Le
no-nonsense, le réalisme, le pragmatisme, le néolibéralisme, l'ultralibéralisme
, le capitalisme déréglé sans éthique, les marchés, la pensée marketing, unique, la médiatisation
jusqu'à plus soif, la privatisation de tout et n'importe quoi, la spéculation,
la compétition, la concurrence, la course au profit, au crédit, l'avidité, les
fonds de pension, la propriété, le lobbying à Bruxelles en particulier, les
paradis fiscaux, le manque de contrôle, les élites qui se tiennent par la
barbichette, qui s'entendent, et puis finalement la corruption, la délinquance
en tous genres, le sens dessus-dessous. le paradoxe, voire la contradiction...
tout cela a contribué à dessiner notre société à partir des années 80, nous
voyons aujourd'hui où cela nous a menés. L'Europe est à repenser, comme le rôle
des États et des citoyens européens, hommes et femmes. Les responsables doivent
aussi être mis face à leurs responsabilités. L'argent a été gagné, les hautes
fonctions attribuées. On peut maintenant s'interroger. Remise en question. Car
d'abord il faudra bien répondre à cette question: qui est responsable de quoi,
ici ou là, et en Europe, à Bruxelles? Une question qui m'intéresse tout particulièrement: la place des médias dans
cette société.
"Sans
avoir progressé d'un iota"... On utilise des mots, on reprend possession
du langage ordinaire (Illich) et on commence par débattre et par écrire, Un
jour certains se rencontreront pourquoi pas? Les débats s'installant, le reste
devrait suivre. Mais il faut bien commencer par quelque chose. Nous vivons une
époque de transition, il s'agit d'aller tous dans le BON SENS. C'est vrai,
j'écris cela très simplement.
P.S. :
Je me méfie un peu des réalistes. N'oublions
pas non plus le problème du financement des retraites. Non des moindres.... Il
faudra sans doute aller chercher l’argent là où il y en a trop. Vous voyez, il
s'agit en ce moment de ne pas se disperser…
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