vrijdag 28 februari 2014

Débauche, eXcès, surabondance électronique, protection de l'enfance et de la jeunesse...

On peut lire dans la blogosphère:

"Incitation à la débauche dans l'éducation nationale

[...]

Est-il enfin besoin de préciser que la nature de cette communication n’est pas éloignée de la notion d’incitation à la débauche pour les mineurs, visée par l'article 227-22 du Code Pénal dont nous nous permettons ici de rappeler le contenu :

« Le fait de favoriser ou de tenter de favoriser la corruption d'un mineur est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. Ces peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsque le mineur a été mis en contact avec l'auteur des faits grâce à l'utilisation, pour la diffusion de messages à destination d'un public non déterminé, d'un réseau de communications électroniques ou que les faits sont commis dans les établissements d'enseignement ou d'éducation ou dans les locaux de l'administration, ainsi que, lors des entrées ou sorties des élèves ou du public ou dans un temps très voisin de celles-ci, aux abords de ces établissements ou locaux.""

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

P.s: Mis en ligne chez l'âne car c'est aussi pour cela qu'il écrit, téléphone, contacte, rencontre... La jeunesse face à l'électronique: qui s'en préoccupe vraiment? C'est dans ce champ que l'âne travaille. Étant donné qu'à l'Éducation ici, on mêle enseignement et médias, il y a du travail à faire... Un travail de désambiguisation semble nécessaire. Être vigilant(e) et surveiller, et que dit-on à la Justice? Il y a la Justice internationale aussi, les sièges ici et là, des directions, etc. Les droits, les lois et les directives. Où en sommes-nous? Quelle priorité? Que fait-on du goede zeden? La protection de la morale au travers des voies électronique...

L'âne met en ligne ce lien pour eXprimer ce qu'il pense représenter un certain ordre: http://fr.wikipedia.org/wiki/Martine, nous sommes aussi dans les années 60: http://fr.wikipedia.org/wiki/Années_1960... Les femmes commencent à s'émanciper, se libérer, les sociétés aussi... http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Choses... Aujourd'hui, l'électronique et les gadgets sont partout, les femmes ont performées et se sont lancées dans la compétitivité. Être compétitives. Elles ont tout quitté pour certaines, elles se sont lancées dans le système, et dans celui de la consommation. Certaines ont tout lâché, ne se retrouvant plus, pour certaines, à la bonne place. N'ayant pas trop pris non plus au sérieux la Responsibility to Protect ou le Duty of Care... Les hommes en ont profité. L'économie aussi. Jusqu'à un certain point. Et maintenant, où en sommes-nous? Qui pour s'occuper de la protection des plus vulnérables? Qui pour écrire le mot responsabilité bien clairement? Pour bien définir les responsabilités des uns et des autres. Et il y a toujours le devoir de transmission évidemment.

http://www.risques.gouv.fr/actu-risques-crises/actualites/cybersecurite-le-premier-ministre-annonce-ses-priorites

http://www.gouvernement.fr/premier-ministre/cybersecurite-le-premier-ministre-annonce-ses-priorites?xts=38025&xtor=EPR-148082-%5binfolettre%5d-20140227-%5bcybersecurite_le_premier_ministre_annonce_ses_priorites%5d&xtdt=23225136

La protection de la vie privée au cœur de la sécurité des systèmes d’information

Le Premier ministre a également annoncé toute une série de mesures portant sur la sécurité des systèmes d’information de l’Etat, la sécurité des échanges électroniques effectués sur le territoire national, le soutien à l’industrie française de la cybersécurité, la sensibilisation et la formation.

Pour assurer la sécurité des systèmes d’information de l’Etat, le chiffrement des réseaux sera systématisé. De plus, lors de leurs achats de produits et service de sécurité informatique, les administrations de l’Etat devront choisir des produits et services labellisés par l’ANSSI.

"L’effort que nous déployons en faveur de la sécurité des systèmes d’information est aussi une des clés de la protection des libertés publiques et de la vie privée", a insisté le Premier ministre en annonçant le chiffrement des offres nationales de messagerie électronique par les fournisseurs et le traitement des messages par des infrastructures situées sur le territoire national.

L’objectif est "de garantir l’inviolabilité des correspondances, vieux principe républicain qu’il faut réaffirmer dans le monde numérique", a-t-il expliqué.

Parallèlement à l’accroissement des moyens d’action de l’État, le Premier ministre a plaidé en faveur d’une industrie de la cybersécurité performante essentielle à l’autonomie stratégique de la Nation. Sur ce point, il a notamment rappelé l’installation en octobre dernier du comité de la filière industrielle de la sécurité destiné à "favoriser le dialogue public/privé au service de la sécurité du citoyen et de la compétitivité de l’industrie française". Afin de renforcer encore cette filière industrielle stratégique, le Gouvernement a consacré à la cybersécurité l’un des 34 plans de la Nouvelle France industrielle. Enfin, le Gouvernement a fait le choix de soutenir la recherche et le développement notamment à travers les appels à projets du programme des Investissement d’avenir. Geneviève Fioraso veillera au développement de la formation des spécialistes en cybersécurité en garantissant sa prise en compte dans les formations informatiques supérieures.

Le Premier ministre a enfin rappelé que la France soutenait en Europe une politique ambitieuse d’autonomie stratégique dans le domaine du numérique afin de ne pas dépendre de tiers pour héberger et traiter les données des entreprises et des citoyens européens. Ces mesures concourent à la protection de la vie privée des citoyens et à la lutte contre le cyber-espionnage industriel.

http://www.gouvernement.fr/premier-ministre/cybersecurite-le-premier-ministre-annonce-ses-priorites?xts=38025&xtor=EPR-148082-%5binfolettre%5d-20140227-%5bcybersecurite_le_premier_ministre_annonce_ses_priorites%5d&xtdt=23225136 - 20 février 2014.

P.s: En essayant de ne pas trop mélanger. Et d'autres questions sociétales demandent réflexion au niveau européen.

http://leblogdelaneezelblog.blogspot.nl/2014/02/on-simplique-on-ecrit-sur-les.html


NGO's... et les nouvelles technologies... Sur la dignité et l'intégrité des enfants et de la jeunesse...

Par eXemple, ce lien qui m'a été transmis par Human Rights Watch à Paris, c'est en Suisse: http://fr.wikipedia.org/wiki/Action_Innocence

Et il y en a beaucoup d'autres...

On téléphone au Monde...

Le téléphone sert à bien communiquer quand il le faut. Et quand on essaie de contacter des journalistes au Monde, ou ailleurs d'ailleurs, les rédactions, trop souvent, font les difficiles, ou alors on vous dirige vers une boîte vocale. Devons-nous en conclure que les journalistes modernes n'aiment pas la communication directe postmoderne? L'approche postmoderne. Question à poser à des philosophes, ceux qui ont fait partie des nouveaux aussi. Aller à la rencontre des lecteurs, et des blogueurs surtout, rencontre en vrai ensuite, un peu comme au Festival d'Avignon l'été passé, et se laisser interviewer: "Pourquoi avez-vous choisi ce métier?"

Le téléphone doit servir à communiquer correctement. Politically. C'est ce qu'on appelle le progrès bien compris. Ce matin, j'avais une femme au Monde, elles rechignent souvent à vous répondre convenablement, en prenant leur temps. Des femmes qui n'ont le temps de rien faire, toujours pressées, stressées, ce n'est pas bon pour la société. Des femmes qui ne disent pas la vérité, c'est très mauvais. Et des femmes qui n'aiment pas le mot responsabilité, c'est une catastrophe pour la société. Des femmes avides..., vous pouvez compléter. Que pense-t-on chez les powerféministes? Au chapitre moi, je décide toute seule... Nous revenons un peu en arrière... Quand les ventres parlaient. Quand des manifestes étaient publiés... Nous étions encore trop jeunes pour comprendre.

http://rue89.nouvelobs.com/2014/02/21/pourquoi-deviendrai-jamais-journaliste-france-250149?utm_source=outbrain&utm_medium=widget&utm_campaign=obclick&obref=obinsource

La machine nous donne beaucoup de liens, il y en a pour tous les goûts. Là, c'est pour ceux et celles qui s'intéressent au (bon?) fonctionnement des médias traditionnels. Et il y a FB;)http://www.topito.com/top-signes-addiction-facebook...

International Court of Justice...

http://www.icj-cij.org/information/index.php?p1=7

http://www.icj-cij.org/information/index.php?p1=7&p2=5 -> links

http://www.icc-cpi.int/fr_menus/icc/about%20the%20court/Pages/about%20the%20court.aspx

P.s: La Justice internationale à La Haye:
Peace Palace
Carnegieplein 2
2517 KJ The Hague
+31 (0)70 302 23 23

P.s: On téléphone pour eXposer le petit problème et l'idée d'une rencontre, demander un rendez-vous, et la réceptioniste francophone vous raccroche brutalement au nez sous prétexte qu'il y a beaucoup d'appels. Soit. Je lui disais que début janvier, j'ai eu l'occasion de visiter ce magnifique bâtiment et que, reçue à l'Ambassade de France pour parler du problème de l'électronique et de la protection de la jeunesse, j'avais en même temps une très belle vue sur l'endroit. Un endroit qui inspire beaucoup, et même énormément. Ici, la Justice et l'Histoire se rejoignent, la mondialisation aussi. Nous sommes dans la Justice internationale...

Le po-si-tif de la décroissance...

Plus d'argent pour acheter l'i-nu-ti-le.

Finalement, le vélo a du bon...

http://www.volkskrant.nl/vk/nl/2812/China/article/detail/3605026/2014/02/28/Slechte-luchtkwaliteit-drijft-rijken-weg-uit-Peking.dhtml

La téléphonie coûte trop cher et sert à quoi finalement?...

Quand trop rime avec trop... Cela fait trop, c'est trop. Et au top, qui décide? Pour qui décide-t-il? Pour le business ou pour les consommateurs? Les utilisateurs, les usagers, etc. Les parents et la jeunesse n'ont plus assez d'argent pour acheter tout cet attirail et ces gadgets i-nu-ti-les. L'é-lec-tro-ni-que i-nu-ti-le ne sert à rien;), c'est comme la ro-bo-ti-que i-nu-ti-le.

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/02/27/reperee-une-americaine-agressee-dans-un-bar-parce-quelle-portait-des-google-glass/

La société peut en venir à refuser ce qu'elle n'a pas envie de voir proliférer. Cela vaut pour tous les gadgets électroniques et la robotique et les games qui n'apporteraient rien de po-si-tif, on n'oubliera pas toute l'industrie vidéoludique aux contenus nocifs, nuisibles à l'ensemble de la société. Je souhaiterais une bonne discussion lors d'une petite rencontre conviviale à La Haye, Carnegieplein 2, avec des épouses et des mères en particulier, tous niveaux confondus;), impliquées dans les questions qui nous concernent à l'heure de la mondialisation. Je me répète, mais si l'idée est bonne, elle aboutira.

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2014/02/27/les-images-de-webcams-de-millions-d-innocents-collectees-par-les-espions-britanniques_4375033_651865.html

Que pense-t-on en Amérique?

Que pense-ton à Boston? Seriez-vous pour une petite rencontre conviviale au Peace Palace à La Haye? Pour discuter robotique, smart cities et serious games? Est-ce que ce sont nos enfants qui doivent fabriquer tout cet appareillage inutile? Qu'en pensent les papas ingénieurs? Qu'en pense Mme Gates?

http://leblogdelaneezelblog.blogspot.nl/2013/07/la-societe-moderne-cetait-hier.html, un petit coup d'oeil sur ce billet du 10 juillet 2013, en remerciant le lecteur qui a eu l'idée de le lire;)...

P.S: l'âne prend la liberté d'inviter Madame Bill Gates a venir parler de la protection de la jeunesse au Peace Palace, dans la belle ville de La Haye, ville de Paix et de Justice internationale, à l'ONU. Des femmes peuvent finir par se comprendre. Est-ce que l'idée est bonne? Les Américains peuvent répondre à ce billet. Il suffit de cliquer au bon endroit pour déposer un message.

http://www.vredespaleis.nl/publicaties...

"The Building of Peace: A Hundred Years of work on Peace through Law: The Peace Palace, 1913-2013",

Joor, J. and H.M., Verrijn Stuart, 2013.


"A new home for the study of international law",

A. Hebly en C. Boekraad, 2008.


"The Peace Palace, a living institution of international law",

G. Kerkvliet, 2004.


"The Trusteeship of an ideal, The Carnegie Foundation - Vignettes of a Century", 2004.


"The Peace Palace",

A. Eyffinger, 1988.


http://www.vredespaleis.nl/index.php?pid=69&page=Publicaties&PHPSESSID=58f9b3af90a02063ef5d3bc32d90bbbe


http://www.youtube.com/watch?v=uAspqCD34Hw - About Boston Dynamics... Et nous avons habité Boston...

http://www.youtube.com/watch?v=8zP7yP8hdLE... Sur les robots encore. Et combien coûte tout ça à la société américaine?

Économie po-si-ti-ve & é-lec-tro-nique...

Au chapitre industries créatrices de richesses.

Dans la blosgosphère et à la télévision... Au chapitre Histoire et la ville de La Haye...

http://www.noblesseetroyautes.com/2014/02/documentaire-nicolas-ii-le-dernier-tsar-de-russie/#more-81806

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_II_de_Russie

[...]


Défense de la paix


Nicolas II en 1901 photographié par Karl Bulla dans son pavillon de chasse
L'allié principal de la Russie, à cette époque, est toujours la France, depuis la signature de l'alliance franco-russe, ratifiée par Alexandre III de Russie en 1893. En effet, la Russie voit d'un œil inquiet la montée en puissance de l'Empire allemand à sa frontière occidentale. La Triplice redoutée lie toujours l'Allemagne, l'Autriche-Hongrie - dont la diplomatie expansionniste dans les Balkans l'oppose à la Russie - et le royaume d'Italie. Aussi la France, outre son programme de coopération financière et économique, aide-t-elle l'armée à se moderniser à la suite de l'alliance franco-russe signée en 1891. Des visites officielles bilatérales s'effectuent à un rythme régulier : d'abord la visite du jeune couple impérial en France, en octobre 1896, qui est un triomphe et au cours de laquelle Nicolas II inaugure le Pont Alexandre-III à Paris36, ensuite la visite en 1897 du président Félix Faure, puis la seconde visite de Nicolas II en France en 1901, auquel répond celle du président Émile Loubet à Saint-Pétersbourg en 1902.

