vrijdag 18 juli 2014

In de krant... et à la gare...

Dans la presse hollandaise du 14 juillet 2014, un papier du chef de la rédaction politique du NRC. Encore une confidence, comme j'utilise le téléphone, la téléphonie n'a pas été inventée pour les ânes, j'ai contacté il y a quelque temps ce journaliste. On a même parlé en français puisqu'il a travaillé à Paris. On aimerait d'ailleurs bien le rencontrer en REAL, à La Haye: bien ET correctement se comprendre entre journalistes et blogueurs. En effet, les journalistes et les blogueurs font un peu le même métier - certains comprennent le mot gratuité - : ils sont derrière leurs écrans et tapotent sur claviers. DeXtérité recommandée, ça va plus vite. Le journaliste dont je ne citerai pas le prénom écrit: "We kennen de invloed van technologie niet [... ] In de politiek lijkt ICT een omgevingsfactor; handig, maar alles blijft hetzelfde [...] Laten we eerlijk zijn: de technologische revolutie is niet te stoppen door een "voor" of "tegen" per onderwerp. [...]"

Comme il se trouve que cette dactylo s'intéresse à la technologie, comme tout dactylo, on propose vraiment naïvement à ce journaliste, qui se promène peut-être de temps en temps, un peu, sur la Toile NL-FR, une rencontre conviviale dans la ville de PaiX et de Justice internationale, la ville hypercyber de La Haye. Cette idée est-elle bonne? Les blogueurs qui rencontrent les journalistes, lesquels se posent ensemble la question: Qui fait quoi? Qui est responsable de quoi? Et on fait quoi en Europe? Quels Européens pour mener les débats qui nous intéressent? Par eXemple sur le bien fondé de la Technique. Entendons-nous bien, ici, même si la Technique est un peu remise en question - surtout le monde technicien qui ne sait pas eXactement pourquoi il fait ce qu'il fait - on apprécie et soutient les technologies qui nous font aller dans la bonne direction et qui sont respectueuses de l'intérêt général, du partage et du bien-être de la population, les technologies qui respectent certaines valeurs fondamentales ou essentielles aussi. On n'arrête pas le progrès comme ça. Mais le mot RESPECT est très important, et il s'adresse auX journalistes en particulier. À quelle opinion publique s'adressent les médias aujourd'hui, même la presse distribuée gratuitement dans les gares? Spits par eXemple. Quels BIG Ones derrière ces publications? Est-ce que les médias traditionnels comprennent correctement les enjeuX européens et les voies électroniques comme il faut? Quel débat mener avec le monde journalistique ici? "Le RESPECT des valeurs dans les salles de rédaction" pourrait être un des thèmes à aborder au Vredespaleis. La Justice internationale pas trop loin. On peut commencer dans la bibliothèque, avec le mot déontologie et ce que veulent dire les mots eXactement. Où on en revient au mot RESPECT et autres. Ce n'est pas facile de faire comprendre ce mot ou ces mots... même dans les gares où l'on se permet d'afficher des posters très négatifs... Dans les rues aussi parfois d'ailleurs. Au chapitre ingénierie sociale. Aussi des passagers passent et n'hésitent plus à poser la question au "chef de gare". Nous nous sommes plantés devant les affiches et on a fait de l'eXplication de teXte. On ne se comprenait pas bien. On a également essayé d'eXpliquer le problème à la collègue "décorée", curieuse de savoir ce dont on parlait devant cette affiche, elle se joignit à la conversation... Elle n'a pas tout à fait compris, elle se mit à me parler de droitsetcetera, enfin, d'autre chose. Cette histoire finit par être barbante à la fin. Quelle obsession. En effet, cette employée crut nécessaire de me faire des confidences sur sa vie privée... Je n'ai pas compris le rapport. Même si ici, on mène la politique étrangère sur ce point, sur ces droits. Ce blog aime bien les mots égalité et liberté à condition qu'ils soient parfaitement et très correctement définis. Car à entendre ces deuX employés de gare, il y aurait de la confusion dans l'air... Où en sommes-nous? Et pourquoi tous ces tatouages, des anneaux dans le nez et dans les oreilles? Pour une employée de gare, on se pose des questions. Il faudrait appeler la direction.

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