Qu'en pensent les journalistes du Volks-krant par eXemple?
Comme aujourd'hui, on travaille à la transparence et à la bonne communication, ceuX et celles qui se sentent concerné(e)s peuvent répondre en ligne. Ilsouelles sont cloué(e)s derrière leurs écrans comme les blogueurs, et on peut ainsi plus facilement communiquer entre gens qui travaillent le médiatique. Qui informent d'une façon déontologique les lecteurs dans le monde entier le mieuX possible. Comme le Volks-krant a des origines catholiques, on ose demander en ligne auX journalistes online s'ils savent où sont passées ces valeurs et les principes qui définissent un bon journaliste. Leurs remarques sont plus que les bienvenues sur ce blog. La blogosphère eXpérimente aussi la communication cyber à l'heure de l'électronique pour tous. Jeunes et séniors. Des ânes et des machines aussi. Des choses. Même des robots. Quel(le) journaliste va tenter l'eXpérience? Joris Luyendijk peut-être qui blogue aussi: http://www.jorisluyendijk.nl. On l'écrit parce qu'on est allé l'écouter en REAL. Et les blogueurs peuvent se faire un peu de publicité. Certains faisant du bénévolat au BénéluX. Pour eXposer les choses le plus correctement possible auX internautes intéressés et curieuX de mieuX comprendre le qui fait quoi en Europe. Où se situeraient les responsabilités eXactement? Dans la bonne marche de la société.
http://www.nu.nl/weekend/4000251/joris-luyendijk-de-financiele-sector-gaat-weer-regelrecht-richting-ravijn.html
P.s: Sur la déontologie journalistique.
Pour Asha ten Broeke, journaliste scientifique, qui a écrit ce matin un teXte intéressant, un teXte qui colle parfaitement à l'une des problématiques que traite ce blog. Au chapitre protection de la jeunesse et schadelijk media aanbod. La Justice et l'idée du journaliste qui oublie ses valeurs. ET qui a oublié son devoir de transmission des valeurs, comme on le sait cela est fondamentale pour faire une bonne journaliste. Et évidemment, il y a le mot RESPECT des lecteurs. C'est la liberté d'eXpression parfaitement comprise qui vous permet de l'écrire. Et les journalistes qui pensent qu'écrire n'importe quoi, surtout en négligeant l'intégrité mentale et morale de la jeunesse, pourraient ne plus vraiment comprendre la raison pour laquelle ilsouelles sont rémunéré(e)s pour faire ce travail très sensible de communication. La communication se faisant aujourd'hui à l'échelle planétaire. Et c'est une activité très sensible. Ce n'est pas Philippe Breton qui dira le contraire. Car il s'est penché sur le problème: pourquoi et comment communique-t-on aujourd'hui avec les appareils électroniques qui encapacitent les utilisateurs? Et qui cherchent à entrer en communication avec l'eXpertise.
P.s: Et si on organisait une rencontre conviviale façon Ivan Illich à La Haye? Curieusement, encore très peu de journalistes payés pour faire leur travail correctement parlent du penseur Ivan Illich. On pense aussi à Jacques Ellul, Christopher Lasch, Erasme aussi en remontant dans le temps. On pense aussi à Bruno Latour ou Bernard Stiegler qui peuvent très bien s'assoir derrière leur machine et écrire en ligne. Ce sera lisible de tous les lecteurs de ce blog. Et cela nous fera sans aucun doute avancer dans le bon sens. On attend. On attend que les machines aident ces hommes à s'eXprimer en toute liberté. Car les penseurs français connaissent très bien la valeur des mots liberté et égalité. C'est le moment de mettre ces beauX mots en pratique. La machine va vous aider. Et il y a la fraternité bien sûr. Broederschap en hollandais pour les journalistes. Même au féminin. Le journalisme et les droits fondamentauX venant en priorité.
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