L'Angleterre, quant à elle, reste fidèle à sa politique de « splendide isolement », et, concurrente de la France dans sa politique coloniale, n'a de cesse de contenir la Russie et de critiquer cette alliance. En 1902, elle va même jusqu'à signer avec le Japon un traité, où elle attaquerait la France si le Japon est attaqué par la Russie. Ce qui explique la neutralité de cette dernière, lors de la désastreuse guerre russo-japonaise.

Par la suite, constatant la faiblesse de l'armée russe après sa défaite et inquiète de la rencontre à l'été 1905 du Kaiser et de son cousin le tsar, l'Angleterre change de point de vue par nécessité. Elle se décide à régler ses différends de frontières dans le Pamir, en Afghanistan et en Perse avec la Russie et amorce une politique de rapprochement qui donnera corps à la Triple-Entente. Le président Fallières rencontre Nicolas II à Cherbourg, le 31 juillet 1909. Cette alliance à trois qui est présentée alors comme une défense de la paix face à la montée des périls est en pleine vigueur, jusqu'à la Première Guerre mondiale.

En août 1912, après les affaires de la canonnière d'Agadir et des différends de la France avec l'Empire allemand, Raymond Poincaré, alors président du conseil et chargé des Affaires étrangères, se rend en visite officielle en Russie, pour surtout assister à des manœuvres conjointes et se rendre compte de l'état de l'armée russe. Il réitère sa visite, cette fois en tant que président de la république, juste après l'attentat de Sarajévo, en juillet 1914.

Sur le plan intérieur, en 1897, le tsar envoie le général Galitzine russifier les provinces du Caucase et en 1898, il nomme gouverneur général du grand-duché de Finlande Bobrikov qui entreprend une certaine russification de la population.

Malgré cette répression, un appel au désarmement est lancé en 1898 par Nicolas II, conseillé par Witte qui est totalement opposé à une guerre soit avec l’Allemagne, soit avec le Japon. Nicolas II lance à tous les pays un appel au désarmement et à la paix mondiale, en se référant aux conséquences commerciales, financières et morales de la course aux armements37 En 1899, le tsar choisit la ville de La Haye pour la première conférence internationale devant discuter de ce problème.

Les autres puissances comme le Royaume-Uni et l'Allemagne accueillent froidement son invitation. Vingt nations européennes, toutefois, participent à ces rencontres, ainsi que les États-Unis, le Mexique, le Japon, la Chine, le Siam et la Perse qui réunissent aussi des experts de droit international public de divers pays. La proposition de désarmement est repoussée, mais on obtient une convention sur les règles de guerre (qui prévoit la tutelle de personnes et les structures civiles et la prohibition des gaz toxiques), et le droit international humanitaire. Le résultat le plus important obtenu du tsar et de ses collaborateurs est cependant la création de la Cour d'arbitrage international de La Haye

[...]

P.s: L'Histoire est compliquée.

En France, des forces créatives...

Lors de la première conférence annuelle mondiale de l'économie positive (« LH Forum »), organisée au Havre en septembre 2012, le président de la République a confié à Jacques Attali la rédaction d'un rapport sur l'économie positive, afin de produire une définition de ce concept, ainsi qu'un index d'évaluation et des recommandations de mesures à mettre en oeuvre par le gouvernement français.

http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/134000625/index.shtml#

Cathédrale dans le Limbourg...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Cathédrale_Saint-Christophe_de_Ruremonde

Conférences de La Haye... Au chapitre Histoire...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Première_conférence_de_La_Haye

http://fr.wikipedia.org/wiki/Seconde_conférence_de_La_Haye

Loi naturelle et famille chrétienne et blogosphère...

http://www.famillechretienne.fr/societe/droit-de-la-famille/l-editorial-d-aymeric-pourbaix-loi-naturelle-la-sortie-du-desert-49764

http://www.famillechretienne.fr/societe/politique/a-fontgombault-les-moines-radies-des-listes-se-pourvoient-en-cassation-130441

via Le Salon Beige qu'on remercie.

P.s: Sur le rôle des moines en Hollande, il y a très longtemps....

Les philosophes sur la Toile...

http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/auditoriums/f.trames_philo.html?seance=1223914426578

On s'implique, on écrit... Sur les responsabilités encore et toujours...

http://www.gouvernement.fr/premier-ministre/ecrire

Je laisse des internautes qui ne sont pas des robots, intéressé(e)s par les problématiques eXposées ici, le soin d'écrire et d'intervenir auprès des pouvoirs publics, ici ou là. Au chapitre démocratie bien comprise. Une question essentielle: la jeunesse est-elle suffisamment et correctement protégée face à l'électronique? Quelle co-régulation mettre en place à l'échelon européen?

Culture et Communication,
Éducation et Recherche,
Europe,
Santé et Solidarité,
Sécurité,
Justice.

On pourra choisir de contacter le Président de la République française, on pourra choisir de contacter les pouvoirs publics ici, et les inviter à une petite rencontre conviviale au Palais de la Paix ou Vredespaleis dans la belle ville de La Haye, là où se trouvent les Nations Unies. C'est une bonne idée. Rassembler ce petit monde, même avec des journalistes, même avec des blogueurs, même avec des penseurs, même avec les Nations Unies en Suisse. Dans la postmodernité, on mélange, les barrières tombent les unes après les autres, les frontières se font de plus en plus fluides, c'est une histoire de mondialisation. Tout va très vite, les machines peuvent aider, la technique bien employée n'est faite QUE pour ça - les ingénieurs ont leurs responsabilités à prendre également - : se faire rencontrer ceux et celles qui n'imaginaient pas pouvoir un jour se rencontrer. On invitera les conseillers aussi. Mes amis virtuels qui m'inspirent tant. J'en ai déjà rencontré un, à moitié néerlandais comme l'âne, l'autre est écrivain médiatique, très bon élève, dans notre jeunesse on nous disait déjà qu'il avait été major partout. Grosse tête venant des pays chauds, comme le père de l'âne. L'Afrique du Nord a produit des penseurs. Même des Postmodernes. L'âne travaille à la rencontre conviviale, nous sommes en 2014, au Peace Palace de La Haye. Commémoration, souvenir, historiographie, débat public sur le qui fait quoi dans la société européenne aujourd'hui. Quels acteurs? quelles préoccupations? quelles questions essentielles? quelles responsabilités? Corporate Social Responsibility, Duty of Care, Code of Conduct, Responsibility to Protect, etc. Vous connaissez maintenant le sens que souhaite donner ce blog -> un moment de convivialité façon Illich dans un pays dont on ne parle pas assez: Le pays hollandais. Ce pays qui est le mien aussi mérite toute notre attention aujourd'hui alors que nous voulons faire l'Europe bien comprise et des bonnes valeurs. Des Hollandais sont dans le Sud, certains bien installés les pieds dans l'eau, dans leur résidence secondaire. En espérant qu'ils n'ont pas fait dans le belangverstrengeling ou fiscalité ajustée. L'argent doit se retrouver dans les bonnes caisses. On se répète un peu. La Hollande a besoin de sens, de bon sens et nous pourrions chercher à discuter de tout cela avec des responsables. La Hollande est le pays d'Érasme, et on ne l'oubliera pas. Et si les journalistes du Monde s'y intéressaient un peu: Érasme, Vredespaleis, Justice internationale, BIG Ones, industries dites créatives dont la population ne veut pas forcément. Car trop c'est trop: smartphones et drones, ça suffit comme ça. Qui est responsable dans ce pays du paradoXe? Où se situent les véritables responsabilités? L'autre jour, j'ai été reçu par une employée de mairie s'occupant de la jeunesse ici, comme il y a des employés dans les ministères qui s'occupent aussi de la jeunesse, qui se sont occupés de la jeunesse en publiant des rapports (en 2005 par eXemple). Les ministres et secrétaires et fonctionnaires servent à quoi au plus juste? Qui fait quoi dans les bureaux? Qui a fait quoi?... Et la Justice? Bref, la discussion fut po-si-ti-ve. Mais je n'ai pu m'empêcher à un certain moment de prononcer les mots d'irresponsabilités organisées. Que veut dire agir dans l'irresponsabilité organisée? Diriger sans véritable sens des responsabilités? Chers lecteurs, je vous laisse à cette réflexion fondamentale quand on pense à la bonne marche de nos sociétés. Ces questionnements sont posés ici afin de lancer un vAAAste débat sociétal. Que doit-on faire quand on parle de responsabilités bien comprises, du Responsibility to Protect et Duty of Care? Qui doit-on encore contacter? On interpellera des femmes ministres en particulier. Des femmes à Bruxelles aussi.

P.s: On reviendra sur cet article, "Een drone die zo handig is als een smartphone" (NRC Handelsblad du 26 février - Binnenland).

donderdag 27 februari 2014

Vertrouwen & crisis & aandacht & bewustwording & ...

...

Over vertrouwen in wetenschap... Kinderen, jeugd, privacy, gezinnen, aandacht, geld, ruimte, vrijheid, LuXe, overvloed, vertrouwen, crisis, overheid, etc...

http://www.nationaleonderwijsgids.nl/universiteit/nieuws/21826-vertrouwen-in-wetenschap.html

http://www.mediawijzer.net/

http://www.mediawijzer.net/symposium-mijn-kind-online-echte-vragen-jeugd-en-internet/

http://www.rathenau.nl/medewerkers/medewerker/rinie-van-est.html

http://www.rathenau.nl/themas/thema/project/convergerende-technologieen.html

http://www.mediawijzer.net/agenda/2-daagse-cursus-internet-en-onderwijs/

http://www.youtube.com/watch?v=TUc0UqeVQ2M&list=UUkSr406s1xRZvM95IzhTBkw#t=111
De intiem-technologische revolutie - Rinie van Est

http://www.youtube.com/watch?v=4WIpIzR_VR4&list=UUkSr406s1xRZvM95IzhTBkw
De invloed van technologie op het denken over 'jeugd' - Pedro de Bruykere

http://www.youtube.com/watch?v=7BKreNOwlxY&list=UUkSr406s1xRZvM95IzhTBkw
Jutine Pardoen

http://www.youtube.com/watch?v=0dO1MrHST-I&list=UUkSr406s1xRZvM95IzhTBkw
Onze privacy verdwijnt, wanneer gaat het te ver? - Peter Vlemmix

http://www.youtube.com/watch?v=uIp4I2DM2jA&list=UUkSr406s1xRZvM95IzhTBkw
Mediawijsheid als nieuwe burgerplicht - Stephan Fellinger

Wat doen we online? Wat doen we met belangrijke rechten, plichten, Duty of Care, Corporate Social Responsibility, Responsibility to Protect en RESPECT. De kinderen en de jeugd hebben RECHT om beschermd en gerespecteerd te worden.

Au chapitre du care, nous trouvons...

...

Les BIG Ones et la protection de la jeunesse...

En Amérique, on est suivi. L'âne invite les riches Américains et les BIG Ones à venir eXposer leur opinion sur la protection de la jeunesse face à l'électronique au Palais de la Paix, Peace Palace, en zone internationale. Si vous êtes interessé(e)s, vous êtes prié(e)s de contacter l'Ambassade de France et le ministère des Affaires étrangères à La Haye. Des Européens cherchent la rencontre conviviale avec des parents soucieux du bien-être de leurs enfants, surtout avec ceux et celles impliqué(e)s dans les BIG Ones... au plus haut niveau. Pourquoi pas? Une question de logique: la protection de la jeunesse concerne TOUT le monde.

Est-ce que les médias traditionnels pourraient s'intéresser au rôle des nouvelles technologies...

...dans la société et en particulier dans le quotidien de la jeunesse? Au chapitre électronique et protection de la jeunesse. Encore. Comment gère-t-on l'électronique dans les autres familles, du bas de l'échelle comme au plus haut de l'échelle? Et dans les Palais?

P.s: Les Riches peuvent s'acheter de l'électronique, pour les moins riches, ce sera plus difficile. L'électronique coûte cher. Il faut de l'argent. Est-ce que les jeunes ont cet argent? L'âne pose les choses très simplement et questionne vraiment simplement.

P.s: Comment les très Riches protègent-il leur jeunesse face à l'électronique envahissante? Que pensent-ils des BIG Ones qui ne s'en tiennent pas toujours à une bonne régulation et qui ne paient pas toujours bien leurs impôts?

P.s: Dans Le Monde du 26 février 2014, Science&Médecine, on peut lire "L'invasion des robots du Web - Numérique - Utiles ou malfaisants, les "non-humains" qui surfent sur le Web dominent le trafic sur la Toile. Le secteur de la publicité, dont les tarifs dépendent des audiences, prend conscience des effets pervers de cette fréquentation articifielle" par David Larousserie en page 2.

P.s: L'âne appelé la direction du Monde ce matin. Rappeler Mme Isabelle André au Monde interactif. Il a aussi appelé aux Nations Unies en Suisse, le Haut-commissariat aux droits de l'homme (de la femme et de l'enfant) à l'adresse suivante:

Bureau du Haut-Commissariat aux droits de l'homme
Palais Wilson
CH-1201 Genève, Suisse

Et il a appelé la Fédération Française des Télécoms au +33 1 47 27 72 78. Contacter le Directeur Général.

Et on peut lire aussi dans Le Monde, en page 8, que "les robots se mettent au vert"... Il y a du drone dans l'air... et, en dessous, on lit:

"Serge Abiteboul et la Société informatique de France ont créé "Binaire", un blog sur Lemonde.fr pour aborder l'informatique sous tous ses aspects: progrès, questionnement, impacts, enjeux, métier et enseignement - L'informatique par-delà le numérique - Tribune"

Serge Abiteboul (informaticien, directeur de recherche à l'Institut national de recherche en informatique et en automatique [Inria]; enseignant à l'École normale supérieure de Cachan) et le conseil scientifique de France.

Le supplement "Science&médecine" publie chaque semaine une tribune libre ouverte au monde de la recherche. si vous souhaitez soumettre un teXte, prière de l'adresser à sciences@lemonde.fr.

P.s: Le but de toute cette mise en ligne est de préparer une rencontre conviviale façon Illich à La Haye, en zone internationale, comme en Suisse, là où se trouvent les Nations Unies. Pour discuter de la bonne gouvernance (européenne) de l'Internet entre autres. Il n'y a pas que des robots sur le Web, il y a aussi des individus, des personnes, des jeunes, des MPP's... Des gens qui travaillent à l'Europe des valeurs, des libertés et des droits fondamentaux; et on peut être amené à le rappeler jusqu'en Chine...

