woensdag 30 oktober 2013

Mais quel est leur problème?...

Ils veulent déconstruire, comme un postmoderne déconstruit un peu aussi. Cherche à comprendre. Mais il y a malentendu semble-t-il... Quel est leur problème? D'où leur vient cette envie, ce besoin de déconstruction? Nonfiction.fr, peut-être pourriez-vous consacrer un billet à l'industrie créative, "oeuvre de l'esprit", que l'on appelle l'industrie du jeu à l'heure des nouvelles technologies... Pourquoi vouloir mettre les garçons et les hommes derrière leurs machines, consoles, télécommandes et headphones. Des smartphones et tablettes aussi pour mieux être enchaînés, mieux être connectés plutôt... Êtres connectés, êtres enchaînés... Déconstruction du genre, le, la, non, c'est eux. Eux, qui? Pourquoi? Alors, Frédéric, et s'y vous reveniez à Amsterdam pour nous parler de la révolution digitale cette fois. Qui fait quoi dans le secteur du digital, quels acteurs, quelles nouvelles?... Quel est votre problème? Le, la, où est votre problème? Quand l'enjeu se situe au niveau du jeu et du cadre juridique qui permettrait à la société de se prémunir contre la sur-activité du secteur, un secteur beneficiant, en plus, du feu vert de ministères... Même le ministère des Affaires sociales et de la Santé, mais plus encore, et des subventions, comme vous n'en avez pas idée... Qui fait quoi? Qui est responsable de quoi? Et pourtant, dans le jeu, c'est bien une affaire d'hommes, de masculinité, car pensez-vous que les filles s'intéressent à la guéguerre virtuelle? Elles s'étonnent tout juste que les garçons, même des hommes en âge d'être papa, puissent s'adonner aussi facilement à cette activité assommante. Quelle idée, me direz-vous? Les hommes ont toujours aimé jouer à la guéguerre, c'est dans leurs gènes. Les femmes sont différentes, elles ont plus d'empathie, l'intuition aussi, elles savent mieux s'occuper de l'autre gratuitement, elles se donnent plus facilement. Toutes les femmes? Cela reste à voir. Certaines aiment ce qui brille tout simplement. Elles n'ont peut-être pas été éduquées dans la même tradition. Mais en général, les femmes sont différentes, évidemment, et heureusement que les femmes ne sont pas comme les hommes... Pas pareilles... Comment peut-on rester des heures à jouer même à un âge avancé... L'homme et la femme, heureusement, sont complémentaires. Si nous n'avions que des hommes, il manquerait certainement quelque chose... Et puis les femmes surveillent, et quand elles sont bienveillantes, c'est encore mieux. Mais quand elles se mêlent en plus de ces affaires, des affaires d'hommes, c'est un peu la panique. On leur a pourtant bien dit qu'ils sont responsables. Qui est responsable? Les parents bien sûr. Responsabilité parentale. Contrôle parental Le père et la mère sont responsables. C'est ce que le secteur leur a dit. Et ils ont raison de l'avoir souligné, les parents sont en effet responsables. Mais ils ne sont pas seuls dans cette tâche, les ministères sont là aussi pour les soutenir, les accompagner dans cette tâche difficile qu'est l'éducation. Qui transmet? Le devoir de transmission. C'est normal, les ministères ont en charge la protection de la société, son bien être, ils peuvent également contribuer à bien transmettre les choses. Sinon à quoi serviraient-ils au juste? Le droit chemin, le bien commun, l'intérêt général, la transmission sont des mots qui ont un sens, un vrai sens. Surtout si on les ajoute aux Droits fondamentaux. Droits fondamentaux, intérêt général et bien commun, transmission, voilà ce à quoi doivent travailler les ministères et les gouvernements. Ce n'est pas si compliqué quand même... Droits fondamentaux, protection de la jeunesse et protection des mineurs, qui est responsable? Les parents certainement, mais encore?...

Voir aussi:http://www.nonfiction.fr/article-6758-multiplicite_et_biologie_des_sexes.htm

Est-ce que les jeux vidéo seraient des sortes de honey pots pour garçons? Addiction. Que pensent les autorités publiques du problème? De ces "oeuvres de l'esprit", "créations culturelles", "créations artistiques", de cette industrie, ayant pour but d'attirer les plus vulnérables? Diffusion du hate speech. Quelle est la part de responsabilité des différents ministères en question? Et qu'en pense-t-on à Bruxelles ou au Conseil de l'Europe? Que faisons-nous quand certains ont choisi de ne pas légiférer, de laisser le hate speech aller son train sur le Net ou sur les réseaux via les Playstations, via l'électronique. Et la normalisation, standardisation, les normes? C'est une question qui est posé et qui demande une réponse. La société se pose des questions, les parents évidemment aussi. Quel dialogue entre les parents et les gouvernements et institutions pourrait être mis en place pour discuter de problèmes qui nous concernent tous? Il s'agit de discuter - avec toutes les parties intéressées - d'un Safer Internet, un Internet au service de tous, y compris des plus jeunes. Qui organisera cette rencontre? Quel est le rôle des parents au sein de la société? Protéger les plus faibles en tout cas.

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