zaterdag 27 september 2014

Shareholders, stakeholders, et l'intérêt général... en fluX continu...

... Que dit la société?... Comment penser une société et l'intérêt général?... On commencerait par parler de l'Europe et du qui (a) fait quoi en Europe... Des questions très simples, il suffit de l'écrire et d'inviter les parties prenantes dans une ville de Paix et de Justice internatioanle. C'est à La Haye que cela se passerait, au Peace Palace en zone internationale. Trés bien situé. Un bel endroit. Très bien géré aussi par la municipalité et par la Fondation Carnégie. Il faudra contacter un ancien ministre auX Affaires étrangères, monsieur Ben Bot. A qui appartient le Palais de la PaiX eXactement? Appartient-il à la communauté internationale? A qui eXactement? Nous sommes en zone internationale. De quoi sont faites les relations internationales? Que pense la société? Qu'en pensent les Européens? Et si les journalistes venaient y faire un tour avec la blogosphère traitant des sujets qui nous concernent. On inviterait ce blogueur, où est-il aujourd'hui? Et son ami, le blogueur qui écrit pour l'eXpress aussi, tous deuX rencontrés sur la Toile. Un âne sur la Toile fait des rencontres. Ici, on pense à une rencontre en REAL. Ce blog a déjà eu l'occasion de rencontrer ce blogueur moitié hollandais comme l'âne travaillant dans la blogosphère francophone. Il discutait de choses très compleXes. Il y a des choses que l'on peut dire simplement...

Mais on en revient au sharing et au shareholders, l'actionnariat, http://fr.wikipedia.org/wiki/Actionnaire, il se trouve qu'en lisant Le Monde, on lit que "l'Arcep épingle onze opérateurs pour "manquements" à leurs obligations de couverture - Le gendarme des télécommunications estime que Bouygues, Orange, SFR et Free n'investissent pas assez dans les zones les moins peuplées." (Le Monde du 26 septembre, un article de Sarah Belouezzane).

Ce passage est intéressant pour diverses raisons;). On y parle de ce qui nous intéresse: l'Arcep, le monde des opérateurs, de manquements, d'obligations, de couverture, de gendarme, de télécommunications, du bâtiment, d'une couleur, de liberté, de la France, d'investissements, de journalisme, de zones. De collusion. On en parle aussi ici. Tout ce petit monde agit et gagne un peu d'argent. Mais comment eXactement?

On peut aussi lire, et c'est assez instructif: "Pour ce faire, Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free [dont le PDG Xavier Neil est actionnaire du Monde à titre personnel] signent des accords de mutualisation de réseau afin de partager les coûts d'infrastructure et de couvrir équitablement leurs clients". (couvrir équitablement les clients, attention au monopole)

P.s: De quelle clientèle parlons-nous? De la jeunesse et des familles à connecter afin que tous fassent dans le vidéoludique et puissent bien ET correctement communiquer? Pourquoi ce blog écrit-il tout ça, la machine recopiant parfois toute seule, parce que des machines peuvent travailler pour l'intérêt général? Nous sommes dans le fluX et dans la matière opérationnelle. Ici, on souhaite vraiment rencontrer les opérateurs en REAL, afin de discuter de la responsabilité dans les réseauX: qui est responsable de quoi dans les réseauX et dans la diffusion de la matière compromettante? Le fameuX schadelijk media aanbod, ou le divertissement à outrance, qui distraie et fait perdre son temps, et Paul comprendra, j'espère qu'il lit de temps en temps ce que les ânes font en ligne. Tout comme les journalistes d'ailleurs, ici et là. Car nous vivons un moment intéressant de notre histoire: les médias se transforment. Ils vont devoir se remettre en question. La technologie a parfois du bon. Il faut juste très bien la comprendre. Transformation. Transition. Le monopole de certains se transformerait, travaillé par les réseauX. Les petites mains du numérique qui s'activent gratuitement essaient de le faire comprendre. Merci gOOgle. eXpérimentaion bien comprise. Les opérateurs sont au service de la société, peut-être est-il nécessaire aujourd'hui de le rappeler. Les BIG Ones ne seraient finalement qu'au service des populations. Pas qu'au service des actionnaires. Quels actionnaires eXactement? Elles travailleraient à l'effort collectif de service et au bien commun. Elles travailleraient pour l'intérêt général. Elles travailleraient tout simplement en gagnant modéremment. Elles seraient responsables, comme tout le monde. Certaines faisant dans le bénévolat. Elles partageraient aussi. Car nous entrons dans l'économie du partage et de la redistribution de la richesse. Une économie po-si-ti-ve façon Attali, que j'aimerais beaucoup rencontrer en vrai. On peut envoyer un mail ou essayer de le contacter par téléphone très intelligent. Il fera peut-être un peu de crédit pour la mise en ligne de toutes ces informations. Car ici, comme lui, on connaît le devoir de transmission.A.

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