P.s: Et voir l'article en page 12 - Buitenland - dans le NRC Handelsblad du 12/2/2014 - "Spanje stopt als rechter van de wereld" de Merijn de Waal. Au chapitre Mensenrechten en... , Droits de l'homme(de la femme et de l'enfant) et quel très très grand pays?... Sur les mêmes pages, on peut lire sur le kinderporno chez un voisin (p.13), et en page 14, chez l'autre voisin, on peut lire sur l'euthanasie et les enfants:

" Euthanasie bij kinderen - Morgen stemt het Belgische parlement over de meest vergaande euthanasiewet ter wereld. De leeftijdsgrens wordt geschrapt. Maar kinderen zijn te impulsief, zeggen de tegenstanders - België neemt wereldwijd voortouw bij euthanasie" door onze correspondanst Tijn Sadée Brussel.

Tout ça fait vraiment beaucoup... L'Espagne, les Pays-Bas, la Belgique, l'Allemagne, la Chine, la Suisse, etc.

http://books.google.nl/books?id=9KgOnqTY-hAC&pg=PA151&lpg=PA151&dq=peter+sloterdijk+over+rechtspraak&source=bl&ots=PPdL56m3Tq&sig=vWGAt-rh-BCJiLnTN-ghu88FsGc&hl=nl&sa=X&ei=YhQPU8rKHMqz0QXP14DYCQ&ved=0CDIQ6AEwAQ#v=onepage&q=peter%20sloterdijk%20over%20rechtspraak&f=false

En remerciant le lecteur qui a laissé une suggestion et qui a amené l'âne sur le lien ci-dessus. On remercie aussi la machine peuplée de robots, les BIG Ones où travailleraient des robots, on remercie l'Internet des robots. Des humains qui pensent voudraient remercier en vrai les BIG Ones. Ils ont la ville de La Haye, ville de Paix et de Justice internationale, dans leur champs. Qu'en pensez-vous?

Les jeunes et les nouvelles technologies, une affaire de santé publique?...

http://www.inpes.sante.fr/70000/cp/13/cp130605-barometre-sante-jeunes-2010.asp

http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/addiction-jeux/index.asp

[...]

Le terme « addiction » a fait son apparition dans les années 1970 dans le domaine de la psychiatrie américaine, pour désigner initialement la dépendance à l’alcool et aux drogues. Pour les médecins, l’addiction implique un comportement répétitif, impératif et contraignant, dont on ne peut se départir malgré des tentatives répétées. Le mot est maintenant utilisé de manière plus étendue, englobant des conduites engendrées à partir d’actes ordinaires (boire, jouer, acheter, travailler…) déviés de leur but premier. La personne « addict » est alors celle qui est totalement soumise à une substance ou une personne, qui prend le pas sur tout le reste (famille, loisirs, activités sociales, travail, etc.). Sa vie tourne autour de cet « objet » qui la place dans un état de manque terrifiant si elle ne peut s’y adonner. L’habitude de boire trop devient identité : la personne est devenue alcoolique ; celle de miser en excès aux jeux de hasard, en dehors de toute préoccupation de ses conséquences transforme le joueur « normal » en joueur « pathologique », etc. Les addictions sans drogues semblent dérégler les circuits de la récompense du cerveau (les produits qui engendrent une dépendance augmentent la quantité de dopamine, un neurotransmetteur impliqué dans les circuits cérébraux du plaisir) à l’instar des addictions avec drogues. Dans le cas du jeu, des mécanismes psychologiques bien connus interviennent : l’espoir de gain, l’illusion de l’expertise, les superstitions et les rituels ainsi que des croyances erronées « Je vais me constituer un revenu supplémentaire », « Je vais me refaire la prochaine fois »… Le joueur pense maîtriser l’aléatoire, il ressent le frisson, la montée d’adrénaline mais risque de se retrouver pour finir « sur la paille », avec un gros « trou au portefeuille ». Selon certains psychiatres, l’attente du gain mimerait même des prises répétées de cocaïne... - See more at: http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/addiction-jeux/index.asp#sthash.ndkwnaf5.dpuf

P.s: De quels jeux parlons-nous? Et de quelle technologie? Parlons-nous de l'électronique insuffisamment contrôlée?

Et un jeune faisait ce WE un travail (scolaire) sur les effets des "energy drink" sur la santé... Les cannettes ayant servi à cette étude sont encore sur la table... Je vous en rapporte les marques: Red Bull - Bevat taurine. Stimuleert Lichaam en Geest - et Monster energy distribué par un BIG One de la boisson - en partenariat avec Call of Duty Ghosts. Un billet ici y a déjà été consacré. Faire des recherches. Parlons-nous d'un scandale sanitaire? Qu'en pense-t-on à l'Éducation et à la Santé? Et on peut franchir les frontières pour se retrouver au niveau international.

http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/addiction-jeux/legislation-france.asp

Les publicités incitant aux jeux en ligne sont apparues avec la légalisation, laissant supposer une augmentation du volume des joueurs donc du nombre de personnes susceptibles de développer une pratique excessive du jeu. Les pouvoirs publics, inquiets de ce phénomène, tentent donc protéger l’internaute-joueur de lui-même. Il s’agit d’éviter que le joueur occasionnel ou régulier ne bascule dans l’excès et ne devienne « accro », tenté par la recrudescence de sites et la simplicité de leur utilisation, depuis tout foyer connecté à Internet. Le risque identifié est en effet de pouvoir jouer à toute heure depuis son ordinateur, de jour comme de nuit, mais aussi de pouvoir miser de façon anonyme. Il est donc essentiel de repérer les sujets « fragiles », incapables de se fixer des limites de temps et d’argent avant d’utiliser leur carte bleue chez un opérateur. La prévention est nécessaire pour éviter que ne se développe une pratique « pathologique » du jeu, marquée par une dépendance et des retentissements à court ou long terme à la fois sur le plan matériel (endettement), celui de la santé (dépression, renoncement aux soins par manque de moyens financiers) et du social (désinsertion, isolement). - See more at: http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/addiction-jeux/legislation-france.asp#sthash.ZLswaP64.dpuf

http://www.senat.fr/dossier-legislatif/pjl09-029.html

Jeux d'argent et de hasard en ligne, le dossier du Sénat faisant état de la loi n° 2010-476 du 12 mai 2010 et de la décision du Conseil constitutionnel et le rapport d'information de François Trucy (2001-2002) - commission des finances. - See more at: http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/addiction-jeux/legislation-france.asp#sthash.ZLswaP64.dpuf

Et on a trouvé ceci en travaillant sur le site du Sénat:

http://www.senat.fr/espace_presse/actualites/201312/conditions_du_recours_a_la_geolocalisation_en_temps_reel.html

Un organe de corégulation "enfance et médias"...

[...]

Créer un organe de corégulation « enfance et médias » compétent pour assurer la
protection de l’enfance sur l’ensemble des médias.

[...]

http://www.seant.fr/rap/r08-046-synpdf

"Les nouveaux médias: des jeunes libérés ou abandonnés?"
Commission des affaires culturelles.


http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/addiction-jeux/legislation-france.asp

http://www.senat.fr/rap/r08-046/r08-046-syn.pdf

[...]

Afin de définir des règles communes de
protection pour l’ensemble des médias,
anciens et nouveaux, le rapport propose la
création d’un organisme en charge de la
protection de l’enfance sur les médias, qui
se substituerait à l’ensemble des commissions
existantes, et dont la composition serait élargie
à la société civile.

Par ailleurs, le caractère transnational
d’Internet impose un renforcement de la
coopération européenne et internationale,
notamment sur la constitution des listes noires.

[...]

L’impératif éducatif
Remarquant qu’en dépit de l’arrivée de la
radio, de la télévision et aujourd’hui d’Internet,
le modèle de l’éducation ayant pour support
privilégié le livre imprimé n’a pas évolué, le
rapport estime que l’éducation aux nouveaux
médias permettrait pourtant :

- d’apprendre aux enfants à adopter une
distance critique vis-à-vis des informations
délivrées par les médias,
- de motiver les élèves,
- de consolider leurs capacités d’analyse ;
- et de renforcer leur engagement citoyen.
Bien que présente dans les programmes, elle
n’est aujourd’hui que peu enseignée en raison
des contraintes horaires, de son caractère
facultatif, et des résistances de l’institution
scolaire.

Le rapporteur fait donc des
propositions pour développer l’éducation aux
médias, au collège et au lycée.

Rapport de l’Inspection générale de l’éducation
nationale sur l’éducation aux médias (Juillet 2007)

« Malgré l’existence de pratiques et d’initiatives
multiples depuis une trentaine d’années, impulsées
la plupart du temps par le CLEMI (Centre de liaison
de l’enseignement et des médias d’information),
sous la houlette du ministère, « l’éducation aux
médias » est demeurée l’affaire de militants,
parfois contestée dans le cadre scolaire, et
paraît peu présente en tant que telle dans les
politiques éducatives. »

http://www.senat.fr/rap/r08-046/r08-046-syn.pdf

Qu'en est-il aux Pays-Bas? Question à poser aux différents ministères concernés, dont celui de la Justice et de la Sécurité. Une rencontre dans ce ministère serait envisageable.

P.s: Je suis allée eXposer le problème dans la belle et très grande et toute nouvelle mairie de notre commune chargée d'Histoire, au coeur de la Hollande. Au chapitre Jeugdbescherming & Jeugdzorg, nous trouvons...

Industrie culturelle innovante...

Rapport no 852 - "Jeux vidéos; industrie culturelle innovante pour nos territoires"...

http://www.senat.fr/rap/r12-852/r12-852_mono.html

[...]

Le débat sur la dangerosité des jeux vidéo ressort de celui, plus large, relatif au risque d'aliénation de l'homme par la machine, c'est-à-dire à une dépendance créatrice d'asociabilité voire de violence, risque auxquels les enfants et adolescents seraient plus particulièrement exposés. Au regard des auditions de chercheurs que nous avons menées et des récentes études parues sur ce sujet, il apparait que ce risque doit être considérablement relativisé : il ne concernerait que des publics fragiles, consommateurs de jeux particulièrement violents, où l'usage d'un avatar dans le cadre d'un environnement graphique réaliste peut engendrer une identification à un personnage violent.

[...]

Addictifs, éducatifs ou ludiques, les jeux vidéo suscitent tant la critique que l'enthousiasme. Dans tous les cas, ils font partie intégrante de notre société, de nos loisirs à nos modes d'apprentissage et de socialisation. Certaines technologies développées par l'industrie du jeu vidéo vont même jusqu'à investir des activités traditionnelles (entreprises, presse, politique, etc.) ; c'est ce que l'on appelle la « gamification » de la société.

[...]

Voir: Travaux des rapporteurs

http://www.senat.fr/rap/r12-852/r12-85210.html#toc276

Media, nieuwe technologieën en voorzorsgprincipe... Quelle déontologie? Au chapitre Principe de précaution...

http://leblogdelaneezelblog.blogspot.nl/2014/02/sur-les-medias-la-protection-de-la.html

Reprendre le billet du 12 février 2014: Sur les médias, la protection de la jeunesse et le rapport "Wijzer Kijken - Jeugd, Geweld en Media"...

Principe de précaution

[...]

Le principe de précaution est formulé, dans un sens autre que scientifique, pour la première fois en 1992 dans le Principe 15 de la Déclaration de Rio : « En cas de risque de dommages graves ou irréversibles, l'absence de certitude scientifique absolue ne doit pas servir de prétexte pour remettre à plus tard l'adoption de mesures effectives visant à prévenir la dégradation de l'environnement. »

En France, la loi Barnier de 1995 précise que « l'absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l'adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l'environnement à un coût économiquement acceptable ». La France a ajouté à la définition de Rio les notions de réaction proportionnée et de coût économiquement acceptable. La Charte de l'Environnement de 2005 a modifié à nouveau cette formulation, en lui donnant un sens sensiblement différent : les autorités publiques sont les seules à pouvoir appliquer le principe de précaution qui est devenu un principe d'action et non d'inaction : face à l'incertitude, il faut développer des programmes de recherche pour lever le doute. La science reste donc une réponse et ne peut être entravée au nom du statu quo.

Son interprétation reste difficile et controversée. Au sens juridique du terme, le principe de précaution provient du droit de l'environnement et du droit de la santé, ayant été développé à la suite d'affaires telles que celle du sang contaminé ou de la « vache folle » 1.

Ce principe existait à différents degrés dans les chartes et les conventions internationales comme dans certaines lois nationales. C'est dans le domaine de la santé environnementale (par exemple la question du réchauffement climatique ou des zoonoses ou maladies émergentes) qui fournissent l'essentiel des sujets d'inquiétudes « graves » et « irréversibles », et donc de la matière d'application de ce principe, mais la crise économique a aussi reposé la question de la précaution dans la gouvernance de l'économie, des bourses et des banques.

[...]

http://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_précaution

http://nl.wikipedia.org/wiki/Voorzorgsprincipe

Au chapitre responsabilité...

Risicoaansprakelijkheid
Aansprakelijkheid
Responsabilité
Droit de la responsabilité
Burgerlijk recht
Kwalitatieve aansprakelijkheid
La morale
La justice
Goede zeden
ect.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_de_la_responsabilité
http://fr.wikipedia.org/wiki/Responsabilité
http://fr.wikipedia.org/wiki/Responsabilité_numérique
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fédération_Française_des-Telecoms

http://www.fftelecoms.org/articles/l-education-au-numerique-non-retenue-comme-grande-cause-nationale-2014

http://www.fftelecoms.org/thematiques/usages-et-contenus/observatoire-societal

http://www.fftelecoms.org/sites/fftelecoms.org/files/contenus_lies/dossier_de_candidature_education_numerique_grande_cause_nationale_2014_0.pdf

http://www.framablog.org/index.php/post/2014/02/08/Pourquoi-les-jeux-videos-devraient-entrer-dans-le-domaine-public-plus-tot
avec le commentaire de iourte:

"Perso, je suis écoeuré par toutes ces industries qui ne cherchent qu'à rentabiliser encore et encore. Passer un temps nous échangions de la musique sur cassettes et personnes ne disaient rien, la musique se vendait bien tout allé pour le mieux.

Mais quand je vois que j'ai acheté la cassette d'un artiste, puis pour la même oeuvre, le vinyle, puis le cd quand les premiers baladeurs cd sont sortis puis la réédition avec un bout de concert ou un clip. J'ai maintenant perdu beaucoup de ces CD et si je souhaite faire découvrir d'ancienne musique à des plus jeunes je devrait faire quoi racheter la version MP3 ? Pour reprendre ce que dit "Cliff Blezsinski" Nous aussi nous avons des crédits et nous aussi nous devons nous nourrir !

Je ne suis pas à plaindre loin de la, mais personnellement quand tu as un achat immobilier ( dans une région frontalière qui est hors de prix quand tu n'es pas frontalier), que tu as des enfants et que tu t'aperçois que le cinéma, la musique, le théâtre sont devenus des activités que tu ne peux pas te permettre et que tu vois des artistes gagnés des millions/an. Tu te dit que les oeuvres artistiques sont devenus trop chers pour parfois, je dit bien parfois, peu de qualité et de plus nous devons sans cesse repayer pour cette culture qui dans beaucoup de cas et basé sur le partage.

