maandag 30 november 2015

Au chapitre addictions, protection de la jeunesse, dérives sectaires en tous genres...

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L'épineuse question des jeuX vidéo et des sites dont les contenus sont porteurs de violence, de seXisme, de discrimination, de vulgarité, etc.

Au cours des derniers jours, certains magasins ont aussi décidé de retirer des jeuX vidéos de guerre de leurs rayonnages. Par prudence. Car à chaque fois, l'apparente insensibilité des auteurs réveille les attaques contre les jeuX vidéos. Ils banaliseraient la délinquence en proposant des scénarios illicites, assurent les détracteurs. Maintes fois questionné, l’Institut Fédératif des Addictions Comportementales (IFAC) a mis en ligne un dossier explicatif sur l’addiction aux jeuX vidéo. Et si l'on s’interroge sur l’influence et l’éventuelle corrélation entre ces jeuX et la violence des enfants et de certains jeunes, plusieurs réponses sont possibles. « DeuX points de vue s’eXpriment : pour certains, l’écran a une valeur cathartique, c’est-à-dire qu’il permet à la personne de libérer son agressivité dans le jeu et non dans le réel. Pour d’autres, la violence à l’écran induirait des passages à l’acte dans la réalité. Dans tous les cas, les jeuX vidéo ne peuvent eXpliquer à eux seuls les comportements violents. Le passage à l’acte violent, à la délinquance s’eXplique avant tout par l’histoire de la personne et son environnement à la fois familial, éducatif et social ET commercial. » assure l'IFAC.

Un diagnostic qui laisse une marge de décision importante auX parents, à l'enseignement, au commerce, auX scientifiques, auX autorités publiques chargées des autorisations de mise sur le Marché des produits dangereuX pour les jeunes et les familles. Pour les pédopsychiatres consultés, et les eXperts, il faut s'inquiéter quand le jeu vire à l’addiction, car le danger est réel. « Dans les jeuX vidéo comme dans les produits litigieuX mis sur le Marché d'une façon irresponsable par les autorités chargées de contrôler le commerce, il y a un côté quantitatif qu’il ne faut pas négliger, c'est comme les stupéfiants, et drogues en tous genres, des médicaments aussi, souligne Daniel Marcelli. Il est impératif de poser des limites temporelles à ces jeuX et à ces produits alimentant les trafics et la délinquance. »

in: http://madame.lefigaro.fr/societe/faut-il-interdire-les-repliques-de-fusils-dassaut-et-les-jeuX-video-violents-a-nos-enfants

Comment les pays du Golfe persique voient-ils le problème des dérives sectaires? Et les autorités chargées de surveiller le commerce en produits litigieuX.

Qu'en pense la Justice internationale basée à La Haye? Y-aurait-il un problème au chapitre protection, Constitutions, et crime contre l'humanité impliquant des gouvernements?

L'idée serait simple: d'abord on vend n'importe quoi, ensuite on pathologise ou criminalise les jeunes et les familles, ensuite, on demande auX pédopsychiatres ce qu'ils en pensent. Et ils se font payer pour. Qui est responsable?

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