Ce débat, l'âne y tient... Une petite idée fiXe à l'heure des nouvelles technologies, des BIG Ones (médiatiques) et de l'Europe dans le bon sens... On reprend l'article du Monde du 9 mai 2014: "Téléphone, voiture, domicile ou bureau: la police autorisée à nous suivre partout - Depuis le 28 mars, la loi qui encadre la géolocalisation la permet en presque toute circonstances". Vu des Pays-Bas, la question est très intéressante. Les médias qui divertissent y sont très puissants et ont tendance à s'inviter un peu trop facilement dans les foyers et les consciences. Quels responsables? Au milieu de l'article, le journaliste écrit sur le défaut de secours et la diffusion d'images de violence. Le sujet intéresse l'âne, il y travaille beaucoup, ce qui l'a amené à contacter énormément de monde et d'institutions diverses, à l'échelle européenne aussi, et surtout. Des sites web ont été repérés. Ils s'adressent à la jeunesse et diffusent tranquillement sans véritable contrôle puisqu'on a laissé le business s'auto-réguler. Self-régulation alors que la co-régulation était préconisée. Une erreur? Malveillance? Manquement? Car que fait Bruxelles des notions de devoir de secours et de RESPECT de la vie privée, de l'intégrité et de la dignité des jeunes et des familles? Ce thème est abordé ici en long et en large. Ce debat voudrait être porté au Palais de la PaiX à La Haye. On y parlerait de Justice et de droits fondamentaux. Mme Robinson serait invitée à participer. Recherche de responsabilités dans ce domaine. Responsibility to Protect & Duty of Care à l'heure de la diffusion et de la liberté d'eXpression pour des sites pas vraiment conseillés. Certains n'ayant pas hésité à mettre en ligne des vidéos choquantes et odieuses. Un lien en particulier a été transmis à la police ici, à l'Ambassade de France, à un quotidien, et même au ministère de la Culture et de la Communication à Paris, à d'autres instances également. Je suis allée en personne présenter la problématique au ministère; j'espère que ce ministère a fait suivre dans les différents organes ou Directions concernés. Car il y a le mot care bien évidemment que nos politiques seront invités à revisiter, devoir de transmission et devoir de secours. Le politique et le care, les politiques et les devoirs envers la société. Un devoir de protection. Au chapitre légitimité. Qui fait quoi? Quels eXperts?
P.s: les médias traditionnels peuvent aussi transmettre des images de violence. Qu'en pensent les rédacteurs ici? Pourquoi est-ce que les journalistes sont libres d'agresser les lecteurs en tout impunité? Des mots et des photos. Que dit la justice? On a pu comprendre que le monde du journalisme allait se remettre en question car les nouvelles technologies changent les rapports, les liens, et les schémas.
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