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11 mars 2013

Travaux parlementaires > Rapports > Rapports d'information

Les nouvelles technologies de l'information

Voir: http://leblogdelaneezelblog.blogspot.nl/2013/03/sur-les-nouvelles-technologies-de.html

On remercie le progrès technologique qui nous permet de faire tout ça ainsi que le lecteur qui est passé ici.

P.s: ce matin, ce billet parle de rapports. Des rapports sont élaborés, écrits, publiés, lus, repris. La machine aide à re-transmettre car il y a le devoir de tranmission. Certains écrivains en ont parfaitement parlé. ET le devoir de transmission est un devoir essentiel dans une société. Hélas, les rapports sont parfois oubliés. Par eXemple, dans le cadre de la petite recherche qui est menée ici concernant la bonne utilisation de l'électronique par la société, la jeunesse en particulier, un rapport est souvent mentionné: Wijzer Kijken - Schadelijkheid, geschiktheid en kennisbevordering bij het gebruik van audiovisuele producten door jeugdigen - Advies Commissie Jeugd, Geweld en Media de novembre 2005. On y parle clairement de co-régulation et au final il est question de self-regulation. Tout le business s'autorégulera. Un petit malentendu s'est mis en place: a-t-on bien et correctement protégé la jeunesse face à l'électronique? Et pris soin de protéger les familles? Car si le marché a cherché à vendre de l'électronique, s'est-il correctement préoccupé des différents acteurs et émetteurs qui se trouveraient en réseauX? A-t-on été assez vigilant quant au "schadelijk media aanbod"? On se tourne évidemment vers les pouvoirs publics et on recherche où se situent eXactement les responsabilités dans une société. Surtout dans le domaine de l'électronique.

Il se trouve que M. Rouvoet, lors d'un débat venant à point nommé, a été approché en vrai, même génération X, http://www.parlement.com/id/vg09lllmylu1/a_andre_rouvoet, et que le problème de la protection de la jeunesse lui a été clairement énoncé. Vraiment clairement et en plus dans un bel endroit. Au chapitre protection de la jeunesse face au "schadelijk media aanbod", et il faut être précis. Le problème est que le temps manque toujours pour bien ET correctement discuter de ce genre de choses. Les personnalités politiques ou intellectuelles ont toujours un besoin urgent de rentrer chez euX lorsque les vraies questions se posent. Vite rentrons à la maison, femme et enfants nous y attendent. Dommage que les gens n'ont pas toujours suffisamment de temps pour écouter et échanger les points de vue. Je crois que c'est ce qui manque en ce moment à nos sociétés, le temps de se rencontrer véritablement, une rencontre conviviale, autour des sujets qui nous intéressent et qui, apparemment, intéressent les journalistes. Il suffit de lire la presse ici pour s'en rendre compte. Que font les organismes (internationauX) concernés, certains d'ailleurs basés à La Haye, ville de PaiX et de Justice internationale, ville hypercyber aussi. Des organismes et organisations qui doivent au-to-ma-ti-que-ment s'intéresser à la protection de la jeunesse face au monde de l'électronique et du "schadelijk media aanbod". C'est leur travail. Ils sont financés pour ce travail. Au chapitre diffusion du discours de haine sur Internet à l'adresse de la jeunesse pendant que celle-ci fait ses devoirs par eXemple. Et nous ne parlons même pas des games. Qui font évidemment partie de la problématique: du funny on passe au serious, pour se retrouver où? La question est posée auX autorités publiques, ici et là, et à ceuX qui pourraient être responsables. L'industrie est impliquée. C'est, encore une fois, une question de responsabilités partagées. Seulement dans cette histoire, personne, et surtout pas les BIG Ones, ne veulent vraiment porter de responsabilités. Presque personne. En effet, les jeunes sont responsables à ce qu'il paraît et... les familles. Parfaitement, les familles sont responsables aussi. Il y en a qui font des recherches pour bien ET correctement comprendre le sens du mot responsabilité dans une société. Mais qui est encore responsable? Au chapitre Corporate Social Responsibility, Responsibility to Protect, Duty of Care, Code of Conduct, belangenverstrengeling, Accountability, etc. Il y a le marché, les pouvoirs publics, la science, et les consommateurs-utilisateurs auXquels on a vendu de l'électronique en faisant un peu dans la négligence. Est-il question de négligence? De manquement grave? Comment organiser cette rencontre conviviale autour de cette question avec les différentes parties prenantes? À La Haye, l'endroit a été trouvé: le Vredespaleis, tout à côté de l'Ambassade de France. Dans la bibliothèque pourquoi pas? Avec de bons livres. Des ouvrages traitant du mot éthique par eXemple. Et des valeurs. Monsieur André Rouvoet, de la génération X comme l'auteur de ce billet, sera invité. Au programme: les valeurs, la protection de la jeunesse et des familles, comment est financée la Santé?, l' éhtique en affaires, le RSE et la mise sur le marché de produits à caractère litigieuX. Les diplomates au service économie sont également invités. Le système fonctionne-t-il encore convenablement, correctement? On place le débat au niveau européen. La ville de la Haye, avec ses Conférences, en est un peu le coeur peut-être puisqu'il y a de quoi réfléchir ici. Également au chapitre Histoire.A.

P.s: La blogosphère écrit aujourd'hui grâce au progrès technologique, mais M. Rouvoet n'a pas demandé où. Il aurait pu le faire en prenant un peu le temps. En espérant le rencontrer à nouveau lors d'une rencontre conviviale dans la bibliothèque du Palais de la PaiX. Utopie, fiction ou réalité, projet réalisable à l'heure de l'Internet pour tous? Petit rappel: ici, on ne parle pas de l'Internet of Things mais d'un Internet full of humans. Un Internet qui cherche à aller dans le bon sens. La bonne direction. Avec les mots RESPECT, Jeugdzorg, Jeugdbescherming. ET on situe le débat au niveau bruXellois. Voire plus, puisqu'à La Haye, on est en zone internationale avec les Nations Unies, etc.A.