woensdag 30 september 2015

En ligne la France et... la Hollande... l'Histoire moderne et comtemporaine se revisite...

http://passouline.blog.lemonde.fr/2012/11/24/du-roman-aux-xxeme-et-xxieme-siecle-suivez-les-guides.

C'est quoi un roman fleuve? Une nonfiction. Un récit. Un teXte fait de liens et de teXtes divers et variés. On ne manquera par de remercier l'aimable contribution du monde journalistique... et le plus cher des partenaires: Google. Ils inspirent beaucoup cette blogosphère. Et pour cela, on a l'ordinateur et ... le marchand de journauX. Même ici, le papier voyage aussi. Les machines, elles, sont connectées auX réseauX. C'est le progrès qui est passé par là. Le papier voyage un peu plus lentement peut-être. Et on sort ses sous du porte-monnaie pour acheter ce que disent les journalistes. Le bonjour à Nicolas Truong au passage, on l'a rencontré en REAL lors d'un Festival bien connu. Il y a des rencontres inoubliables. Il est à moitié vietnamiem a-t-il dit. Les produits miXtes sont intéressants. C'est comme Barack Obama. Bref, cette plateforme a toujours lu Le Monde; certes, elle ne le comprenait pas toujours. Le Monde est un quotidien ambigu, fait pour des lecteurs avertis, fait pour les copains aussi. Il faut lire au travers des lignes. Les journalistes sont des invisibles de l'écriture, ils écrivent pour la société, on ne les voit guère. Ce blog cherche à organiser une rencontre conviviale en REAL, c'est pour ça qu'il écrit cela. Qu'en pensent les journalistes? Même les femmes. Que les journalistes racontent une fois pour toutes, à tout le monde, le raisonnement derrière leurs teXtes... pour (presque) tous. Car Le Monde est réputé pour la difficulté du niveau de lecture réquis. Mais des blogueurs aiment Le Monde, ils l'écrivent, et ils lui font de la publicité gratuite en plus. C'est facile aujourd'hui, les fournisseurs de contenu font de la publicité sans être subventionnés. Alors que d'autres bénéficient des largesses des uns et des autres. Et en plus, les commités surveillent que l'argent aille là où il faut. Ils sont aidés. Ce blog remercie encore Google pour son service, il faut reconnaître que le système fonctionne très correctement. Les écrivains peuvent y aller à tapoter du clavier. D'un click et ça part en réseauX, sur les réseauX internationauX, pour un public mondialisé. C'est génial, le progrès au service des populations, c'est tout bon. Et on ne peut que l'encourager. Le numérique qui nous permet tous ensemble de penser les choses dans le bon sens, c'est le véritable progrès démocratique. Et c'est l'Europe.

Les questions économiques intéressaient déjà l'auteur... qui avait entamé des études de truc&Cie. A l'époque, il en fallait du courage pour se lancer dans ce genre d'études. On était un peu naïf. La sélection y était draconienne. Les places étaient déjà réservées pour quelques uns seulement, le reste pouvait aller voir ailleurs. Et c'est ce qu'il fit sans même passer ce concours de dingue. Maintenant, on se plaint qu'il n'y a plus les personnes qu'il faut auX bons endroits... Evidemment, la politique de l'époque n'avait sans doute pas vraiment pris le soin de trop penser cet avenir. Cette génération était le moindre de leurs soucis peut-être. A l'époque, au tout début des années 80, les places et les fonctions seraient occupées pour longtemps encore. Toujours un peu les mêmes pendant des décennies, un petit monde qui se connaissait, les études parisiennes offraient des possibilités et des relations. La génération d'avant s'était choisie les bons plans, les bons bureauX; les autres iraient voir ailleurs. CeuX qui suivaient, qui venaient après, qui viendraient encore après. On les a appelés la génération X après le gros des troupes... qui connaissait le chemin à suivre. Vint ensuite la génération Y. Des générations qui furent jetées en pâture dans les arcanes du progrès et de la consommation à l'eXcès. Le Marché déciderait pour vous. Des idées en tous genres pour certains: on enlevait le haut, le bas, on ferait la farandole. Dans de drôles de sens parfois d'ailleurs. A l'époque, cela avait été rendu plus facile, la révolution avait fait son travail. On ne leur avait pas trop demandé de passer par les filtres ni par les concours absurdes. L'éducation civique avait été rapidement abandonnée, les cours de morale également, on était libre. Faire ce que l'on veut ou presque. La compétition eXistait-elle déjà? Les copains étaient passés sans trop peiner sans doute. Les copines aussi. Et on avait fait la fête. Des substances avaient envahi certains milieuX. Est-ce de la fiction ou de la nonfiction? Si vous voulez commenter, vous le pouvez. Cette plateforme est faite pour vous et recherche le contact avec les différentes générations pour y voir un peu plus clair. Et mieuX se comprendre. Quand la génération X cherche le contact et se fait un peu remarquer, ici en tout cas, ça fait quoi? Ça fait des journalistes ou autres qui se disent: "Mais qu'est-ce qu'il dit ce blogueur? Il parle de nous?" Nous, nous sommes ceuX qui écrivent et qui ont des droits. Des droits plus que tous les autres. On a le privilège de l'eXpression libre que d'autres n'auraient pas. Aujourd'hui, il faut partager les privilèges de plus en plus. C'est comme cela que l'on peut comprendre la notion d'égalité. L'égalité se comprend bien parfois. Il faut juste un peu eXpliquer les choses sur écran. Que dit la société? Et l'électronique.

Avec un billet du 13 mai 2013 lu en Hollande: http://leblogdelaneezelblog.blogspot.nl/2013/05/sur-les-relations-journalistes-politiques.html en remerciant le lecteur.

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