vrijdag 15 juni 2012

Une question de confiance et de responsabilités


Où les choses bloquent-elles ? Je m’intéresse à cette question depuis déjà un bon moment. Je me permets une petite contribution à ce débat, on ne sait jamais… les bonnes volontés sont nécessaires en ce moment. Je ne vois pas pourquoi des citoyens ne participeraient pas, à leur façon,  à ce débat qui nous concerne tous.  D’autant plus qu’ici un rapport officiel (WRR- Rapport 88 Vertrouwen in burgers) vient d’être publié concédant aux citoyens un rôle qui serait  beaucoup plus important dans la gestion  de la société : « Faire confiance aux citoyens ». On ne peut qu’être d’accord. Maintenant, il s’agit de bien mettre en pratique cette nouvelle vision des choses.  En effet, tout est une question de confiance,  les gouvernements européens sont invités à faire confiance aux citoyens européens. Le BON sens se trouve sans doute partout. Il s’agit donc de donner la parole à tous ces citoyens de bonne volonté, capables de bon sens et de RESPECT pour l'autre et pour un certain ordre, pour la vie. Je pense qu’il est essentiel de bien souligner cela, avant de donner libre cours à la créativité des uns et des autres. Nous sommes libres mais…

En parlant de nos problèmes, un publiciste, rapportant ce qui s'est dit dernièrement à la conférence du Bilderberg,  écrivait ici,  dans le quotidien NRC du 12 juin dernier, que « le pourquoi de cette impasse sera l’affaire des historiens : une chose est sûre, nous sommes coincés » . Je veux bien qu’il écrive cela, surtout que, du fait qu’il ait participé à cette réunion, il doit quand même y avoir appris quelques petites choses intéressantes. Il nous dit ainsi clairement que la conspiration que certains soupçonnent n’existerait pas ; très bien, nous voulons bien le croire.  Mais j’aimerais quand même en savoir un peu plus. Si tout est si clair, pourquoi alors le Bilderberg,  et ce afin de rétablir la confiance, ne publierait-il pas alors ouvertement un petit compte-rendu de ce que les personnes présentes en ont conclu ? Certes, notre publiciste rapporte que plus d’Europe serait un choix souhaitable et même nécessaire , ce que  nous  savons  et souhaitons tous à mon avis, enfin, presque tous… Je me demande donc où est le problème. Le publiciste ajoute  un peu plus loin que, pour la première fois de son histoire, la conférence souligne que la menace principale ne viendrait plus de l’extérieur mais de l’intérieur. Je pense qu’il y a du vrai dans cette remarque. Mais il s’agit  toutefois de bien définir cette menace.  De quelle menace s'agit-il exactement ? D’où viendrait-elle ? Et toujours cette question : qui est responsable de quoi ? Ce publiciste conclut à juste titre      qu’ « une grande responsabilité repose sur l’Europe actuelle pour que les chocs financiers de ces dernières années n’aboutissent pas  à une nouvelle crise démocratique ».  Je réfléchis un peu à cette question comme tout le monde. Qu’en pensent les Européens que nous sommes ?  C’est vrai, on en revient toujours à cette question : qui est responsable de quoi ?  Si les choses achoppent quelque part, c’est bien sur cette question. La question des responsabilités. Confiance et responsabilités sont deux mots qui vont ensemble.


Ps : Encore une fois, j’écris ici, d’ici,  avec les moyens de communication moderne. Toutes personnes, celles que je nomme et qui voudraient me rectifier,  peuvent parfaitement le faire en toute liberté  avec les mêmes moyens. Cela s’appelle la démocratie participative.






Geen opmerkingen:

Een reactie posten