Rémunérer les artistes je ne suis pas contre mais franchement ce n'est plus une question de respect d'oeuvre artistique, tout n'est que fric. Tu n'as pas payer, tu n'écoute pas et même si tu as payé attention tu écouteras ou liras l'oeuvre comme nous nous le voulons ! Bref comme si tu acheté un T-shirt et que tu ne pouvais mettre celui-ci qu'un "lundi" ! Bref je pense que c'est bridé une culture pour quelques sous et je pense aussi que certain artiste, livre, musique, cinéma, jeux vidéo devraient justement libérer quelques anciennes oeuvres afin que celles-ci soient facilement accessible, qu'elles fassent découvrir ou redécouvrir des choses. Je pense que ceci serait même bon pour les ventes de nouveaux produits.

A trop vouloir protéger leurs oeuvres, je pense vraiment que les artistes font un mauvais choix pour leur culture.

PS: Désoler pour les fautes, il est tard puis pour tout avouer je suis un peu nul en français ! Et merci pour ce qui m'ont lus jusqu'à la fin.

PS2: Mylène Farmer à gagner 4Millions d'€ cette année, moi 20000€ (ce qui est déjà bien), alors perso la place de concert à 90€ ce sera pour une autre fois !"

par iourte in http://www.framablog.org/index.php/post/2013/11/23/data-abuledu-ryxeo-ressources-educatives-libres.

Et pour les blogs qui se disent postmodernes et qui transmettent de l'information, la pense, la re-pense, font du recyclage et dans le devoir de tranmission aussi, cher à mon ami virtuel? Et il a plus que raison: on a le devoir de transmettre de l'information quand il s'agit de travailler à l'intérêt général et à la protection des plus vulnérables.

Au chapitre protection de jeunesse et Responsibility to Protect & Duty of Care.

X et Y, qui fait quoi dans cette relation?...

http://www.presse.justice.gouv.fr/art_pix/actu-justice_19v5.pdf

« Il est toujours nécessaire de rapprocher les citoyens et la Justice. Il y a dans ce pays une vraie demande de justice et puis aussi, des formes d’incompréhension. Donc il faut aller vers une plus grande proximité » Michel Mercier, Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Libertés.

Bruno Badré, porte-parole du ministère de la Justice et des Libertés / Olivier Pedro-Jose, porte-parole adjoint – Tél. 01 44 77 75 56
Pôle presse du ministère de la Justice et des Libertés – 13, place Vendôme – 75001 PARIS - www.porte-parole.justice.gouv.fr

On appelle parce qu'on voudrait en savoir un peu plus sur le rôle de la justice dans la société (européenne). J'ai appelé l'Ambassade, un mail sera le bienvenu m'a dit la secrétaire. Comment se fait-il qu'un gouvernement X puisse interpeler un de ses ressortissants pour évasion fiscale, blanchisserie;), etc. et que la justice du gouvernement Y décide de le laisser tranquille dans sa résidence secondaire les pieds dans l'eau? X et Y , cet âne cherche à comprendre qui fait quoi dans cette relation. C'est un peu son identité aussi.


En over iets anders: Games, geld, business qui rapporte et qui n'est pas assez co-régulé, subventions, etc.

http://www.meldpunt.tv/home/uitzending/meldpunt-donderdag-20-februari-2014/

http://www.meldpunt.tv/forum/uitzendingen/discussies/berichten/meldpunt-seizoen-2013-2014/verslingerd-aan-gamen-20-februari-2014/#pid

Au chapitre industries dites créatives... Voir la 11ème Conférence Érasme-Descartes qui a été organisée en partenariat. Corporate Social Responsibility, Code of Conduct, Conflits d'intérêts, etc. Contacter le ministère des Affaires étrangères, Direction Europe - France -.

Les choses convergent dans le fond.

Dans la blogosphère, des questions intéressantes sur les BIG Ones...

http://queau.eu/post/2013/12/02/Les-nouvelles-positions-éminentes par Philippe Quéau du 14 janvier 2014.

http://queau.eu/post/2014/02/10/Développement-et-transparence par Philippe Quéau du 10 février 2014.

http://www.globalpolicy.org/images/pdfs/GPFEurope/Corporate_influence_in_the_Post-2015_process_web.pdf

Ici, on se penche sur la Responsibility to Protect, Duty of Care, Corporate Social Responsibility, Code of Conduct, Accountability, Conflict of Interest, etc.

Un billet du 11 septembre 2013... Voir billet du 23 mai 2013 également...

http://leblogdelaneezelblog.blogspot.nl/2013/09/resister-responsabiliser-anticiper.html

En remerciant le lecteur qui paasait...

La machine, un lecteur, Le Monde et cela donne ce billet... sur la liberté d'eXpression...

http://leblogdelaneezelblog.blogspot.nl/2013/11/vrijheid-van-meningsuiting.html
Reprendre le billet du "Vrijheid van meningsuiting&games&ouders."

Et le bonjour au Monde que l'âne aimerait bien rencontrer en Real...

P.s: Pas vraiment de lien entre l'article proposé et Le Monde, il se trouve juste que l'âne parcourait cet article du 26 février, ce matin.

woensdag 26 februari 2014

Au chapitre Transformation ... Est-ce du made in Holland?...

https://app.box.com/s/c3f15cc0b9cdae69fadb
http://www.osezlefeminisme.fr/lassociation-osez-le-feminisme#objectif (financé par qui?)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Caroline_De_Haas
http://lelab.europe1.fr/caroline-de-haas-fondatrice-de-osez-le-feminisme-quitte-le-cabinet-de-najat-vallaud-belkacem-8979

Contacter également ici le Nederlands Jeugdinstituut. On y parle aussi de Transitie et de Transformatie...

http:// www.nji.nl/
Pour en savoir plus:
http://www.nji.nl/nl/Congressen/Transformeren-doe-je-samen
http://www.nji.nl/nl/Actueel/Nieuws-van-het-NJi/Antwoorden-op-vragen-over-transitie-jeugdzorg

Un téléphone sert à bien communiquer...

...et non pas à payer. Acheter du pain avec un téléphone-smart et être smart-géolocalisé dans une boulangerie.

Dans la course à la com-pé-ti-ti-vi-té:

- Les titans de la banque
- Les titans des télécommunications
- Les titans de l'Internet

Qui sont tous ces titans et titanes&powerfeministes? Qui fait quoi à Bruxelles, par eXemple?

P.s: l'âne s'est inspiré du Monde du 22 février - Éco&entreprise - "Une guerre de paiements dans les nuages"...

chaperon@lemonde.fr pour lancer l'invitation à venir ici. Rencontre au Palais de la Paix, Peace Palace, Vredespaleis. Au chapitre fiscalité&Cie également... Comment faire bien payer les impôts qui doivent revenir dans les bonnes caisses? Et que fait le "business" dans le Sud? Alors qu'il y a des problèmes ici... Une question posée à l'Ambassade. On doit envoyer un mail avec Affaires juridiques dans la marge.

P.s: Un lecteur est sans doute passé par ce billet du 3 avril 2013, l'âne se charge de faire re-passer:

http://leblogdelaneezelblog.blogspot.nl/2013/04/drones-technique-et-cie.html

Au chapitre les nouvelles technologies pour quoi faire?

ArtistEs hollandaisEs... Des P.S ou p.S ou P.s en pagaille...

Petite réflexion matinale sur l'art... Il arrive à cet âne d'acheter de la presse hollandaise. Hier, au centre commercial du coin, car il fait ses courses très basiquement, et en vélo - un âne en vélo, c'est très rigolo - . Il a acheté HP de Tijd de mars 2014 - 02- car le sujet l'intéresse un peu: "Uw geheimen zijn handel - DOE ER UW VOORDEEL MEE en grosses lettres". L'image est amusante, elle parle: "une famille ultra-connectée", papa, maman et les enfants, de gros yeux partout, sur tous les écrans en particulier... Bonjour, Orwell ou Huxley... En page 54, Tinkebell est photographiée. Là, elle n'est pas nue. Elle est photographiée au Rijksmuseum avec sa soeur et son neveu. C'est une photo de famille. Normale. Mais, là où l'âne la surprend est le moment où, dans l'article elle annonce:

"Afgelopen september liet ze zich stereliseren omdat minder kinderen produceren volgens haar de enige oplossing is voor het wereldwijde fostaatprobleem. "Fosfaat is essentieel voor de voedselindustrie, als het er straks niet meer is, is er te weinig eten m de groei van de mensheid bij te houden." Point 1.

Ensuite, on peut lire, et c'est le point 2:

"Katinka: "Dat klopt. Het pijnlijke was alleen dat zij erachter kwam op de dag dat ik werd gesteriliseerd."(pas très catho, catho...)

Marjon: "Sta je daar met een test in je handen terwijl, je zus onder onder het mes gaat. Ik durfde haar niet te bellen. Op Facebook postte ik: "Het klopt"(dat ging over het hartje), maar ik had niet verwacht dat zij dan begreep waar dat over ging."

Katinka: "Maar ik snapte het natuurlijk meteen, dus toen was ik boos. Niet omdat ze zwanger was, maar omdat ze het op Facebook zette voordat ze het mijn vertelde. Dat ging me echt te ver.""

Point 3, c'est sur le respect de la vie privée sur Internet, on lit et l'âne joue à la dactylo:

"Het voorval sluit aan bij een terugkerend thema in Katinka's werk - l'âne y travaille aussi un peu -: privacy op internet. "Anonimiteit op internet is een illusie,"schreef ze in april 2012 in een ingezonden artikel The Guardian .

Katinka:"Ik maak me zorgen om Google Glass, daar zit face recongnition in - doodeng. Nu kan ik nog normaal in een café zitten, maar straks heeft iedereen een Glass op en zien ze boven mijn hoofd een grote wolk geprojecteerd met de tekst: "Dit wijf heeft haar kat vermoord.""

Etc. etc. etc.

Alors, que dit l'âne? L'âne dit "c'est quelque chose tout ça..."... Et qu'en pensent les femmes? Par eXemple, au point 4: mesdames L. Fresco ou P. Valkenburg. L'une s'occupe de tout, du problème de l'alimentation (voedselindustrie) à Wageningen en particulier, et l'autre, du "schadelijk media aanbod" à Amsterdam. Et en plus, elles sont voisines, elles travaillent ensemble.

Nous sommes au chapitre artistEs hollandaisEs et la Responsibility to Protect and Duty of Care...

P.s: Sur la photo, Tinkebell, devant le Nachtwacht de Rembrandt, porte des lunettes roses, et ça, c'est bien hollandais.

http://nl.wikipedia.org/wiki/De_Nachtwacht

P.s: Quel est le rôle des femmes artistes dans la société? Il y a des MPP's aussi.

Et pendant ce temps en France:

http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/02/18/la-france-est-devenue-un-pays-retrograde-et-hostile-aux-femmes-steriles_4368240_3232.html

Où en sommes-nous dans ce débat? Ici, des femmes font dans la stérilisation et le disent clairement dans la presse, comme à une autre époque, dans un manifeste, et là, on y fait, depuis longtemps, de la publicité pour que l'impossible, grâce aux méthodes miraculeuses, puissent se faire, le monde des possibles. Qui fait quoi? Qui est responsable de quoi? Où se situent les responsabilités?

P.s: L'âne a envoyé un mail, comme ça, au professeur Testart. Est-ce qu'il l'a reçu? Ceci en lien avec Technologos si je me souviens bien... Au chapitre le monde des possibles à l'heure des nouvelles technologies bien comprises.

Et pour ceux qui ont envie d'approfondir le problème du respect de la vie privée et de la protection des familles et de la jeunesse:

http://www.volkskrant.nl/vk/nl/3184/opinie/article/detail/3603371/2014/02/25/Waarom-woede-om-privacy-als-we-er-zelf-niet-voor-willen-betalen.dhtml

http://www.volkskrant.nl/vk/nl/11698/Kabinet-Rutte-II/article/detail/3603491/2014/02/25/Opstelten-maakt-lokpuber-mogelijk.dhtml

http://www.volkskrant.nl/vk/nl/11698/Kabinet-Rutte-II/article/detail/3601776/2014/02/22/De-Nederlandse-consensuspolitiek-werkt.dhtml

P.s: Personnellement, l'âne s'est rendu au bureau de police pour y eXposer la problématique de la protection de la jeunesse et de la Responsibility to Protect & Duty of Care. L'agent de police, avec qui j'ai pu longuement discuter, m'a tout simplement dit, après avoir bien pris le temps d'écouter, que la police ne pouvait rien faire. Je devrais envoyer un courrier au ministère de la Justice et de la Sécurité. Et demander au ministre et à son secrétaire ce qu'ils pensent de toute cette affaire. J'enverrais conjointement le lien que j'ai trouvé l'autre jour, par hasard, à ma grande surprise, sur un site tout à fait consultable par la jeunesse ici, alors même qu'elle est supposée faire ses devoirs. Au chapitre distraction... J'ai déjà écrit là-dessus, je vous demanderais de reprendre les billets du mois de février. Vous y trouverez les informations qui vous permettront de mieux cerner le problème qui nous intéresse ici. Le directeur du lycée ne m'a d'ailleurs pas encore répondu. Car je lui en ai aussi fait part. Tout comme au ministère de la Culture et de la Communication à Paris d'ailleurs. L'Éducation doit, elle aussi, prendre conscience du problème de l'Internet in-correctement régulé. Un certain manquement, une certaine négligence. Pour une autre histoire que je suis un tout petit peu, j'ai contacté la Justice en France pour essayer d'avoir un peu plus d'eXplications. Car c'est étrange quand même, un pays fait ceci et l'autre fait cela, c'est contradictoire. Pourquoi? Bon, la communication avec le service presse s'est rapidement terminée, car c'est une MPP qui posait des questions et non la presse avec carte et tout et tout. Je ne cherchais qu'à bien poser le problème. Liberté d'eXpression. Qu'en pense-t-on dans les ministères concernés? Les nouvelles technologies, pour servir qui? Quels intérêts eXactement?

Au chapitre goede zeden, on pourrait demander à rencontrer les ministres concernés par ce genre de questions. Au ministère de la Justice et de la Sécurité en particulier. Car la protection de la jeunesse passe avant tout. Une société, surtout quand elle fait la morale à la terre entière, et ses pouvoirs publics, insouciants, et trop laXistes et latitudinaires (merci le dictionnaire), n'hésitant pas à faire dans la contradiction et le paradoXe, qui n'ont pas été capables de bien protéger les plus vulnérables, ont peut-être failli à leurs devoirs les plus élémentaires: Responbility to Protect and Duty of Care.


http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_naturelle

[...]

