donderdag 24 oktober 2013

Erasmusprijs 2013 voor Jürgen Habermas... Que dit l'Histoire?...

http://nl.wikipedia.org/wiki/Jürgen_Habermas

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Le principe de publicité, pour Habermas, est l'exigence revendiquée d'un usage critique et public de la raison. Ce principe s'inscrit dans le cadre plus large de la démocratie délibérative. Pour Habermas, une décision n'est légitime que si la discussion qui y mène l'est également. En cela, la démocratie délibérative peut être définie en opposition au modèle décisionniste, avancé notamment par Rousseau, qui postule que la source de la décision suffit à en garantir la légitimité. Le débat public qui constitue la démocratie délibérative est donc un principe de légitimité relayé par l'espace public, en lequel Kant voyait un nouveau principe normatif. La publicité (rendre public) devient alors une source de légitimation allant à l'encontre du despotisme, selon Kant. Le principe de publicité donne à l'espace public un véritable pouvoir critique, un "pouvoir d'assiègement permanent" selon Habermas. Ainsi, l'espace public permet une revitalisation de l'État de droit par la délibération constante et publique des individus.

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Jürgen Habermas compte également parmi les membres fondateurs du Collegium international éthique, politique et scientifique, association qui souhaite apporter des réponses intelligentes et appropriées qu'attendent les peuples du monde face aux nouveaux défis de notre temps.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jürgen_Habermas


Et puis, je me promenais chez l'iris, un autre regard sur les affaires internationales, où j'ai trouvé ceci. Les médias: un rôle d'éducation au niveau du public. Dans un monde globalisé, les citoyens chercheront au travers des médias d'abord à comprendre l'impact des politiques étrangères. Et j'entends que reviendra ensuite au citoyen d'aller chercher le comment du pourquoi. À l'heure des nouvelles technologies, c'est plus facile. Mais, c'est aux médias, en premier lieu, que revient la responsabilité de (bien) nous informer; aux citoyens ensuite d'aller chercher plus loin pour mieux comprendre. Des livres, mais on peut aussi par exemple aller assister à des débats ou des colloques, des forums ou des symposiums. Des rencontres... Et c'est ce que j'ai fait hier en allant à Amsterdam. Nous avons discuter du rôle des citoyens, et comment les associer aujourd'hui aux débats qui les concernent? Est-ce dans le fond si difficile de laisser les citoyens s'exprimer? Laisser la parole aux citoyens. Évidemment que ce n'est pas si difficile, il faut tout bonnement avoir confiance en ses capacités de...citoyen, individu responsable. Des hommes et des femmes responsables. Les parents sont responsables, n'est-ce pas? Et il faut bien les informer... Les inspirer aussi. Empowering people. Mais, comme le soulignait cette intervenante, il faut commencer jeune, dès le plus jeune âge. Nous sommes au chapitre éducation... Onderwijs en néerlandais. L'apprentissage des langues aussi, très important. Être multilingue. M. Paul Schnabel - Directeur Sociaal en Cultureel Planbureau (1998-2013)- a fait des enquêtes, mais il ne faudrait pas qu'il se prenne pour l'oracle du SCP. Que dit la réalité du terrain? Ou qu'il parle au nom des citoyens. Car que disent réellement les citoyens? Ici ou là. Sur la démocratie délibérative, nous trouvons donc Jürgen Habermas. Démocratie participative, démocratie délibérative. À l'heure de la machine omniprésente, il est bien évident qu'elle nous servira pour BIEN comprendre et BIEN agir, et qu'elle servira tout simplement les citoyens à se faire entendre dé-mo-cra-ti-que-ment. Quand la machine sert la démocratie et les citoyens à aller dans le BON SENS, nous pouvons dire que le progrès a bien eu un sens. Et nous repensons à ce qu'a écrit sur le sujet Ivan Illich dans La Convivialité.

Qu'aurait dit Érasme sur la question? Car il y a l'Histoire qu'il ne faudrait pas oublier. Et quand on s'intéresse à l'Histoire, on peut s'intéresser aux cinquante dernières années, comme on peut s'intéresser au XXème siècle, il y a aussi le XIXème siècle qu'il ne faudrait pas oublier non plus, mais on peut aussi remonter encore plus loin, les Lumières, et encore plus loin, retour au XVème et XVIème siècles. Que nous dit l'Histoire? Quelle est notre véritable identité? Et là, je pense sans doute à la question que s'est posé l'historien W.J.F. Nuyens (1823-1894).

Comme vous pouvez le lire, l'âne tricote et fait des boucles... Mais au fait, que disent les femmes dans les débats? Attention, il y a femmes et femmes;)... Là aussi, tout une histoire...

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