Lorsque j’ai commencé à bloguer, je ne pensais
pas que plus de deux ans plus tard, je serais encore là à écrire. Le début de
quoi? Le début d'une réappropriation de notre humanité, car nous savons bien
qu'un certain pouvoir existe, ici ou là, il n'y a pas qu'en France que le mal cherche
à se faire une place... Mais on peut travailler à changer ces choses, je veux
dire changer ce que le pouvoir, via les médias et certains médiateurs, voudrait nous imposer. Manipulation,
aliénation, contradiction, inversement des valeurs, confusion, autant de
stratégies pour frustrer la société de son humanité et de sa force vitale et
bienfaisante, bienveillante. Avoir encouragé bêtement une vision utilitariste
de la société au moyen du travail pour ne servir que certains intérêts, certes divers et variés… Peut-on parler irresponsabilité? Qui prend la peine de se pencher sur la
valeur travail? Lorsqu'on voit que des femmes en fonction, c'est à dire "au travail", ici ou là, ont été mises dans un
rôle qui n'est pas du tout le leur, on peut en arriver à se demander qui est
responsable de cette anomalie? Toujours cette question: qui est responsable de
quoi? Combien de fois n'ai-je pas le sentiment que ce sera aux hommes et aux
femmes de bonne volonté, de la société
civile bienveillante , de dire haut et fort qu'ils en ont assez de tout ce qui
est mis en place pour avilir et aliéner, et même tromper l'homme, la femme et
l'enfant. Nous ne sommes pas dupes. D'abord il faut l'écrire. Ce que je
fais. Puis on envoie ce genre de pensées
dans le monde en espérant être lue. Et sans doute est-on lu par quelques âmes en
état de veille ou en veilleuse... Car il faut un peu surveiller ce qui se dit ici
ou là.
C'est également une tentative de s'accaparer du pouvoir qu’aurait pris
la machine, la tester aussi, pour dire certaines choses essentielles.
Tester aussi notre liberté d’expression.
Car nos libertés nous sont chères. Tout comme les valeurs morales. Mais
il faut avoir du temps. Avoir du temps n’est pas forcément le perdre. Donner de son temps gratuitement, sans
attendre de retour… Il se peut qu'il n'en ressorte rien, mais on ne sait
jamais. De toute manière, c’est
aussi pratiquer une nouvelle forme d’écriture. Le poids des mots.
Et si, plutôt que de s'occuper de « bionicité »
et de cybernétique et de toutes ces
innovations bio- prometteuses paraît-il, mais dont on connaît la teneur et le sens - je me souviens avoir lu un livre parlant de
transhumanisme… - , les médias commençaient
sérieusement à retravailler un peu dans l’investigation ? S’ils se demandaient
quels intérêts au juste ils ont servis et servent encore ? Et s’ils en profitaient en même
temps pour faire leur autocritique ?
Et s'ils commençaient un peu à se penser eux-mêmes, une introspection, et à se remettre en question ? Ne serait-ce
pas un début? Car si les choses doivent changer, elles changeront pour tous, y
compris pour les médias…
Enfin, une chose à laquelle il faudra
s'attacher à répondre est bien ce: qui est responsable de quoi? Responsabilité,
un mot qui résonne de plus en plus fort ici
et là. Qui est responsable de quoi? Être responsable. Les médias ne
pourraient-ils pas commencer par investiguer de ce côté-là? Sinon à quoi
servent-ils dans le fond? Juste à nous divertir, nous distraire de l'essentiel?
Comment la société moderne a-t-elle communiqué ces années durant, sinon au
travers des médias... La tâche première des médias était d'informer et de bien
informer pour défendre les intérêts des citoyens, défendre une idée de vérité,
de justice et de démocratie, un
contre-pouvoir. Ont-ils bien joué ce rôle essentiel pour la démocratie?
Responsabilité des médias. Nous en revenons toujours à cette histoire de
collusion des élites, une histoire qu’il faudra prendre le temps d’ étudier et
de comprendre... Qui dirigent les médias ? À qui appartiennent les
médias ? Quelle est la responsabilité des médias?
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