Selon Cicéron, dans un passage du De Republica choisi et rapporté par le chrétien Lactance: « Il est, en effet, une loi véritable, la droite raison conforme à la nature, immuable et éternelle qui appelle l’homme au devoir par ses commandements et le détourne du mal par ses défenses et dont les commandements ni les défenses ne restent jamais sans effet sur les bons, ni sans action sur les méchants. On ne peut ni l’infirmer par d’autres lois, ni déroger à quelques-uns de ses préceptes, ni l’abroger tout entière. Ni le sénat, ni le peuple ne peuvent nous soustraire à son empire ; elle n’a pas besoin d’interprète qui l’explique. Il n’y en aura pas une à Rome, une autre à Athènes, une aujourd’hui, une autre demain, mais une seule et même loi éternelle, inaltérable qui dans tous les temps régit à la fois tous les peuples. Et l’univers entier est soumis à un seul maître, à un seul roi suprême, au Dieu tout-puissant qui a conçu et médité cette loi. La méconnaître, pour un homme, c’est se fuir soi-même, renier sa nature et par là même subir les plus cruels châtiments, lors même qu’on échapperait à tout ce qu’on regarde comme des supplices. » Cette conception est aussi celle de Thomas d'Aquin.

[...]

P.s: Beaucoup de choses dans seul billet, les artistes s'inspirent de ce qu'ils trouvent grâce à la machine et à la blogosphère qui y travaille. L'Internet est un outil for-mi-da-ble. Il faut juste apprendre à bien s'en servir. Le progrès bien compris peut servir. Même des ânes of ezels en hollandais. Je mettrai un peu plus tard les liens qui me permettent de mettre cela sous vos yeux. Qui m'ont mise sur la piste de la loi naturelle.

Et puisque nous parlions de Justice, ce lien retrouvé dans des notes: http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/02/14/la-loi-et-lordre-la-stupidite-fonctionnelle-a-lorigine-de-la-crise-financiere/ Là, on remercie Le Monde pour la mise en ligne et le partage qui nous permettent d' avancer dans le bon sens.

Et on en profite pour ajouter que des MPP's pensent un peu à ceci aussi, toujours sur le rôle des nouvelles technologies dans notre quotidien:

http://www.senat.fr/espace_presse/actualites/201312/conditions_du_recours_a_la_geolocalisation_en_temps_reel.html

http://www.senat.fr/dossier-legislatif/pjl13-257.html

Mais au fait, qui est producteur de ces technologies mal contrôlées? Quels fabricants? Quels instituts? Quels partenariats? Quelles BIG Ones?
Que disent la Justice internationale et les droits fondamentaux? Pour une rencontre conviviale à La Haye au Palais de la Paix, Peace Palace, Vredespaleis, en zone internationale, pour en débattre avec les artistes de l'industrie dite créative ou culturelle, les BIG Ones que l'on souhaite remercier aussi et qui nous facilitent grandement le travail, les pouvoirs publics ici et là, et toutes personnnes intéressées par le sujet de la géolocalisation, entre autres. Il y a beacoup de sujets à traiter en ce moment. Et quand on écrit beaucoup, on veut dire énormémemt. Et des sujets très, très délicats. Des cours de Justice internationale se trouvent précisément à La Haye. L'ONU y tient Justice, dans de belles salles en plus. Et je vous en conseille la visite. Les artistes ont bien fait leur travail. Des artistes français aussi. Reprendre la suite des billets. Faire une petite recherche dans ce blog é-clec-ti-que.

P.s: cette âne finira par contacter François Hollande. Il a voté pour lui, et ce jour-là, il était même assis aux côtés du Premier conseiller. Nous rappelons que l'Ambassade est maintenant très bien située tout à côté du Palais de la Paix. Quand l'Histoire se rappelle à nous aussi. Nous sommes en 2014. L'âne, pour vous faire encore une confidence, aimerait réunir à La Haye, dans ce beau Palais, des historiens ayant travaillé sur la Première Guerre Mondiale, cela dans le cadre d'une rencontre conviviale et instructive. Les personnes intéressées par la grande Histoire seraient invitées à venir participer. Pour commémorer le centenaire. Pour se souvenir. Pour que les générations n'oublient pas. Au chapitre devoir de transmission, je tiens à ces mots comme mon ami virtuel.

P.s: Est-ce que vous avez un peu suivi?

dinsdag 25 februari 2014

Sur l'intérêt supérieur des enfants...

http://www.hcch.net/index_fr.php?act=conventions.text&cid=70

http://fr.wikipedia.org/wiki/Crime_contre_l'humanité

P.s: C'est là où les nouvelles technologies et les industries dites créatives devraient bien faire attention de ne pas se développer de façon irresponsable.

Et les BIG Ones?...

Wetgeving en BIG Ones...

Et si ça continue, on finira par boycotter les médias qui ne respectent pas la dignité des personnes et ...

... leur intégrité morale.

Est-ce que les journalistes peuvent également transmettre correctement les informations?...

En faisant bien attention aux mots et photos utilisés. Prendre soin des mots et des lecteurs;)...

International law and universal principles of human rights...

http://academicsforpalestine.files.wordpress.com/2014/02/afp-signatories-18-feb1.pdf

“In response to the call from Palestinian civil society for an academic boycott of ..., we pledge not to engage in any professional association with .... academic, research and state institutions and with those representing these institutions, until such time as ... complies with international law and universal principles of human rights.”

P.s: Dans sa recherche sur le rôle des nouvelles technologies dans notre quotidien, la machine transmet ce lien. C'est intéressant et cela peut aider à mieux comprendre la problématique sur laquelle se penche ce blog.

Et si les femmes faisaient ce qu'elles ont à faire?...

...

Le smart- téléphone est très intelligent nous dit le journaliste...

...

Et si nous n'achetions plus toute cette marchandise? En plus, on ferait des économies... Par temps de crise, c'est plus raisonnable.

P.s: l'âne a corrigé parce qu'il lui arrive de téléphoner;)... Il essaie de bien se servir du téléphone. Au passage, on écoute sans doute;) et on a raison, les communications sont souvent très intéressantes. On notera que les journalistes n'aiment pas trop répondre au téléphone. Dans les rédactions, ils sont très, très occupés. Beaucoup de travail. Quelles informations à faire passer? Et à faire connaître du grand public... On est sélectif dans les rédactions, on ne dit pas tout non plus. Et quelquefois, on ne le dit pas bien. On en remet... Parfois pour choquer, faire de la sensation, divertir, nous mener sur la fausse piste... Distraction journalistique. Qui sont les responsables dans les rédactions? Est-ce que les lecteurs pourraient un jour visiter une rédaction, surtout des blogueurs qui font un peu le même métier, certains dans la gratuité d'ailleurs? Un tout nouveau passe-temps en quelque sorte...

La protection et la responsabilité, c'est l'affaire de qui?...

http://en.wikipedia.org/wiki/Duty_of_care

http://en.wikipedia.org/wiki/Responsibility_to_protect

Further reading

Global Responsibility to Protect
Judson, A. M. Where is R2P grounded in international law, Otago University, 2012.
Baylis and Smith, The Globalization of World Politics, Oxford University Press, 1997, p. 394
Deng, Francis, Rothchild, Donald, et al. "Sovereignty as Responsibility Conflict Management in Africa". (Washington DC: Brookings Institution Press, September 1996). c. 290pp.
Downes, Paul. Melville's Benito Cereno and Humanitarian Intervention South Atlantic Quarterly. 103.2–3. Spring/Summer 2004, pp. 465–488.
Evans, Gareth. The Responsibility to Protect: Ending Mass Atrocity Crimes Once and For All. (Washington DC: Brookings Institution Press, September 2008)
Evans, Gareth and Mohamed Sahnoun. "The Responsibility to Protect" Foreign Affairs. November/December 2002.
Hehir, Aidan. "The Responsibility to Protect: Sound and Fury Signifying Nothing?" International Relations. 24/2 2010.
Gallagher, Adrian. 'A Clash of Responsibilities: Engaging with Realist Critiques of the R2P', Global Responsibility to Protect, vol. 4, no. 3, 2012, 334–357.
Köchler, Hans, Humanitarian Intervention in the Context of Modern Power Politics. Is the Revival of the Doctrine of "Just War" Compatible with the International Rule of Law? (Studies in International Relations, XXVI.) Vienna: International Progress Organization, 2001.
Axworthy, Lloyd and Allan Rock (2009) “R2P: A New and Unfinished Agenda.” Global Responsibility to Protect 1(1): 54-69.
Bellamy, Alex J. 2006. ‘Whither the Responsibility to Protect: Humanitarian Intervention and the 2005 World Summit’. Ethics and International Affairs 20(2): 143-177.
Bellamy, A. J. 2008. ‘Conflict prevention and the responsibility to protect’. Global Governance 14(2): 135-156.
Bellamy, Alex J. 2008. ‘The Responsibility to Protect and the problem of military intervention’. International Affairs 84(4): 615-639
Bellamy, A. J. 2009. ‘Realizing the Responsibility to Protect’. International Studies Perspectives 10(2): 111-128.
Bellamy, Alex J. 2009. Responsibility to Protect: The Global Effort to End Mass Atrocities, Cambridge: Polity.
Bellamy, A. J. 2010. ‘The responsibility to protect and Australian foreign policy’. Australian Journal of International Affairs 64(4): 432-448.
Bellamy, Alex J. 2010 “The Responsibility to Protect: Five Years On” Ethics and International Affairs 24(2). 143-169
Bellamy, Alex J. 2011. Global politics and the responsibility to protect: from words to deeds. Abingdon: Routledge.
Bellamy, Alex J. and Sara E. Davies. 2009. ‘The Responsibility to Protect in the Asia-Pacific Region’. Security Dialogue 40(6): 547-574.
Breau, Susan C. “The Impact of the Responsibility to Protect on Peacekeeping.” Journal of Conflict & Security Law 11, no. 3 (2006): 429-64
Briggs, E. Donald, Walter C. Soderlund and Abdel Salam Sidahmed. 2010. The responsibility to protect in Darfur: the Role of Mass Media. Lanham: Lexington Books.
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Evans, G., The Responsibility to Protect: End Mass Atrocity Crimes Once and for All, Washington D.C.: Brookings Institute, 2008
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Ki-Moon, Ban, The Role of Regional and Sub-Regional Arrangements in Implementing the Responsibility to Protect, A/65/877–S/2011/39, 28 June 2011.
Luck, Edward C., ‘The United Nations and the Responsibility to Protect’, Stanley Foundation Policy Analysis Brief, August 2008
Luck, Edward C. 2011. ‘The Responsibility to Protect: Growing Pains or Early Promise?’. Ethics & International Affairs 24(4): 34
Pattison, James. 2010. Humanitarian Intervention and the Responsibility To Protect. Oxford: Oxford University Press.
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Thakur, Ramesh Chandra. 2011. The Responsibility to Protect: Norms, Laws, and the Use of Force in International Politics. New York: Routledge.
Voinov Kohler, Juliette and Richard H. Cooper. 2008. The Responsibility to Protect: the Global Moral Compact for the 21st Century. New York: Palgrave Macmillan.
Weiss, Thomas and Don Hubert. 2001. The Responsibility to Protect: Research, Bibliography, Background. Ottawa: ICISS.
Weiss, Thomas G. 2004. ‘The Sunset of Humanitarian Intervention? The Responsibility to Protect in a Unipolar Era’. Security Dialogue 35(2): 135-153.

External links
IPI's Edward C. Luck briefs UN General Assembly on R2P, 9 August 2010
Whose Responsibility to Protect? , debate between four R2P practitioners, October 2009.
Newt Gingrich and George J. Mitchell, Report Card

P.s: Boycotter la technologie irresponsable?

Spéculation boursière, la machine fait tout toute seule...

L'âne n'en revient pas, il est plus que très étonné;), alors qu'il travaille derrière son ordinateur;), le casque audio posé sur la table se met tout à coup à parler... Intrigué, l'âne le met sur ses grandes oreilles, les ânes ont de grandes oreilles, et, surprise, on entend quoi?... Un cours de spéculation boursière destiné à... la jeunesse... Au chapitre nouvelles technologies et spéculation boursière, la jeunesse est ainsi invitée à participer à la spéculation boursière, à l'insu des parents bien sûr... C'est pas jojo tout ça... Et que font les pouvoirs publics?

Droit de paternité, droit au respect de l'oeuvre...

...

La maternité et le droit au respect... Au chapitre protection de l'enfance et de la jeunesse...

L'Europe va à votre rencontre... eXprimez-vous et donnez votre point de vue...

La Commission européenne organise un grand débat sur l'avenir de l'Europe. En février 2014, rendez-vous à Paris, en Seine-Saint-Denis et sur ce site pour préparer et enrichir le grand débat du 27 février 2014.

https://www.facebook.com/events/282329401917475/

http://www.debat-europe2014.fr/rencontrons-nous.html

LE 27 FÉVRIER, GRAND DÉBAT AVEC MICHEL BARNIER, COMMISSAIRE EUROPÉEN, et Thierry Repentin, ministre délégué en charge des affaires européennes.

Débat de 18h à 20h. Entrée du public à 17h30. Débat suivi d’un temps convivial.

Aux Docks de Paris : 50, av. du Président Wilson, 93200 La Plaine Saint-Denis.

Métro ligne 12 : Front populaire.

http://nl.wikipedia.org/wiki/Michel_Barnier

http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Barnier

http://ec.europa.eu/archives/commission_2004-2009/index_en.htm

http://ec.europa.eu/commission_2010-2014/index_en.htm

http://ec.europa.eu/france/index_fr.htm

http://ec.europa.eu/france/activite/visites_commission/index_fr.htm

http://ec.europa.eu/france/nous/contact/contact-representation_fr.htm

Les jeunes ont-ils été abandonnés à l'électronique?...

http://www.senat.fr/notice-rapport/2008/r08-046-notice.html

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ?

Rapport d'information de M. David Assouline, fait au nom de la commission des affaires culturelles
n° 46 (2008-2009) - 22 octobre 2008

Quelques mois après son lancement, la mission confiée par la commission des affaires culturelles à M. David Assouline sur l'impact des nouveaux médias sur la jeunesse touche à sa fin. La cinquantaine de personnalités auditionnées, les commentaires postés sur le blog de la mission (http://blogs.senat.fr/mediasjeunesse/) et les lectures du rapporteur lui ont permis de procéder à une analyse sereine de ce débat passionné et de faire des propositions ambitieuses afin de valoriser les atouts des nouveaux médias, tout en réduisant les menaces qu'ils font peser sur la jeunesse.

