woensdag 10 juli 2013

Écrire et partager, sinon on n'écrit pas, ne photographie pas, ne crée pas, et on retourne dans son champ ou s'occuper de ses enfants...

Lorsqu'on écrit, on partage, si on ne veut pas partager à l'heure des nouvelles technologies, alors on n'écrit plus et on part à la retraite ou planter des choux. À quoi sert la machine? À quoi sert la gratuité? Est-ce que la machine peut servir le travail gratuit? Est-ce que la machine peut BIEN servir la liberté d'expression et la liberté d'utiliser les matériaux qui sont mis en ligne. L'autre jour, j'ai téléphoné au Conseil de l'Europe à Paris pour un renseignement, et la dame américaine et encore une autre nationalité qui m'a répondu me dit que bien sûr, il n'y avait pas de problème. Cela s'appelle faire de la publicité. Peut-on faire de la publicité gratuitement? Bien sûr, ou alors on n'écrit pas. Aujourd'hui, j'ai eu un des services du Monde, je me mets à parler du mot censure, et la juriste de service s'est tout à coup énervée et a raccroché. Au Monde, le mot censure dérange... Il est bien évident que contacter un journal et leur parler de censure les énerve, un journaliste, par principe, se devrait être contre la censure... Que veut dire être journaliste et transmettre de l'information dans une société qui a tout misé sur la démocratie et le numérique pour partager, aller encore plus vite, être compétitif et suivre plus efficacement le monde? Le journalisme... Comment comprendre la création de richesses à l'heure de l'Internet? D'abord, on invite tous les citoyens, les jeunes encore plus, à se connecter, à prendre goût à cette nouvelle forme de communication, et ensuite, après avoir mis des sortes de "honeypots" (et les abeilles que disent-elles?), comme on appelle cela à Bruxelles délocalisé en Crête, on invente la surveillance et la censure, après avoir semer la zizanie dans les familles. Cela étant pour la game industrie, subventionnée par des collectivités locales, les gouvernements et Bruxelles. Mes amis, ce monde est décidemment bien paradoxal... Qui en tient les ficelles? La société civile s'interroge et cherche où les acteurs-responsables de l'Internet peuvent bien se trouver... Ici, là ou à Bruxelles? Et on se demande s'ils seraient intéressés par une rencontre de TOUS les acteurs du Net, en passant par les gouvernements, les penseurs, les concepteurs, les vendeurs, les décideurs, la gouvernance, les blogueurs, les citoyens concernés, les journalistes, et autres intéressés et même financiers... Cet âne travaille à la rencontre conviviale.

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