Les Européens s'engagent: ils proposent la fin des écoles sectaires en Europe qui seraient financées par des groupes divers, parfois sectaires, ou même très sectaires, parfois par des pays très riches ou des subventions tout simplement. Les sectes seraient un problème, un de plus décrit depuis longtemps dans les ouvrages spécialisés. C'est quoi une secte? Un communautarisme trop affirmé? Les magistrats se pencheraient depuis un certain temps déjà sur ce phénomène.
L'école, le collège et le lycée se transforment aussi en Europe au XXIème siècle: on harmonise disent les Européens essayant d'être honnêtes et intègres. Qu'en pensent les institutrices ici et là, certainement dans la ligne qui nous intéresse ici: la ligne Amsterdam - BruXelles, LuXembourg, Strasbourg, Paris, Genève. La question est importante, car il s'agit de savoir dans quelle direction aller en Europe avec quelle transmission harmonieuse pour tous les élèves, riches, fortunés et moins riches: "Où voulons-nous aller à Paris et à Amsterdam, et même à Genève ou Zurich ou Frankfurt?". Ces relations un peu spéciales demandent à être clarifiées par BruXelles et Strasbourg, les juges s'y attèleraient. Même à la DG-Connect d'ailleurs, à LuXembourg aussi.
Le LuXembourg où`, décidemment, se passent des choses dans bien des domaines, même médiatiques, juridiques et financiers. Un élève raconta même que les non-germanophes, et pas trop riches, étaient invités à aller voir du côté de la Belgique. Un étrange témoignage, surprenant même. Car en Europe, il vaut mieuX ne pas discriminer n'importe comment. Bref, de nombreuses questions se posent sur la boussole à suivre en Europe: comment se mettre bien d'accord tous ensemble sur les questions essentielles?
La postmodernité en a proposé: on mélange bien tous les élèves, très correctement, partout en Europe, on échange, on se connecte bien, on travaille des projets cohérents, utiles, enrichissants, quelques petites valeurs comme celle du RESPECT par eXemple, il y en a d'autres. Les institutrices qui emmènent même les petits de la maternelle dans les musées assez difficiles à comprendre pour de si jeunes conscience essaient de transmettre les bonnes valeurs, parfois, des questions surgissent pourtant.
En effet, et ce n'est qu'une répétition, dans certaines capitales européennes, même à Paris d'ailleurs, on commence très tôt l'apprentissage de la culture et des grands principes de RESPECT surtout si possible, ce qui n'est pas toujours évident, les institutrices partant parfois dans de drôles d'eXplication que les jeunes ne comprennent pas vraiment d'ailleurs. En outre, les surveillants se sont dits lassés de tous ces enfants gesticulant dans les couloirs, avec les visiteurs et étudiants qui veulent aussi pouvoir admirer les belles collections, tout comme les enfants et les institutrices, qui font vraiment beaucoup, et même énormément d'efforts pour trimbaler les classes dans ces beauX musées du centre ville encombré.
Un surveillant se demandait même pourquoi, ces institutrices n'emmenaient pas plutôt les jeunes élèves au Musée de l'Homme ou au jardin des plantes. Ou en promenade dans les campagnes en classe verte par eXemple: ou comment cultiver ses jardins, aurait dit Voltaire, auX institutrices, parfois parisiennes en prenant soin des choses et des gens et de l'environnement. Les paysans aimeraient bien que les institutrices parisiennes ou amstellodamoises ou genevoises s'intéressent un peu plus à leur travail.
P.s: La moralisation de la vie politique et financière commence dès la maternelle avec des cours d'instruction civique mieuX compris en Europe, en tout cas dans la ligne qui est intéressante et trop méconnue: que dit l'historiographie du XIXème siècle?
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