La machine propose toute seule, ce blog la reprend:
Philippe-Frédéric de Dietrich.
Il a encouragé Rouget de l'Isle à écrire. Grand partisan des idées nouvelles de l'époque, il a organisé des cercles de réfleXion en Alsace du Nord.
Il est issu d'une vieille famille protestante de banquiers et de maîtres des forges De Dietrich à Niederbronn, dans le Bas-Rhin. Ami des encyclopédistes, franc-maçon, membre des illuminés de Bavière sous le nom de Ömarius", il adhère à des idées de développement des sciences et des techniques, d'égalité des hommes (et des femmes?) sans différences de religion ou d'origines, d'entente intrenationale et de paiX entre les peuples.
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Description des gîtes de minerai et des bouches à feu du royaume, en trois volumes: les Pyrénées (1786), la Haute et la Basse Alsace (1788) et la Lorraine méridionale (rédigé en 1788 mais publié en 1799).
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Bibliographie:
Christelle Gautron, Philippe-Frédéric de Dietrich, Vent d'est, Strasbourg, 2012, 59 p. (ISBN 979-10-90826-09-0)
Hélène Georger-Vogt et Jean-Pierre Kintz, « Philippe Frédéric de Dietrich », in Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, vol. 8, p. 653
Roger Jaquel, « Problèmes historiographiques à propos de deux savants alsaciens engagés dans la Révolution française : le mathématicien Louis F. A. Arbogast (1759-1803), le minéralogiste Philippe-Frédéric de Dietrich (1748-1793) », dans Actes du 113e et du 114e Congrès national des sociétés savantes, Strasbourg, 5-9 avril 1988 et Paris, 3-9 avril 1989, Section d'histoire moderne et contemporaine, CTHS, Paris, 1991, p. 181-200
Gabriel G. Ramon, Frédéric de Dietrich, premier maire de Strasbourg sous la Révolution française, Berger-Levrault, Nancy, 1919
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