vrijdag 19 februari 2016

Au chapitre du partage des connaissances, cette plateforme GOOGLE fait son travail... gratuitement...

http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/les-mutations-tranquilles/463121/moteur-de-recherche-wikipedia-contre-google.

http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/les-mutations-tranquilles/416780/paradoXe-la-socialisation-numerique-serait-elle-desociabilisante?

Pas du tout, il suffit de demander à GOOGLE, à Eric, Jared auX bonnes idées à Londres, à Larry, à Sergey Brin de Russie d'organiser une rencontre conviviale façon penseur des années 70 de la Convivialité. Ici, chez GOOGLE, le fournisseur de contenu pensait au Peace Palace, dans la bibliothèque juridique même. Qui fait quoi dans la bonne gouvernance de l'Internet?

P.s: Il y aurait toutefois un risque pour les enfants, des jeunes et les familles. Même un risque pour les séniors tous seuls derrière leur écran. A-t-on bien pensé l'introduction de l'électronique et des écrans dans les écoles? A-t-on invité les parents responsables à réfléchir auX risques que représentaient les écrans, le trop d'écrans pour les enfants, avec des sites du genre Dumpert.nl par eXemple, entre autres, mis en ligne pour divertir les élèves alors qu'ils devaient se concentrer sur le travail scolaire? La grande question qui est posée ici est la suivante: le ministère de la Culture, de l'Education et des Sciences a-t-il bien fait son travail? On pourra remonter les années 2000, même jusqu'auX années 90 d'ailleurs. Qui est responsable dans un gouvernement au chapitre des grands principes quand des mineurs et des familles sont concernés et impliqués dans les décisions essentielles. Il ne faudrait que des gouvernements soient soupçonnés de négligence, voire de manquement grave, en ayant contribué à une possible tentative de corruption des jeunes et des familles, une éventuelle incitation à la débauche, des atteintes diverses à l'intégrité mentale et morale, mais physique aussi de certains groupes de jeunes et de leurs familles en tout cas. Car, la plateforme GOOGLE pense souvent à ce que pourrait dire la Cour Pénale Internationale... à La Haye. Sur des questions difficiles et délicates. Mark Rutte peut vouloir commenter d'ailleurs, car on ne voudrait pas dire n'importe quoi.

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