis dans les réseauX et communiqueraient directement avec les enfants via les voies électroniques... sur le dos des parents responsables. Les parents sont responsables, et les gens des médias sont-ils toujours responsables? pas trop responsables et très libres de communiquer avec les plus faibles.

Que pourrait dire la Justice sur ce laisser-faire, un laXisme devenant un peu trop visible, presque de la négligence, ou du manquement grave de la part... du Commissariaat voor de Media. Depuis que cette affaire s'est invitée tout simplement dans les foyers, les chambres à coucher, les salons avec de la pornographie à l'heure du thé, cet organisme a fini par attirer l'attention. En tout cas depuis 2006. Qui est responsable? On peut remonter à la fin des années 90 au tout début des années 2000. C'est au chapitre toezicht. Et toezichthouders. Sur les conseils de surveillance.

A quoi servent les choses? A quoi sert l'argent public? A quoi servent les conseils de surveillance?

Arrondissementsparket Den Haag
Postbus 20302
2500 EH Den Haag
Tel: +31 (0)88 - 699 1300

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