http://fr.wikipedia.org/wiki/Bouvard_et_Pécuchet... Pourquoi ici? Parce que dans la boîte auX lettres de l'âne est tombé l'édito de Michel Crépu, et comme on a eu un contact, l'âne ne peut résister, après avoir parcouru son édito, de chercher, grâce au moteur, un éclaircissement. Les acteurs écrivant s'envoie des notes via les voies électroniques.
Avec des mots, la machine et les internautes aident:
Omission
Politiquement correct
Démagogie
Table de radotage
Euphémisme
Métaphore
Langue de bois
Langue journalistique
Langage de la blogosphère à l'heure des nouvelles technologies et de l'Internet où l'on publie et diffuse à la Vitesse V.
C'est le progrès qui veut ça... et l'Internet des écrivains.
Que fait un écrivain?
Il écrit.
Aujourd'hui, il copie aussi.
La machine l'aide.
Avec, via Facebook: http://esprit.presse.fr/news/book/critics.php?code=754, et le bonjour à Frédéric Martel, qui est partout;) dans les affaires numériques où les cultures se rencontrent et s'interpellent. Un peu de publicité:
Smart
Enquête sur les internets
Paris, Stock, 2014, 408p.
« Internet et les questions digitales ne sont pas des phénomènes principalement globaux. Ils sont ancrés dans un territoire ; ils sont territorialisés. » Telle est la thèse, affirmée dès le prologue, du nouveau livre de Frédéric Martel, qui ne veut plus que l’on parle de l’internet mais des internets. Comme Mainstream (réédité en poche chez Flammarion, coll. « Champs actuel » en 2011), il s’agit d’un livre-enquête touffu, qui nous emmène dans le monde entier à la rencontre de ceux qui font le numérique aujourd’hui, de la bande de Gaza à la Silicon Valley. On y découvre la diversité des conceptions et des usages du net, selon les pays, les territoires, les communautés (locales, ethniques, religieuses…). Bien que la thèse de l’ouvrage soit claire, celui-ci ne prétend pas apporter des réponses à toutes les questions que l’on se pose sur la révolution numérique ; il donne en revanche la parole à ceux – des dirigeants de grandes entreprises américaines aux militants de l’accès au numérique dans les townships sud-africains – qui en sont les acteurs. L’internet n’est pas synonyme de démocratie, comme le montre la manière dont il fonctionne en Chine ou à Cuba, ni forcément d’américanisation : « Les outils – et quelque fois les marques – sont globaux mais les contenus sont locaux. » En plus de cette dimension factuelle, le livre esquisse des pistes de réflexion intéressantes, notamment en ce qui concerne le domaine de la culture, qui, de « produit » culturel, devient un « service » ; on ne possède plus (des livres, des CD, des Dvd…), on a accès à, on s’abonne à des « contenus ». S’il est beaucoup question de la « verticalité » des internets, qui s’ancrent dans les territoires et ne sont pas une simple couche superficielle et uniforme, on parle peu du big data et de la manière dont les données territorialisées sont agrégées – et exploitées – au niveau supraterritorial. On se permettra par ailleurs de noter, au vu des nombreux entretiens présentés, que le numérique est un monde d’hommes, malgré de rares exceptions, et qu’à cet égard au moins, il n’est pas si « révolutionnaire » que cela…
A. B.
L'Internet serait un monde d'hommes. Frédéric, vous serez invité à La Haye pour la rencontre conviviale... Car ici, on a proposé qu'à La Haye, ville hypercyber, ville de Paix aussi, puissent se rencontrer les acteurs de l'Internet et de la culture numérique émergente. Les BIG Ones comme les petits indépendants mais actifs. Actifs aussi dans la protection des consommateurs-utilisateurs-usagers. Protection des plus jeunes et des plus vulnérables. N'est-il pas temps que ce petit monde des réseauX, journalistes compris, se rencontre, de façon conviviale, dans un endroit stratégique, avec perspective internationale et autres? Le Palais de la PaiX ou sa bibliothèque pourraient être intéressants. L'Histoire s'y trouve également, ce qui tombe bien en 2014.
P.s: Combien d'internets y a-t-il?
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