maandag 1 september 2014

Aujourd'hui, on ne boude pas son plaisir de se retrouver à tapoter du clavier...

D'autant plus que livres et journauX se sont entassés comme jamais. Des piles et des piles. Mais puisque nous sommes au rayon "L'art, c'est quoi?", on peut également écrire "Une femme, c'est quoi?". Comme on s'inspire toujours de quelque chose, là, pour vous mettre dans la confidence, c'est Le Monde qui me lance sur la voie, sachant que les journalistes également s'inspirent sans doute de ce qui leur passe sous le nez. Là, on y parle de l'art et des artistes. Où en sommes-nous? Hier, par hasard, un bébé annonçait le mariage de ses papas dans Le Monde. On y avait une pensée pour la maman (sans doute), pour la technique au point, et pour encore quelqu'un. Je ne le citerai pas pour ne pas trop le mettre dans l'embarras. Aussi ce petit teXte: "Lou et Ana ont dû, il y a quelques années, c'était au temps de tous les possibles absurdes, annoncer l'union de leurs papas. On a pu le lire dans Le Monde, hier ou avant-hier. À l'époque, les papas pouvaient se marier, faisaient des bébés, des femmes aidaient, des lois étaient passées. De quelle origine? On avait tout juste une pensée pour la maman. Aujourd'hui, leur maman n'est pas avec les papas. La technique faisait des mer-veilles paraît-il. Mais qui a fait passé cette loi eXactement? Et pourquoi? Comme le dit si tendrement le journal du soir, les artistes aiment à bousculer avec humour les clichés sur le masculin et le féminin. Ils brouillent les pistes, ils font dans le mélange de genres, c'est certain. Ils posent des questions qui dérangent parfois les élites. Pourquoi faire se marier des papas, faire des bébés sans femme et avoir une pensée pour l'autre? Pourquoi l'annoncer à tout le monde dans Le Monde? Et si nous demandions auX législateurs européens la raison du comment du pourquoi? Enfin, sachez qu'aujourd'hui, en Europe, les papas peuvent commander des bébés. Des femmes, ailleurs peut-être, le feront avec plaisir. On les soutiendra financièrement. Et basta. Mais c'est quoi cette pagaille? Question simple posée par un âne."

P.s: quels intérêts doivent être protégés dans une société? Sur l'intérêt général.

Et puis, on repasse en territoire hollandais: "De cyborgs komen eraan - Door de ogen van Google - Slimme sensoren zitten overal" in De ingenieur, Techniek maakt je wereld, augustus 2014. En première page, une femme-machine, un cyborg: "Het cerebellum, het motorische centrum van het brein, blijkt in staat om in een mum van tijd zelf te leren hoe nieuwe "ledematen" zijn aan te sturen. "Ik ben ervan overtuigd dat prothesenbezitters met een elektrode in hyn cerebellum weer de volledige functionaliteit van hun lichaam kunne terugkrijgen."

Quand les femmes sont associées à des machines, on demande à la Justice internationale ce qu'elle en pense. C'est à La Haye que cela se passe, ville de Justice et de PaiX, ville hypercyber. Et si nous organisions une rencontre conviviale sur le thème "Une femme, c'est quoi? À quoi servent les femmes eXactement?". On se penchera sur les mots décadence, RESPECT, bon sens, devoirs, droits des femmes et des enfants à être respecter par les pouvoirs publics. Droit de la famille à se faire respecter par les ministres.

P.s: lijken kunstenaars en wiskundigen op elkaar? Wat doet een computer? En français, l'ordinateur ordonne. Derrière le clavier, je vous laisse deviner le profil du dactylo: "Spelen moet een onderdeel worden van ons dagelijks leven"... Rechercher la rencontre conviviale pour l'eXplication de teXte.

Et on trouve ceci aussi dans le Newsweek du 18 juillet 2014: "Mind-control videogames - Imperial College London has devised a computer game without hand held controlls that you can play with the power of your mind. It illustrates how scientists can use brain waves to measure attention". C'est à la page 46. Et que disent les parents responsables? Que dira la Justice quand il s'agira de la protection des populations et du principe de précaution? Le vidéoludique est-il la solution pour tenir la jeunesse tranquille?

P.s: c'est une question de générations; quand les uns veulent profiter de leurs retraites, les autres sont invités à se connecter, pendant que d'autres encore travailleront pour payer l'électronique auX enfants. Et si tout était à revoir? Reprenons donc les mots droits et devoirs, etcetera: devoirs du politique, droits de l'homme, de la femme et de l'enfant, CSR, protection des populations et de l'environnement, protection des valeurs, devoir de transmission, devoirs du fonctionnaire, Code of Conduct, RESPECT, Duty of Care, le mot care. Au cas où on n'arrivait toujours pas à se comprendre, alors la Justice internationale pourrait donner son avis. L'oubli volontaire de certaines valeurs peut conduire des responsables à venir eXpliquer, en zone internationale, leurs visions des choses. Le véritable sens des choses. Sans oublier le fait que faire de gros bénéfices implique logiquement une petite contribution. Ce qui est normal après tout, ce n'est quand même pas au plus petit de payer. De quelle économie parlons-nous eXactement? Là aussi, on peut chercher à innover dans le bon sens. Nous vivons l'ère des possibles où "tout est vraiment ouvert"(voir l'article de Nicolas Weill dans Le Monde du 30 juillet). C'est pour ça. L'ère postmoderne où tout est à reconstruire et où le ludique aurait sa place. Les consommateurs-utilisateurs aussi d'ailleurs. La convivialité aussi. Même si les journalistes ne l'écrivent pas encore aussi clairement. Mais on peut leur donner des idées. Même auX journalistes ici et là.

Geen opmerkingen:

Een reactie posten