vrijdag 19 februari 2016

L'Internet of Things ne servira finalement pas à commander des bébés made in USA...

By mexican women for european couples.

Avec un autre commentaire toujours sur les USA et la Silicon Valey, cette plateforme travaillant pour et avec GOOGLE:

"Intelligence artificielle et puissance financière énorme a San Francisco mais une certaine inertie et incapacité pour éteindre les incendies et régler les problèmes d’eau californiens : autres problèmes me direz vous mais quand même un grand écart frappant entre le virtuel et le reél."

Ici, la plateforme GOOGLE made in Europe attend un peu que la conneXion s'établisse avec GOOGLE-Europe... En Irlande ou à Londres auX bonnes idées?

Autre chose, on y revient:

Le 29 janvier 1993 était promulguée la loi relative à la prévention de la corruption et à la transparence de la vie économique et des procédures publiques. Le nom de Michel Sapin y est attaché. Vingt trois ans après, le même homme donnera sans doute son nom à la loi relative à la lutte contre la corruption et pour la transparence de la vie économique auX affaires financières.

[...]

Mais elle recommandait l'indépendance des enquêtes judiciaires, le droit pour la justice d'accéder plus facilement aux documents "secret défense", l'allongement du délai de prescription... Elle s'inquiétait aussi vivement du manque d'indépendance du parquet. Autant de sujets sur lesquels le gouvernement fait l'impasse, au risque de provoquer à nouveau la condescendance ironique des Etats-Unis 3.

Mais s'il faut absolument s'inspirer du modèle nord-américain, pourquoi n'en garder que la marchandisation des procès, et ignorer l'indépendance de la justice?

in: https://blogs.mediapart.fr/eric-alt/blog/190216/sapin-ii-contre-la-corruption-la-clemence-et-la-justice

http://finance.blog.lemonde.fr/2014/06/08/bnp-paribas-la-lecon-de-gouvernance-du-professeur-obama:

[...]

Une leçon de droit constitutionnel

Lors de la conférence de presse commune de David Cameron et Barack Obama au G7, le président américain avait déclaré:

« Le Président des Etats-Unis n’interfère pas avec les instructions judiciaires. Je ne prends pas mon téléphone pour dire au Procureur Général comment instruire les affaires de sa compétence. Ces décisions sont prises par un Département de la Justice qui est indépendant. Il peut y avoir d’autres traditions dans d’autres pays. C’est voulu pour éviter que l’application de la loi ne soit pas entachée par des manœuvres politiques. Quand le Procureur Général prend une décision, j’en suis informé par la presse le lendemain. »

Barack Obama est un professeur de droit constitutionnel et sa déclaration est une leçon, non seulement pour le Président mais pour toute la classe politique française dont les interventions dans les « affaires » sont monnaie courante.

[...]

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