Premier constat, la révolution numérique est en marche et les jeunes en sont le fer de lance. Un jeune sur trois a un blog, plus d'un sur deux se sert régulièrement d'une messagerie instantanée, 70 % jouent sur l'ordinateur et plus de 90 % d'entre eux naviguent sur Internet et sont propriétaires d'un téléphone mobile. Tout se passe en fait comme si les nouveaux médias avaient été inventés pour la jeune génération.

Deuxième constat, les nouveaux médias sont une chance pour la jeunesse. Outils de socialisation, catalyseurs de compétences, diffuseurs de culture, source de créativité, support pédagogique efficace, autant de vertus qu'on peut leur accorder et qui sont à l'origine de leur succès.

http://www.senat.fr/rap/r08-046/r08-046-syn.pdf

Nous trouvons:

[...]

Une menace pour la jeunesse ?

L’un des principaux risques de ces nouveaux
médias est qu’ils entraînent un
amaigrissement de la sphère de l’intime,
notamment parce que les jeunes n’ont pas
conscience de la publicité donnée aux
informations qu’ils diffusent sur leurs blogs, sur
les messageries instantanées et sur les sites
de réseaux sociaux.

Les menaces sur la santé sont également
souvent mises en avant :

- les dangers de la cyberdépendance et de
l’addiction aux jeux vidéo, bien que réels, sont
plutôt relativisés ;
- si les risques liés à l’épilepsie ou à l’utilisation
du Wifi sont également faibles, l’exposition des
jeunes enfants aux téléphones portables
devrait en revanche être limitée.

L’omniprésence de la publicité sur les
médias a un impact encore mal connu sur
leurs comportements de consommation,
notamment alimentaire. De nombreux pays ont
toutefois d’ores et déjà pris des mesures
restrictives dans ce domaine.

Internet fait par ailleurs éclater l’univers
médiatique et remet en cause le journalisme
traditionnel. Bien que des informations très
intéressantes soient diffusées sur Internet, il
est aussi le lieu où les accusations
calomnieuses et la théorie du complot font
florès, particulièrement auprès des jeunes.

Le rapport souligne enfin l’impact de la
diffusion de contenus violents dans les
nouveaux médias. Par le biais des jeux vidéo
guerriers et sanglants, des images brutales et
pornographiques sur Internet, les nouveaux
médias mettent la violence à portée de tous et
notamment des plus jeunes.
Si les analyses
psychologiques et sociologiques montrent que
l’impact du spectacle de la violence physique
est relativement faible, notamment grâce aux
messages pédagogiques délivrés par les
familles et les institutions,
elles mettent aussi
en exergue les risques de la pornographie, qui
tend à modifier les comportements sexuels des
adolescents.

Sénat – 15, rue de Vaugirard - 75291 Paris Cedex 06

P.s: Tout un débat public, à l'échelle européenne, serait nécessaire. Est-ce que la presse voudrait bien s'y mettre et en faire ses gros titres?...

Prudence, prévention et précaution...

[...]

Prudence, prévention et précaution

Trois notions indispensables et complémentaires selon le professeur de philosophie Mark Hunyadi de l'université Laval :
La prudence vise les risques avérés, ceux dont l'existence est démontrée ou connue empiriquement suffisamment à ce qu'on puisse en estimer la fréquence d'occurrence. Le fait d'être probabilisable rend le risque assurable. Exemples : l'utilisation de produits tels que l'amiante, jouer à la roulette russe, la consommation de vins et autres alcools.
La prévention vise les risques avérés, ceux dont l'existence est démontrée ou connue empiriquement sans toutefois qu'on puisse en estimer la fréquence d'occurrence. Exemples : le risque nucléaire, le risque de rupture de barrage. L'incertitude ne porte pas sur le risque, mais sur sa probabilité de réalisation. L'absence de probabilités rend le risque inassurable par l'industrie classique de l'assurance.
La précaution vise les risques dont ni l'ampleur ni la probabilité d'occurrence ne peuvent être calculés avec certitude, compte tenu des connaissances du moment. Exemples : les organismes génétiquement modifiés, les émissions des téléphones portables2 , la robotique, le génie génétique et les nanotechnologies3.

[...]

http://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_précaution

http://unesdoc.unesco.org/images/0013/001395/139578f.pdf

Le Principe de précaution

Commission mondiale d'éthique des connaissances scientifiques et des technologies - COMEST -

Mars 2005

http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Principe_responsabilité

Le Principe responsabilité (en allemand Das Prinzip Verantwortung) est l'ouvrage le plus connu de Hans Jonas (1979). Notamment en Allemagne, il a connu une réception qui a dépassé le cercle philosophique et a même été cité au Bundestag allemand.

Dans ce livre, Hans Jonas part de la question « pourquoi l'humanité doit exister ? » L'existence de l'humanité dont l'impératif semble aller de soi, n'est plus du tout un fait assuré de nos jours. Au contraire, par son énorme pouvoir qu'il a avant tout grâce à la technique moderne, l'homme a désormais les capacités de s'autodétruire en peu de temps — c'est pourquoi il y a ici une nouvelle question qui doit entrer dans le domaine des considérations éthiques.

En se référant à sa philosophie de la biologie, Hans Jonas fonde l'impératif que l'homme doit exister, vu qu'il a, comme tout être vivant, une valeur absolue qui lui est inhérente et qu'il s'agit par conséquent de protéger quoi qu'il en coûte.

Dans la pratique, cela signifie que doit être interdite[réf. souhaitée] toute technologie qui comporte le risque — aussi improbable soit-il — de détruire l'humanité ou la valeur particulière en l'homme qui fait qu'il doit exister. Hans Jonas désigne cet impératif par la formule in dubio pro malo. Cela veut dire que s'il y a plusieurs conséquences possibles de l'emploi d'une technologie, il faut décider en fonction de l'hypothèse la plus pessimiste.

C'est pour cette prescription que Hans Jonas a souvent été accusé d'être hostile à la technique et à son progrès. Il a cependant refusé ce reproche. Il a même vu une nécessité de faire progresser la technique afin de pouvoir trouver des remèdes aux dégâts déjà causés par elle. Mais ce à condition que la technique et la recherche soient pratiquées dans un cadre bien défini et sous des conditions bien contrôlées, afin d'éviter qu'il n'en résulte d'autres effets négatifs.

[...]

P.s: Qu'en pensent les pouvoirs publics ici et là?

Hans Jonas (1903-1993)...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Hans_Jonas

[...]

Hans Jonas est très connu en Allemagne, où Le Principe Responsabilité est le livre de philosophie le plus diffusé. Il est encore peu connu dans les pays francophones. Selon certains[Qui ?], il a inspiré le « principe de précaution » imposé dans le droit positif français via les directives européennes, différentes lois nationales (un article dans la loi sur les nouvelles régulations économiques), l'inclusion de la charte de l'environnement dans la Constitution de la Ve République...

[...]

Duty of care and Responsibility to Protect...

[...]

Le principe de précaution est introduit en 1992 dans le Traité de Maastricht (art. 130R devenu 174 avec le Traité d'Amsterdam) qui donne à l'Union européenne l'objectif de promouvoir une croissance soutenable en respectant l'environnement, et qui précise notamment que ce principe s'applique aussi à la « protection de la santé des personnes » 8,9.
« La politique de la Communauté […] vise un niveau de protection élevé […]. Elle est fondée sur le principe de précaution et d’action préventive, sur le principe de correction, par priorité à la source, des atteintes à l’environnement et sur le principe du pollueur-payeur ».
Le principe de précaution qui était un concept philosophique évolue ainsi vers la norme juridique.

La Commission européenne, dans sa communication du 2 février 20009, sur le recours au principe de précaution, définit ainsi des lignes directrices :
Le principe de précaution ne peut être invoqué que dans l'hypothèse d'un risque, il ne peut en aucun cas justifier une prise de décision arbitraire. Le recours au principe de précaution n'est donc justifié que lorsque trois conditions préalables sont remplies : l'identification des effets potentiellement négatifs,
l'évaluation des données scientifiques disponibles,
l'étendue de l'incertitude scientifique.

Les mesures résultant du recours au principe de précaution peuvent prendre la forme d'une décision d'agir ou de ne pas agir. Lorsque agir sans attendre plus d'informations scientifiques semble la réponse appropriée, cette action peut prendre diverses formes : adoption d'actes juridiques susceptibles d'un contrôle juridictionnel, financement d'un programme de recherche, information du public quant aux effets négatifs d'un produit ou d'un procédé, etc.
Trois principes spécifiques devraient guider le recours au principe de précaution : la mise en œuvre du principe devrait être fondée sur une évaluation scientifique aussi complète que possible. Cette évaluation devrait, dans la mesure du possible, déterminer à chaque étape le degré d'incertitude scientifique ;
toute décision d'agir ou de ne pas agir en vertu du principe de précaution devrait être précédée par une évaluation du risque et des conséquences potentielles de l'absence d'action ;
dès que les résultats de l'évaluation scientifique ou de l'évaluation du risque sont disponibles, toutes les parties intéressées devraient avoir la possibilité de participer à l'étude des diverses actions envisageables.

Outre ces principes spécifiques, les principes généraux d'une bonne gestion des risques restent applicables lorsque le principe de précaution est invoqué. Il s'agit des cinq principes suivants : la proportionnalité entre les mesures prises et le niveau de protection recherché ;
la non-discrimination dans l'application des mesures ;
la cohérence des mesures avec celles déjà prises dans des situations similaires ;
l'examen des avantages et des charges résultant de l'action ou de l'absence d'action ;
le réexamen des mesures à la lumière de l'évolution des connaissances scientifique (principe révisable)10.


La jurisprudence de la Cour de justice de l'Union européenne dit que le principe de précaution justifie l’adoption de mesures restrictives, que quand il s’avère impossible de déterminer avec certitude l’existence ou la portée du risque allégué en raison de la nature insuffisante, non concluante ou imprécise des résultats des études menées, mais que la probabilité d’un dommage réel persiste dans l’hypothèse où le risque se réaliserait11.

[...]

Le principe de précaution est reconnu en Belgique, aux Pays-Bas, en Allemagne et en Suède. [réf. incomplète] (source : Le Monde, mercredi 18 mars 2009). En Allemagne, on considère que l'art. 20 de la Loi fondamentale y fait référence, sans toutefois l'énoncer de façon explicite (« assumant ainsi également sa responsabilité pour les générations futures, l'État protège les fondements naturels de la vie »). Au Brésil, l'art. 225 de la Constitution de 1988 y fait implicitement référence. À part la France, l'Allemagne et le Brésil, aucun État n'a donné à ce principe un rang constitutionnel.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_précaution

Au chapitre responsabilités...

Le Principe responsabilité de Hans Jonas (1979) - traduction française éd. du Cerf en 1990.

Roberto Andorno, « The Precautionary Principle: A New Legal Standard for a Technological Age », Journal of International Biotechnology Law, 2004, 1, p. 11-19

etc.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_précaution

P.s: En remerciant Wikipedia et le principe du partage en ligne pour travailler le bon sens ainsi qu'à l'intérêt général.

Pour ceux que cela intéresse... Technologie & société...

http://www.nusap.net/downloads/reports/uncertainty_communication.pdf

Copernicus Institute for Sustainable Development and Innovation
Department of Science Technology and Society (STS).

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2014/02/24/avec-le-galaxy-s5-samsung-mise-sur-la-reconnaissance-digitale-et-la-sante_4372650_651865.html

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/09/03/internet-je-l-ai-dans-la-peau-ou-presque_3470272_651865.html

"Reste à régler les problèmes de confidentialité et de vie privée, peut-être l'un des plus grands freins potentiels au développement des "wearable technologies". Mais c'est déjà un autre sujet..."
(contacter la journaliste du Monde au service Technologies au +33 1 57 28 20 00)

Les médias traditionnels et les nouveaux médias sont invités...

Ils sont invités à l'ONU à La Haye, en zone internationale. Au Palais de la Paix. Pour discuter de quoi? Discuter du Convivialisme à l'heure des nouvelles technologies. On pourra aussi aborder l'Histoire en 2014. On cherchera à mieux définir ce que veulent dire les mots historiographie, principe de précaution et principe de responsabilité (Hans Jonas).

Si l'idée est bonne, elle fera son chemin. Pour contacter l'auteur de cette proposition, vous êtes priés de contacter l'Ambassade de France, où le Premier conseiller a reçu l'auteur de ce blog. On peut aussi contacter le service culturel en lien avec l'Institut Français d'Amsterdam. On peut choisir de contacter la DGMIC au ministère de la Culture et de la Communication à Paris qui connaît ce blog également. Direction que ce blogueur contacte régulièrement. Ici, on travaille à la rencontre conviviale, les Néerlandais seront invités évidemment. Encore faut-il que le ministre des Affaires étrangères ou M. Keulers veuillent bien prendre la peine de répondre. J'ai eu l'occasion de rencontrer le ministre à Aix-la-Chapelle au printemps dernier. J'ai eu M. Keulers au téléphone. Je le rappellerai. Ça ne s'invente pas.

maandag 24 februari 2014

Un nouveau mot dans Le Monde...

Les "convivialistes"...

On cherche et on trouve:

http://www.alternatives-economiques.fr/pour-un-manifeste-du-convivialisme_fr_art_1108_56165.html

Il est évident que des ânes en ont fait leur passe-temps favori aussi... Ils se réfèrent eux à Ivan Illich, Jacques Ellul, E.F. Schumacher, Christopher Lasch en particulier, mais il y en a d'autres.

Alors pour résumer:

Proposition de rencontre conviviale à l'ONU, au Palais de la Paix de La Haye, à l'automne 2014, en partenariat avec l'Institut Français d'Amsterdam, sur les grands sujets qui nous intéressent en ce moment. Des historiens de tous bords et interessés par la question du qui fait quoi en Europe? - Qui a fait quoi? - seront invités à venir nous faire partager leurs visions des choses en zone internationale. On commence par là? Au chapitre Historiographie.

P.s: L'Institut Français ou l'Ambassade peuvent m'envoyer un mail, puisqu'ils ont les coordonnées, pour écrire ce qu'ils en pensent. On travaille dans la transparence et la confiance.

Voir aussi l'article de Marc-Olivier Bherer, paru dans Le Monde du 21 février 2014 en page 17 - Analyses - Le livre du jour:
Le Panorama des idées 2014 - Sous la direction de Jean-Marie Durand et Emmanuel Lemieux - Editions François Bourin, 302p.

http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/134000625/index.shtml#

Les amis virtuels se retrouveraient ici.

