Y-a-t-il un problème?
Il y a, semble-t-il, et c'est la presse qui le dit, un problème.
Un problème, c'est quoi?
Un problème doit être compris.
La presse en parle, en a parlé.
Les firmes qui ne paient pas leurs impôts correctement, est-ce un problème?
Les firmes qui gagnent beaucoup trop d'argent, est-ce un problème?
Les firmes qui ne respecteraient pas les citoyens européens, leurs valeurs, etc, est-ce un problème?
Les firmes qui ont un accès un peu trop facile auX foyers, est-ce un problème?
Les firmes qui ont un impact un peu trop in-contrôlé sur la jeunesse et les consciences, est-ce un problème?
Les firmes ont-elles des valeurs à transmettre, devoir de transmission? Quels sont leur rôle et leur fonction dans une société?
Que faire quand on est trop gros, vraiment trop de chiffres d'affaires et attend encore beaucoup plus en retour?
Que faire quand on s'est connecté auX populations, que l'on se sert gratuitement de la pensée des jeunes et des internautes? En tous genres.
Que faire quand on ne paient ni ses impôts correctement, ni rien du tout à personne, qu'on ne dit rien, ne communique pas assez correctement?
Que faire quand les firmes se prennent pour des personnes? Et cela vaut également pour la Technique&robotique&dronesetCie.
Que faire quand les responsables des firmes sont invités à La Haye au Peace Palace, en zone internationale, pour discuter de certaines choses?
Les firmes sont menées par des responsables qui gagnent bien et correctement leur vie, ils sont invités à la rencontre qui s'organiseraient.
Une rencontre conviviale, façon Ivan Illich, à l'heure de l'informatique tous azimuts, permettraient de faire se rencontrer les utilisateurs et les services des entreprises. Beaucoup sont américaines. Un aller-retour Boston-Schiphol? Ou San Francisco-Schiphol?
On peut lire dans Le Monde du 21 juin 2013, à la page 3, c'est à l'International:
"En France, entreprises et particuliers ne peuvent se passer des géants californiens du Web. "Nous sommes prisonniers. Il faut ce genre d'affaires pour accélérer la prise de conscience" souligne http://www.ovh.nl/. " Sur Internet, on observe depuis quelques années une grosse montée des problématiques géostratégiques. Le soft power américain n'a jamais été aussi puissant." note Stéphane Distinguin, le président de Cap Digital, le pôle de compétitivité des services numériques.
Autrefois, c'était IBM. Aujourd'hui, c'est Google qui domine sans partage les moteurs de recherche, Amazon qui règne dans l'hébergement des données à distance - le "cloud computing"- , Facebook qui connait la vie de chacun ou presque. En Europe, les acteurs mondiauX dans le numérique sont peu nombreuX;). Il y a bien l'allemand SAP ou le français Dassault Systèmes, dans les logiciels d'entreprises. Ou, côté grand public, Dailymotion, Viadeo, Spotify et Deezer, mais à un petit niveau. (Et la blogosphère? demande l'âne naïvement)
[...]
Mais le temps du numérique n'est pas celui du politique. Plutôt que de s'accorder sur une réponse commune, Paris, Londres et Berlin se battent en ce moment pour le titre honorifique de capitale européenne des start-up". Par Julien Dupont-Calbo dans Le Monde du 21 juin 2013, L'Europe, dépendante des géants américains du Web, page 3.
Ici, c'est tout simple, l'âne pense très simplement, on pourrait envisager de voir la ville de La Haye, ville hypercyber de PaiX et de Justice internationale, se transformer, c'est un peu le but de ce petit blog, en ville où les internautes-utilisateurs pourraient rencontrer, in Real, les géants de l'Internet, les Américains en particulier comme Google, Facebook, Microsoft, etc. L'endroit de choiX est tout trouvé: le Vredespaleis/Palais de la PaiX/Peace Palace. Pas très loin de la Justice internationale. Car les internautes-utilisateurs ont quand même quelques petites questions à poser. Surtout pour ce qui est de la protection de la jeunesse et des populations. La société ne devrait pas être mise en danger par des responsables. Et puis, vous savez, les parents sont aussi responsables et se doivent de protéger les plus vulnérables. C'est une pensée très simple, assez logique; les ânes, aujourd'hui, ont, et c'est le grand paradoXe, la possibilité de s'eXprimer en ligne. C'est l'empowerment qui veut ça. L'écran vous avertit dès que vous allumez votre ordinatueur: il y a de l'empowerment dans l'air. C'est le progrès technologique qui veut ça. Et cette vision des choses est tout à fait po-si-ti-ve. Quand les machines et les firmes américaines sont au service des hommes, des femmes et des enfants, de la jeunesse, on dit un grand merci. Mais il faudra aussi payer correctement ses impôts. Quand on a beaucoup, beaucoup d'argent, on ne le gaspille pas bêtement, on le remet en circulation là où il faut. C'est un peu normal. Et on se retrouve encore une fois au chapitre Responsibility to Protect, Duty of Care, Corporate Social Responsibility, Accountability, devoir de précaution, transparence, etc. Les gouvernements devraient le leur dire d'ailleurs et clairement. L'Europe a des valeurs auXquelles elle tient. Et cela, les Américains le comprennent très bien. Il n'y pas que les Américains. Dans les smartmachins, on trouve toutes les nationalité. C'est la mondialisation qui veut ça. On recherche ici la mondialisation bien comprise. Et on pourrait en parler à La Haye, au Palais de la PaiX, parce que cet endroit m'a vraiment inspirée.
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