maandag 23 januari 2017

En ligne Mabel d'Orange et George Soros... depuis Londres... Les USA sont en ligne également...

De Volkskrant , la presse qui a soudainement retrouvé un peu de ses valeurs d'antan, a décidé d'inviter Mabel d'Orange - pourquoi Orange? - et George Soros - pourquoi George Soros d'Human Right Watch? - à La Haye au Palais de la PaiX, Carnegieplein 2, dans la bibliothèque juridique par eXemple, afin d'aller enfin à la rencontre des citoyens européens. Madeleine Albright pourrait faire le voyage. Elle aurait décidé de participer au Colloque: L'Europe, c'est quoi? Avec la participation de quelques Européens, même bruXellois. Ils font quoi les Belges flamands en ce moment? AuX affaires sociales à BruXelles, une madame fonctionnaire européenne flamande, madame Thyssen: les Européens peuvent-ils reprendre rendez-vous rue Joseph?

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Tijdens de regering van president Bill Clinton in de periode 1997-2001 was ze de 64e minister van Buitenlandse Zaken. Zij was de eerste vrouw in die functie; vanaf 2005 was opnieuw een vrouw Amerikaans minister van Buitenlandse Zaken. Eerst Condoleezza Rice, en tot 2013 Hillary Clinton. Albrights kandidaatschap werd unaniem goedgekeurd door de Amerikaanse Senaat. Zij was de opvolger van Warren Christopher en werd opgevolgd door Colin Powell.

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in: https://nl.wikipedia.org/wiki/Madeleine_Albright

P.s: AuX affaires sociales de la DG-Connect, Neelie Kroes et le neveu d'Irene van Lippe-Biesterfelfd accepteraient de recevoir les Européens faits d'éthique, plutôt intègres et honnêtes, à La Haye, la Stichting Carnegie semble disposée à organiser la rencontre conviviale façon le penseur Illich des années 70.

Qui fit quoi dans les années 70? A l'époque, les femmes se libéraient avec pancartes, banderoles, affiches, sifflets, tambourins, et enfants pleurnicheurs qui suivaient les mamans cherchant à s'émanciper... et qui faisaient beaucoup de bruit. Pourquoi rappeler toute cette époque? Parce que nous étions derrière nos écrans... télévisés qui rapportaient les scènes ludiques des mamans révoltées, des femmes politiques aussi, et même la maman de Serge du Monde diplomatique avec des liens en Tunisie: elle était avocate. Le petit était encore trop jeune pour comprendre que maman faisait carrière. La nounou était gentille. En plus. Le papa, dans cette histoire, on ne sait pas trop où il était, Serge Halimi peut vouloir le reconter dans une prochaine édition du Monde diplomatique en attendant d'être invité à témoigner sur son enfance bucolique. C'est Daniel, notre révolutionnaire franco-allemand de l'époque, nous étions encore trop jeunes pour participer et pour comprendre, qui menait les femmes qui souhaitaient se libérer. En faisant carrière plus tard. Et se nouer au monde des affaires.

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