Au chapitre Convivialisme et économie po-si-ti-ve.

Petites nouvelles...

http://www.telegraaf.nl/binnenland/22327636/__Paarlberg_alweer_vrij__.html

http://www.telegraaf.nl/binnenland/22327689/__Grote_zedenzaak_14-jarige__.html

http://www.volkskrant.nl/vk/nl/2686/Binnenland/article/detail/3576396/2014/01/13/Slachtoffers-Faro-ramp-gaan-strijd-aan.dhtml

http://www.telegraaf.nl/overgeld/consument/Studeren/22327682/___Huisbaas_intimideert_student___.html

http://www.telegraaf.nl/overgeld/consument/22320599/___Afschaffen_partnerschap___.html

http://www.telegraaf.nl/overgeld/pensioen/aow/22230636/__Hoger_AOW_bij_latten__.html

http://www.telegraaf.nl/overgeld/consument/22232074/__Weer_meer_Nederlanders_met_betalingsproblemen__.html

http://www.telegraaf.nl/overgeld/lenen/22198759/__Voorkom_schulden___.html

http://harryvanbommel.sp.nl/weblog/2014/02/21/minister-van-bijzaken/

http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/02/22/dans-les-mobiles-la-resistance-s-organise-face-aux-ecosystemes-google-et-apple_4371628_3234.html

http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/02/24/six-mois-apres-son-rachat-par-microsoft-nokia-lance-des-smartphones-sous-android_4372180_3234.html

http://www.volkskrant.nl/vk/nl/2680/Economie/article/detail/3602571/2014/02/24/In-de-EU-staan-twee-keer-zoveel-huizen-leeg-als-dat-er-daklozen-zijn.dhtml... et regarder la vidéo made in US...

http://www.volkskrant.nl/vk/nl/2680/Economie/article/detail/3602612/2014/02/24/Shell-trakteert-Amsterdam-Noord-op-taart.dhtml

P.s: a-t-on suffisamment pensé à protéger les familles et la jeunesse?

P.s: Où en sommes-nous?

Les élections municipales et européennes...

Sommes-nous correctement informés par les médias traditionnels?

Où en sommes-nous?...

...

Politique NL...

http://www.volkskrant.nl/vk/nl/6294/Raoul-Du-Pre/article/detail/3601776/2014/02/22/De-Nederlandse-consensuspolitiek-werkt.dhtml

Mots clés:

- Vie privée
- Openbare Orde
- Goede zeden
- Accountability
- Liability
- Zorgplicht
- Code of conduct
- Belangverstrengeling
- etc.

L'âne est suivi en Amérique...

... et il propose une rencontre conviviale avec les Américains au Peace Palace de La Haye, en zone internationale, là où se trouve l'ONU. Tout à côté de l'Ambassade de France, en lien avec Anna Paulowna.

http://nl.wikipedia.org/wiki/Anna_Paulowna_van_Rusland

http://nl.wikipedia.org/wiki/Sophie_van_Wurttemberg

Au chapitre Historiographie et modernité...

http://lagrandeguerre.blog.lemonde.fr/2014/02/20/lhistoriographie-allemande-tourmentee/

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Le rôle de la technique dans l'Histoire du XXème siècle...

...

Le problème de l'électronique et la protection de la jeunesse...

Quel contrôle pour le monde de l'électronique mise à la disposition de la jeunesse?

Toujours au chapitre Responsibility to Protect & Duty of Care.

Le monde de la critique et la postmodernité... Retrouvé dans mes notes... Beaucoup à lire... Uniquement pour ceux que cela intéresse...

L’angoisse moderne face au vide postmoderne

Publié le 25 juin 2012 par bernat

Chapitre I

Chapitre II

Chapitre III

Chapitre IV

L’angoisse moderne face au vide postmoderne – Chapitre IV

- « Quand le Rien affleure dans les signes, quand le Néant émerge au cœur même du système de signes, ça, c’est l’événement fondamental de l’art. C’est proprement l’opération poétique que de faire surgir le Rien de la puissance du signe -non pas la banalité ou l’indifférence du réel mais l’illusion radicale. Ainsi Warhol est vraiment nul, en ce sens qu’il réintroduit le néant au cœur de l’image. Il fait de la nullité et de l’insignifiance un événement qu’il transforme en une stratégie fatale de l’image. » Jean Baudrillard, Le complot de l’art, Libération, 20 Mai 1996.
- Warhol est nul, moins nul tout de même que la "stratégie commerciale de la nullité", affirme Jean Baudrillard dans son texte. Faut-il comprendre qu’il y a plusieurs façons d’être nul, des degrés dans l’échelle postmoderne du zéro pointé ? Tout cela est extrêmement fumeux. Plus nul que le nul, le vraiment nul, le supra nul, le nullissime ? Ce qui autorise toutes les variations. A propos d’un film sorti cette semaine en salle (La clinique de l'amour) : « il faut être très intelligent pour faire un film aussi bête », intellectualise sottement le batracien acteur fleuron de la nullité intello. Phrase convenue, déclinable sur tous supports et sur tous sujets, variation sur le modèle inaugural warholien : je suis vraiment nul, autrement dit personne ne peut être aussi nul que moi donc je suis le meilleur. A la suite de quoi la journaliste ramollie du biscuit ajoute : « oui un film thérapeutique en quelque sorte à aller voir de toute urgence ».
- Plus fine serait la question : pourquoi la nullité fascine, qu’est-ce qui dans le vide postmoderne séduit ? Peut-être la liquidation de la dialectique du sens et du non-sens, celle qui donna naissance à l’absurde et à ses illustrations modernes dans le théâtre, la littérature, le cinéma au cours de la période du haut modernisme, période qui s’exténue aujourd’hui dans le triomphe disons nullissime du vide postmoderne. « Il faut être très intelligent pour faire un film aussi bête ». A défaut d’explication complémentaire (explication qui ne viendra jamais, celui qui l’énonce étant incapable, c’est un des principes du postmodernisme, de comprendre ce qu’il dit) cette phrase est un non-sens. A moins de supposer qu’il y a bêtise et bêtise. La première, réservée aux véritables crétins, serait simplement bête. Bêtise triviale si l’on veut. La seconde, plus bête que la bêtise elle-même nécessiterait, pour être atteinte, un surcroît d’intelligence, bêtise élitiste en quelque sorte, bêtise de classe.
- Les dogmatiques de l’âge moderne n’ont pas compris qu’il y avait justement des degrés de nullité, que le plus nul que le nul pouvait cacher des trésors d'intelligence. Que c’était même cela le secret de la nullité : plus nul que le nul, le génial. N’est-ce pas génialement nul ? Il fallait y penser n’est-ce pas ? Avez-vous bien regardé la nullité en face, ne voyez-vous pas, sombres idiots au premier degré, à quel point il y a du talent et de l’intelligence dans cette façon d’être bien plus nul que vous ne l'êtes déjà. C’est tout simplement que la nullité ne suffit pas à qualifier une production du postmoderne. C’est nul, dites-vous, mais encore ? De quel type de nullité parlons-nous, la bonne ou la mauvaise ? Connaissez-vous la nullothérapie dont vous entendrez peut-être parler en ces termes à la sortie du ciné : "c’est con, c'est bien nul, mais qu’est-ce que ça fait du bien ?"
- Le nullothérapeute verse dans la clinique : si vous ne parvenez pas à rendre le meilleur du nul, c’est que vous réfléchissez trop, votre obsession du sens vous empêche de jouir de la nullité. Pire, c’est cette même obsession qui vous angoisse et vous rend ennuyeux aux yeux des nuls accomplis, les meilleurs d’entre tous. Lâchez-vous mon vieux, oubliez la dialectique du sens et du non-sens, ce vieux modèle moderniste a trop duré.
- A l’image de ces avions furtifs, les productions de la postmodernité, en affichant d’emblée leur bêtise comme une véritable compétence (il n’est pas donné à tous de faire quelque chose d’aussi stupide), se situent hors d’atteinte de la critique. Ne perdez pas votre temps à critiquer cette nullité-là, vous n’enfoncerez même pas des portes ouvertes. Laissez cela aux véritables nuls, eux s’y connaissent mieux que vous, ils en font profession. Le vide postmoderne, sans porte ni fenêtre, est beaucoup plus efficace en matière de dissuasion que les vieux systèmes d’imposition du vrai. Religieux et politiques, ils supposaient en effet tout un appareillage défensif et lourd sur lequel la critique avait forcément prise. Chaque défense apportait son lot de faiblesses, de failles sur lesquelles il était possible de s’appuyer pour la renverser. De là cette nostalgie, une fois la modernité éteinte, pour les vieux systèmes défensifs (blocs, murs, frontières, etc.) voire la survivance cocasse d’un vocabulaire obsolète et désormais sans objet : liberté d’opinion, censure politique, droit à la différence.
- De là aussi les appels dérisoires au retour de l’esprit critique, au dissensus politique. L’idéologie postmoderniste ou nullissisme n’empêche pas la critique ou le dissensus avec des stratégies qu’il serait possible de repérer et de combattre. En d’autres termes, elle ne prétend pas à l’hégémonie d’un jeu symbolique (ce qui est le propre des vieux systèmes d’imposition, à savoir prendre le pouvoir et entretenir des dispositifs dissuasifs contre toute révolte possible) ; elle se met tout simplement hors jeu. Au procès de sa critique, les avocats de la postmodernité plaideront l’irresponsabilité, la bêtise, le plus sot que le sot et gagneront, sous les applaudissements d’une foule hystérique, l’acquittement général.
- Mais qui croira longtemps que le plus nul que le nul, le plus faux que le faux mèneront à autre chose qu’à la nullité et à la fausseté ? Qui croira que le pastiche sans dimension, la forme la plus vide de l’ironie devenue cynisme de pacotille nous fera retrouver une réalité perdue dans l’art ? A côté de l’accumulation abrutissante de détournements et d’images imbéciles, le tableau de Munch n'est qu’une relique, le témoignage d’un homme venu d’un autre temps. Sa signification expressive disparue sous la redondance de ses répliques grimaçantes, ne reste plus au vide postmoderne qu’à feindre l’angoisse et l’inquiétude de sa disparition.


L’angoisse moderne face au vide postmoderne – Chapitre III

Publié le 22 juin 2012 par bernat

- Pour quelles raisons les montages de la pop’culture, de la soupe Campbell et de la bouteille de Coca-Cola, censés dénoncer le fétichisme de la marchandise manquent leur but. Ils accompagnent au contraire parfaitement la transition du haut modernisme au post-modernisme et sont même les figures de proue du mouvement. L’expression de l’angoisse face à la montée de l’insignifiance des signes cannibales ne passera pas par la surexposition des fétiches de la société de consommation car cette surexposition est elle-même vouée au non sens et au vide. L’angoisse de la déréalisation, de la liquidation des référentiels de sens ne peut se dire que par un surcroît de sens, un véritable travail sur les contradictions, une réintroduction de la contradiction entre les signes indifféremment consommés par la logique du capitalisme tardif pour reprendre l’expression de Fredric Jameson. Contrairement à ce que pourrait penser un esprit paresseux en face d’un pastiche crétin du Cri de Munch, ce cannibalisme fait sens une fois qu l’on rompt le charme malsain suscité par ce nouveau code, cette nouvelle façon de ne rien dire.
- Un art critique et politique (et il faut aujourd’hui beaucoup d’art à la critique pour se faire - un peu - entendre) se doit de réintroduire ce qui est nié dans le procès de consommation des signes fétiches. La manipulation opportuniste des signes, des mots-clés ou du code d’énonciation ne renvoie à aucun contenu réel. Elle n’est l’expression de personne. Ce en quoi un art critique et politique fidèle à la subjectivité (comme peut l’être Le Cri de Munch) se tiendra aux antipodes de la posture. La manipulation stratégique des signes de la critique se substitue pourtant constamment à l’effort de faire réapparaître des contradictions vécues que le système horizontal de la futilité postmoderne oblitère. L’organisation de la séparation (pour quelle raison commentez-vous une petite chronique publiée dans L'Express par Ariel Wizman avec des armes lourdes ?) est là pour assurer que la contradiction se s’exprime pas.
- Ce travail est d’autant plus difficile à mener que les certitudes concernant son succès ont fini par disparaître dans le haut modernisme. La valeur de la valeur d’un tel effort (y compris l’interrogation sur la valeur de cette valeur) ne va plus de soi. Les partisans de la néo-connerie horizontale auront beau jeu (c’est là tout le sel de leur cynisme adaptatif) de dénoncer la naïveté qui consiste à supposer une conscience non aliénée. Cette tarte à la crème de la théorie critique qu’est la conscience non aliénée n’aura plus cours en régime de virtualisation aggravée faute d’étalon pour savoir qui de l’un ou de l’autre est plus aliéné que le troisième. De là cette position ambiguë de l’angoisse moderne : trop moderne pour s’adosser aux hiérarchies de valeurs du classicisme avec lequel la conscience critique a rompu (faute d’une harmonie établi entre l’homme et la nature, entre l’homme et Dieu, entre l’homme et lui-même) ; encore trop moderne pour ne pas passer au-delà, franchir le dôme de verre au-dessus duquel triomphe le n’importe quoi, le pastiche sans conviction d’un épuisement terminal de l’expression humaine. L’angoisse moderne est tragique car située dans un entre-deux ne bénéficiant plus du confort métaphysique du classicisme tout en étant incapable de jouir connement de la platitude érigée en modèle universel, éternel et banal et que rend le mensonge de Wizman : « ce cri que chacun pousse intérieurement tous les jours ».
- Fredric Jameson s’interroge : pour quelle raison l’exposition sur un cube en verre d’une boîte de soupe Campbell ou l’empilement de bouteilles Coca-Cola dans les jardins de Versailles ne sont-ils pas de « puissantes déclarations politiques et critiques » ? C'est que pour qu’il y ait déclarations politiques et critiques, il est nécessaire qu’un sujet - politique et critique - s’exprime, qu’il manifeste une conscience. Cette manifestation de la subjectivité est ce qui contrevient le plus aux impératifs de réversibilité des signes consommés dans le phénomène postmoderne. Elle n’a plus lieu d’être ; elle est anachronique.
- Le pastiche "Simpson" du Cri de Munch n’est pas là pour être pensé (qui le pense d’ailleurs si ce n’est celui qui a du temps à perdre ?). Est-il pour autant impensable ? Une chose est certaine : il n’exprime plus rien. Il exploite le tableau d'Edgard Munch non plus à partir de son contenu expressif, la déchirure subjective de la membrane de l’être (le vieux style de la métaphysique) mais comme code. De ce point de vue, le personnage au centre du tableau devient indifférent (alors qu’il tenait une place essentiel dans l’œuvre de Munch). Il devient interchangeable, simple effet de surface vide de sens. Tantôt "Simpson", tantôt "lapin crétin" (ou comment couper l’herbe sous les pieds de la critique), tantôt "Joker" ou smiley. L’ahurissante prolifération du code en passe par l’extermination radicale du tableau de Munch, un anéantissement autrement plus efficace que sa destruction matérielle ou sa confiscation par une improbable censure, à moins que ce ne soit sa privatisation au dernier étage d’une banque d’affaire.
- L’extermination dont il est question, soft, cool et branchée, publicitaire en un mot, est d’autant plus efficace qu’elle se fait en toute indifférence. Qui ira déplorer l’anéantissement du contenu subjectif ? Encore faut-il savoir de quoi il s’agit, encore faut-il être conscient de sa conscience, faire cas de l’homme. Cette extermination radicale (qui va bien au-delà de la supposée "mort du sujet") ne se fait pas sans volonté, elle n’est pas simplement le résultat d’un programme de virtualisation sans tête. Elle suppose la connivence tacite des usagers du code, la soumission béate au nouvel ordre postmoderne du non sens, d’une dérision épuisée et vide.


