https://www.youtube.com/watch?v=P_W4HSOVsY0
Le financier
A Nancy, les sœurs visitandines fabriquaient au Moyen Âge des petits gâteaux ovales et moelleux à base d’amandes. Il semble qu’ils furent créés pour ne pas perdre les blancs d’œufs, alors que les sœurs utilisaient le jaune comme fixateur pour leur peinture. Pour d‘autres, les gâteaux permettaient de pallier à la proscription de consommation de viande dans les couvents.
Cependant, comme la plupart des pâtisseries aux amandes, les visitandines furent éclipsées après la Renaissance car l’arsenic avait le goût de l’amande amère et l’on craignait les empoissonnements.
En 1890, Lasne remit les visitandines au goût du jour. Ce pâtissier, dont la boutique se situait près de la Bourse, aurait créé ce petit gâteau afin que sa clientèle, en grande partie des financiers, puissent avaler rapidement et sans se salir les mains un petit gâteau.
Une autre histoire raconte que les pâtissiers suisses reprirent la recette. Pour ne pas être accusés de plagiat, ils modifièrent l’aspect du gâteau vers une forme évoquant un lingot d’or.
Le financier était né !
Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson : 15 minutes
Ingrédients (pour 15 financiers environ) :
- 75 g de poudre d'amandes
- 100 g de beurre
- 35 g de farine
- 150 g de sucre glace
- 4 blancs d'oeufs
- quelques gouttes d'extrait d'amande amère
Préparation de la recette :
Préchauffer le four à 240°C (thermostat 8).
Dans une terrine, mélanger le sucre, la poudre d'amande et la farine. Bien mélanger.
Ajouter les blancs d'oeufs un par un en tournant bien. La pâte doit être homogène. Puis incorporer quelques gouttes d'extrait d'amande amère.
Faire fondre le beurre dans une casserole sur feu doux. Il doit être fondu mais non coloré. L'incorporer alors à la préparation précédente.
Remplir des caissettes en papier au 2/3. Enfourner pendant 5 min (four préchauffé à 240°C - thermostat 8) puis baisser le four à 180°C (thermostat 6) et laisser cuire encore 10 min.
Les financiers doivent être juste dorés.
Dès la sortie du four, saupoudrer les financier de sucre semoule (éventuellement aromatisé par exemple à la cannelle...).
Laisser refroidir et déguster!
via FacebOOk et le musée Carnavalet enocre... Décidemment l'électronique permet de faire beaucoup aujourd'hui. Et ce qui intéresserait sans dout Edgar Morin, les savoirs et les liens se mélangent copieusement ici. Est-ce que vous suivez toujours? La machine aide énormément aujourd'hui le travail en réseauX. Mais cela prend du temps. Et c'est pas payé. Où veut-on aller? Ici, on s'intéresse à la santé publique et à la protection de la jeunesse face à l'électronique. Sur la prevention également. Les jeunes seraient la cible. Quand les différents acteurs sociétauX défendent leurs intérêts ou les intérêts des plus vulnérables.
Et on reposte: http://europa.eu/legislation_summaries/consumers/consumer_safety/l32042_nl.htm
http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/07/08/le-gouvernement-alourdit-l-arsenal-antiterroriste_4453013_3224.html... Mais c'est monsieur Cazeneuve et son livre qui sont forts intéressants concernant le sujet traité ici sur les produits litigieuX et la prévention: Quel principe? Au chapitre lobby et corruption (dans l'électronique ici). On invitera sans doute monsieur Cazeneuve à La Haye au Peace Palace pour venir discuter de la façon dont les produits litigieuX ont pu trouvé aussi facilement leur chemin sur le marché. Brevets, autorisations de mise sur le marché, négligence, subventions royalement distribuées pour un secteur dont on se demande s'il représent un grand bénéfice pour la société et en particulier pour les plus vulnérables. Quel contrôle préalable. Qui a-t-on choisi de servir en premier? L'industrie ou la société? Les BIG Ones ou les autres.
Geen opmerkingen:
Een reactie posten