zaterdag 30 januari 2016

La dérégulation et l'autogestion ou l'autorégulation commencèrent dans les années...80... Sur l'Europe et ses valeurs d'un point de vue historique...

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En ligne: La Roumanie, l'Allemagne, la France, l'Ukraine, les USA.

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Roumanie:

La Roumanie, en roumain : România, est un État d’Europe du Sud-Est, le 7e pays le plus peuplé de l’Union européenne et le 9e par sa superficie, soit 238 391 kilomètres carrés. Située en Europe centrale et orientale, sa géographie s'articule autour des Carpates, du Danube et de la mer Noire. Elle est frontalière de la Hongrie, de l'Ukraine, de la Moldavie, de la Bulgarie et de la Serbie.

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Pendant la transition, qui se conclut par l’adhésion à l’Union européenne le 1er janvier 2007, la Roumanie a rejoint l’OTAN, tout en gardant ses relations privilégiées, héritées du régime communiste, avec les pays du Tiers monde, avec ceux de l’ancien pacte de Varsovie et avec la Chine. Pendant cette période intermédiaire, la nomenklatura ex-communiste s’est maintenue aux affaires en adoptant le nationalisme, le libéralisme et la démocratie comme idéologies de rechange. Un nombre important d’entreprises et d’entrepreneurs ont alors émergé, mais seul un petit nombre a perduré ; la plupart de ceux qui ont prospéré ont vendu leurs parts à de grands groupes internationaux.

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Comment mieuX comprendre l'Europe et ses valeurs?

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Serbie:

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Malgré cela, les Turcs persécutèrent encore les Serbes dans les territoires qu’ils gardaient sous leur contrôle. Les massacres des Ottomans sur les Serbes ont inspiré à Victor Hugo, grand défenseur du peuple serbe, un célèbre discours, Pour la Serbie, écrit en 1876 [24]. Ce discours est aujourd’hui considéré comme l’un des actes fondateurs de l’idée européenne [25]. L'année 1876 voit aussi, dès janvier, l'identité des serbes, alliés des russes, se cristalliser lors d'une insurrection bosniaque, qui débouche un conflit militaire entre la Russie et l'Empire ottoman [26], remporté par la première.

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La liberté de la presse, d'opinion et d'association permit en 1909 l'eXistence de 79 journauX, dont 13 quotidiens [28].

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Première Guerre mondiale

Depuis 1878, la Bosnie-Herzégovine était occupée par l’empire d'Autriche-Hongrie, qui l’annexa en 1908, annexion mal vécue par les populations slaves notamment les Serbes qui refusaient cette occupation et souhaitaient la réunification avec le Royaume de Serbie ou d’autres pays slaves. L’idéal de nombreux jeunes gens serbes de Bosnie était le mouvement Jeune Italie, qui s’était donné pour but la libération des territoires occupés par les Autrichiens. En 1914, le double assassinat de l’archiduc François-Ferdinand, héritier du trône d’Autriche-Hongrie, et de son épouse Sophie Chotek, duchesse de Hohenberg, à Sarajevo, le 28 juin 1914 par Gavrilo Princip, fut l’événement prétexte qui déclencha la Première Guerre mondiale. En 1915, le royaume fut envahi par les puissances centrales lors de la campagne de Serbie. Mais le pays fut finalement libéré en 1918 par l’armée serbe soutenue par les forces alliées, dont l’armée d’Orient française, menée par le maréchal Louis Franchet d'Espèrey.

Attentat de Sarajevo

Article détaillé : Attentat de Sarajevo.

Gavrilo Princip
Les organisateurs de l’attentat contre le prince François-Ferdinand étaient de jeunes nationalistes yougoslaves, des serbes de Bosnie et des Musulmans [28], qui effectuaient leurs études à Belgrade [29]. Membres de l’organisation Jeune Bosnie (Млада Босна / Mlada Bosna), ils contactèrent la Main Noire (Црна рука / Crna ruka), une société secrète soutenue discrètement par le gouvernement serbe [30] ; leur intention était d’obtenir des armes pour leur projet d’attentat. Le lieutenant-colonel Dragutin Dimitrijević « Apis », chef des services secrets serbes et de la Main Noire aurait reçu l’ordre de faire annuler l’attentat [30]. Après les guerres balkaniques de 1912 et 1913, le gouvernement de Nikola Pašić voulait la paix, hésitant à s’unir avec le Monténégro du roi Nicolas Ier, en raison de l’opposition que l’Autriche-Hongrie aurait alors manifestée. Des notes diplomatiques échangées entre la Russie et la Serbie témoignent de cette hésitation [31]

Les trois étudiants serbes, Gavrilo Princip, Trifko Grabež et Nedeljko Čabrinović, passèrent à l’action le matin de la fête de Vidovdan. Une première tentative, effectuée par Čabrinović, échoua ; la seconde, effectuée par Gavrilo Princip, eut pour résultat la mort de l’archiduc François-Ferdinand. Les diplomates autrichiens considérèrent l’attentat comme une provocation directe de la Serbie ; selon l’historien Dušan T. Bataković, l’assassinat constituait pour Vienne « le prétexte longtemps attendu d’une guerre avec la Serbie » [30]. Dans l’Autriche-Hongrie de cette époque se développait une forte propagande contre les Serbes, notamment vis-à-vis des Slaves vivant dans l’Empire[réf. nécessaire]. Le 23 juillet 1914, bien que l’implication du gouvernement serbe ne fut pas prouvée[réf. nécessaire], l’Autriche lança à la Serbie un ultimatum en 10 points. Belgrade accepta l’ultimatum [32], à l’exception du sixième point, exigeant l’envoi d’enquêteurs autrichiens dans le pays [32,30] ; sur ce point particulier, considérant que « ce serait une violation de la Constitution et de la loi sur la procédure criminelle », la Serbie proposait de s’en remettre à une juridiction pénale internationale ou à l’arbitrage des Grandes puissances [32]. Quelques jours plus tard, l’Autriche-Hongrie affirma qu’une attaque serbe avait eu lieu contre ses troupes près de la ville de Kovin[réf. nécessaire]. Le 28 juillet 1914, le ministre autrichien des Affaires étrangères, Leopold Berchtold, déclara la guerre à la Serbie [33]. Le 1er août, l’Empire allemand déclara la guerre à la Russie, qui avait déjà mobilisé ses troupes, puis, le 3 août, à la France, alliée de la Russie. La Première Guerre mondiale avait commencé. Le Royaume du Monténégro, invité à rester neutre, s’engagea aux côtés de la Serbie, le gouvernement de Cetinje déclarant : « Le destin de la Serbie est aussi notre destin. » [30]

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Cela étant mis parce que l'historiographie contemporaine et moderne est intéressante pour tous. Elle permet de mieuX comprendre, d'autant plus que la WWI se commémore en 2016. L'Europe commémore en effet le centenaire de la Grande Guerre du début du XXème siècle.

C'est au chapitre, c'était comment avant?

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