L’angoisse moderne face au vide postmoderne – Chapitre II

Publié le 22 juin 2012 par bernat

- Le discrédit qui frappe les tentatives expressionnistes caractérise le passage du moderne au postmoderne et va de pair avec un effondrement du modèle critique. La destitution de ce modèle moderniste, formulée par Nietzsche sous la forme d’une interrogation sur la valeur de la valeur, conduit à l’exténuation de toute forme d’évaluation, fut-elle réflexive. Dès lors, la question Que vaut ton "que vaut" ? - pour reprendre l’idée de Jean-François Lyotard dans La condition postmoderne - ne vaut plus rien.
- A la problématique de la valeur (le classicisme, dans ses hiérarchies de valeurs, porte cette exigence) succède l’évaluation des valeurs (Edgard Munch s’inscrit dans cette perspective), évaluation elle-même dévalorisée par une indifférence consommée au problème de la référentialité, véritable tabou du phénomène postmoderne. L’impossibilité de pouvoir fixer des critères de jugement, un "fond" à partir duquel le travail expressif pourrait être jugé et pensé, devient la condition expresse du succès (ainsi Warhol). Ne cherchez pas le sens, laissez vous porter par le flux d’images, sans aucune arrière-pensée. Une fois évacuée la contradiction de l’intérieur et de l’extérieur exprimée par le tableau de Munch, l’œuvre peut fonctionner sans attaches, "libre" de s’inscrire dans n’importe quel jeu de langage.
- Dans un paradoxe rarement explicité (il constitue en effet la toile de fond du phénomène postmoderne), les théories critiques les plus avant-gardistes, critiques des vielles idéologiques de la référentialité (la déconstruction est de celles-ci), sont venues indirectement légitimer une nouvelle forme de platitude et d’idiotie. Plus besoin de ressentir, de vivre intérieurement une contradiction réelle quand la participation aux signes de la contradiction suffit. Encore fallait-il promouvoir une forme inédite de déréalisation de soi, de défiance à l’égard des modèles de la profondeur et de l’intériorité.
- Le phénomène postmoderne s’exprime plutôt ainsi : « Ce cri, que chacun pousse intérieurement tous les jours, pour des raisons différentes, semble éternel, universel, presque banal. » (Ariel Wizman, Un Cri qui nous dit tant de choses..., L'Express 6 juin 2012) Indifférence des raisons (la mise en avant d’une raison nous ferait à coup sûr retomber, pour le porte-voix postmoderniste, dans le dogmatisme de la défunte métaphysique) qui autorise les pastiches de l’œuvre une fois évidée de son contenu expressif. Banalisation ensuite. Comme si chacun était capable de pousser un tel cri, de déchirer, comme l’écrit justement Fredric Jameson en référence à Lautréamont, la membrane de l’être chaque jour ouvrable, en sautant de son lit, en faisant réchauffer son plat cuisiné, en remplissant son caddy ou en ouvrant ses factures. Ce mensonge participe lui aussi de la déréalisation ambiante : supprimer l’événement, le dissoudre dans un continuum amorphe et sans profondeur. Le Cri ou la pause café de la créature unidimensionnelle.
- Ne reste désormais, sans l’ombre d’un doute quant à la valeur d’une telle promotion, qu’à faire du Cri de Munch une constante, une fonction éternelle qui ne doit rien à l’homme. Eternité, universalité, banalité. Sous couvert de qualifier l’œuvre de Munch, Ariel Wizman décline, en toute inconscience, les fantasmes du postmodernisme. Du point de vue de la critique, qui ne renonce pas si facilement au style de la modernité, rien de moins que le cauchemar de la "fin de l’histoire". Edgard Munch exprime, dans cette œuvre, le contraire de la banalité, de l’universalité, de l’éternité. « Ce cri à travers la nature », selon sa formule, exprime la fragilité de l’homme, le tiraillement de sa conscience dans une nature qui le submerge. La déchirure de le membrane de l’être (ou du voile de Maya chez Schopenhauer) est tout autant effraction d’un autre ordre dans la monotonie d’une existence qui s’illusionne sur ses fins. La banalité se situe en arrière-plan du tableau, c’est celle des promeneurs inconscients de l’effroi de cet homme qu’ils ne voient que de dos. Préfiguration de l’indifférence postmoderne à l’angoisse moderne ?
- Le phénomène postmoderniste, dans la destitution du modèle existentiel de l’authentique et de l’inauthentique, de la profondeur et de la surface, renverse l’ordre de l’apparition. Rien de nouveau sous le soleil norvégien : banal, universel, déjà-vu que ce Cri de Munch. Indifférence postmoderniste à l’étonnement métaphysique, à ce foudroiement de la conscience sans lequel, pour Aristote, la philosophie n’aurait pas vu le jour. Inédite au contraire la participation de l’œuvre à l’obscénité marchande, à ses millions de dollars surnuméraires, à la Crise.
- Encore fallait-il régler en quelques lignes la question du contenu expressif, situer le postmoderne au-delà des questions herméneutiques, balayer d’un revers de main la vieille référence métaphysique (banalité, universalité, éternité) afin de passer aux choses sérieuse, la finance, le monde des "ultrariches" et le "nôtre" - dualisme sans conséquence, au mieux banal, au pire imbécile quand on sait qu’un animateur branchouille moyen, à l’échelle planétaire, fait partie des 2% les plus riches.
- Ce qui mérite d’être pensé dans le tableau de Munch - si l’on excepte la quantité de vide produite chaque jour sur "la Crise" (qui ne date pas d’hier), les "ultrariches" (concept inventé par les riches pour faire plus pauvres) et les millions de dollars (ou milliards, c’est indifférent) – doit être cherché dans la formule de Fredric Jameson : le contenu expressif de l’œuvre de Munch, autrement dit la référence depuis laquelle elle fait sens, « n’a plus de pertinence dans le monde postmoderne ». L’œuvre devient (d’autant plus efficacement qu’elle se banalise) le support d’une consommation en surface. Le vide postmoderne se rachète une âme en cannibalisant ce qu’il reste de l’expressionnisme une fois délivré de ses vieilles attaches subjectives.
- De l’expression artistique de l’intériorité humaine à la réverbération de ses pastiches non-humains, nous ne sommes plus dans le même monde. Un art critique et politique saura-t-il exprimer l’angoisse de ce partage entre le monde finissant du sens et l’immonde insignifiant des signes cannibales dans la logique culturel (on peut douter qu’il s’agisse encore de culture) du capitalisme tardif ?

L'angoisse moderne face au vide postmoderne - Chapitre I

Nous avions récemment appris en commentant une opinion dite "sociologique" publiée dans Le Monde par un dénommé Michel Maffesoli (et pourtant il portait des couches) que « l’intelligentsia se souvient que c’est la France qui "inventa" la modernité et a du mal à reconnaître que le monde change. » (voir exercice didactique sur le bougisme et le bousier). Notre enchapeauté sociopathe Maffesoli ajoute : « L’intelligentsia a du mal à accepter l’étrange au cœur de la postmodernité ». Un lecteur assidu de la critique critique me fit remarquer à ce sujet que mon analyse de la décantation fumeuse de Maffesoli ne développait pas la distinction technique : moderne / postmoderne. Un article d’Ariel Wizman - animateur branchouille - publié récemment dans L’express (6 juin 2012) fera ainsi office de révélateur conceptuel.
- Le sujet de l’article : la vente aux enchères du Cri d’Edgar Munch (1893) à Sotheby’s le 3 mai dernier pour 119,92 millions de dollars. Sous le titre Un Cri qui nous dit tant de choses…, l’agitateur d’éventails nous explique que l’achat du tableau de Munch révèle « la déconnexion la plus totale entre le monde de l’acheteur et le nôtre, celui du travail ou même du profit ». Plus angoissant que le faux, le creux. Il est évident que nous pourrions faire un sort à cette "explication" qui suppose, en contrepoint du « monde de l’acheteur », un monde commun à tous les gens « du travail et du profit ». Ce montage fictionnel feint d’oublier l’étonnante disparité (des monteurs de palettes aux animateurs branchouilles) des travaux et des profits en question ou plutôt l’absence de profits financiers qui accompagne certains travaux (pour preuve le Bernatblog).
- La vente du Cri de Munch "en pleine "Crise"" nous plongerait ainsi pour Wizman dans une profonde méditation financière : « Comment mieux dire, avec Munch, que ce cri perçu par le maître dans la nature est désormais celui des inégalités, en un monde fracturé ? Que l’acheteur n’ait pas jugé utile de se faire connaître signe que, décidément, lui et nous ne sommes plus du même monde. » D’un côté l’acheteur, de l’autre un "nous" vide de sens, entre les deux la fracture-facture et l’angoisse de Munch pour signifier tout cela avant l’heure avec ses petits pastels à la fin du XIXe. Cette historiette journalistique aussi consensuelle que le temps de cuisson du jaune d’œuf convient parfaitement à une époque "postmoderne". Quand le plus superficiel passe pour une analyse, quand le creux se donne à lire comme sujet de méditation et prise de conscience dans les pages "chronique" ou "rebonds" des hebdomadaires d’ambiance, ne reste plus à l’art que la quantification en millions de dollars. La cohérence est implacable.
- Ce que nous dit le postmodernisme à travers ses porte-voix à la page c’est que l’angoisse qui tiraille le personnage de Munch n’existe plus. « Ce cri, que chacun pousse intérieurement tous les jours, pour des raisons différentes, semble éternel, universel, presque banal » ose écrire Wizman qui ne comprend pas ce qu’il écrit. La transition du moderne au postmoderne se fait justement quand plus personne ne pousse le cri de Munch. Fredric Jameson, dans son ouvrage, Le postmodernisme ou la logique culturelle du capitalisme tardif explique cela très bien : « Le Cri, la peinture d’Edgard Munch, constitue bien sûr l’expression canonique des grands thèmes modernistes : l’aliénation, l’anomie, la solitude, la fragmentation sociale, et l’isolement, emblème quasiment programmatique de ce que l’on a appelé l’ère de l’angoisse ».
- Munch dans son tableau le Cri exprime un affect, témoigne d’une déchirure subjective, intérieure. L’expression suppose la subjectivité, le conflit tragique entre l’intériorité et l’extériorité, l’homme et la nature. Munch, admirateur de Schopenhauer, est un témoin de la contradiction entre l’homme et le monde. Pourquoi le désir se transforme en souffrance, pourquoi l’amour ne change pas les hommes, pourquoi les mêmes massacres se perpétuent dans l’histoire ? Les grands thèmes du scandale existentiel d’un monde privé de sens, dénué de toute explication théologique, résonnent dans l’expression atroce de ce visage de Munch, déformé par les spirales et les tourbillons de l’être. Ragna Stang dans Edward Munch (1979) rappelle la formule de Munch : « un cri à travers la nature » - ce qui suppose dualité et contradiction, tragédie de l’homme.
- La superficialité postmoderniste, celle de Warhol pour citer le meilleur (« tout le monde est bon mais je suis le meilleur », formule de Baudrillard qui résume parfaitement la vacuité du bonhomme), est antinomique avec les modèles fondamentaux de l’expression existentielle. Jameson parle à ce sujet d’un « déclin de l’affect » qui accompagne la promotion de l’ère du vide, du creux et du branchouille. La pataugeoire mondaine des animateurs d’ambiance est sans pitié. L’aliénation suppose à rebours la perte d’une forme d’authenticité, authenticité que le postmodernisme récuse. Vieille naïveté que l’authentique ! Ne savez-vous pas que tout se vaut, que tout s’échange, que tout se relativise dans un miroitement de simulacres sexy ? Les références intellectuelles de l’œuvre d’Edgard Munch (Schopenhauer en fait partie) susciteront, au temps du déniaisement intégral, indifférence et ennui. Qu’a à faire le postmodernisme de ce sérieux-là ? Qu’a à faire le postmodernisme des contradictions de l’existence humaine, du Cri de Munch si ce n’est, dans son impuissance, le quantifier en dollars ou en faire le prétexte d’une inepte chronique ? « Tout cela, ajoute Frédéric Jameson, nous amène à une hypothèse historique plus générale, à savoir, que des concepts tels que l’angoisse et l’aliénation (et les expressions auxquelles ils correspondent comme dans le Cri) n’ont plus de pertinence dans le monde postmoderne. » C’est peu dire.
- Nous avons à ce point perdu la densité tragique de l’existence humaine dans la consommation débile du plus insignifiant, dans le plaisir malsain d’une perte de sens dans la duplication du vide, que nous (je laisse le lecteur apprécier l’étendue de ce "nous") accusons l’obscénité marchande de ce monde avec un tableau de Munch auquel nous retirons toute profondeur, afin de le glisser dans un jeu textuel modulable en fonction des impératifs du moment. Ici la crise et ses millions de dollars, demain une campagne contre les hémorroïdes, dans trois jours la déforestation ou la dette américaine.
- Reste à savoir si l’angoisse moderne face au vide postmoderne a encore des chances de survivre. L’expression de l'effroi du personnage de Munch nous console de l’effroyable disparition de notre propre tragédie, de nos angoisses et de notre conscience dans cette nouvelle superficialité qui liquidera toutes les contradictions à condition de comprendre que « nous ne sommes plus du même monde » pour n’être plus au monde du tout.

Caricature de Nate Beeler, The Columbus Dispatch ou l'expression au premier degré du vide postmoderne

http://bernat.blog.lemonde.fr/

P.s: Des Postmodernes, il y en a de tous les formats...