D'abord, je pense qu'il faut revenir à plus de simplicité et se
débarrasser du superflu, une forme de décroissance en fait, faire aussi
attention à ces mots: "l'ambition d'être utile" (dans Le Monde du 23
mai 2012), je n'aurais pas formulé les choses comme cela, j'aurais plutôt dit:
"elle m'a transmis les notions de bien commun et de bien faire"...
Enfin, remettre les choses et tout le monde à sa place. Un certain ordre, je
l'ai déjà dit. En fait, il faut, et pour cela je m'inspire de ce qu' a écrit
Ivan Illich, que certaines élites en place laissent la place à des "élites
impossibles à récupérer" ( La convivialité, p.150). Autre chose, autres
personnalités, autres penseurs, autre direction, un changement de paradigme
mais dans le BON sens. A mon avis, ce BON sens se trouve dans la transmission
et la charité. Où les trouver? Vous le savez très bien! Et je ne vais pas
revenir à ce qui est écrit dans d'autres livres. Il y est dit à peu près la
même chose, je dis à peu près;)... mais ces choses ne sont pas vraiment dites
clairement dans les mass médias... En
fait, il faut des gens BIEN éclairés... Il y a les illuminés et il y a les
éclairés, les vrais sages, des exemples à suivre ... C’est vrai que je
"prêche" un peu... Vous me parliez de prédication et d'argumentation,
à vous de choisir...
P.S: quand on parle de religion, il ne faut pas
tout mélanger, et surtout ne pas faire dans la confusion;)... Rester dans une
certaine simplicité sans perdre le fil de l'Histoire, sans oublier le RESPECT,
respect de la vie d'abord. Je le répète très souvent car c'est essentiel. Et
vous savez d’où j’écris…
Le 25 mai 2012
Tout à fait d'accord avec vous, Jad. Nous
sommes libres mais... Nous ne sommes pas libres de faire tout ce que l'on veut,
comme les Etats ou autres au sommet ne sont pas libres de faire tout ce qu'ils
veulent...
La religion, BIEN comprise, doit d'abord, à mon
sens, inspirer à BIEN faire, penser au BIEN commun, promouvoir le principe de
subsidiarité. Il y a aussi la beauté des choses tout simplement, et surtout,
j'y reviens encore et toujours, le RESPECT de la vie, ce que Cortes a du mal à
comprendre... Je persiste à vouloir rester dans la simplicité des choses et des
discours; Cortes, dont je ne connais pas le "background", aime répondre
en envoyant de longs commentaires agrémentés d'une rhétorique que je trouve
alambiquée et qui pour moi fait dans l'amalgame, comme s'il cherchait, en bon
rhéteur, à impressionner. Je peux me tromper. Un peu comme le combattant d'une
cause perdue qui sortirait une à une ses cartouches d'un tiroir bien fourni en
concepts et terminologies divers et variés mais sans véritable cohérence et
surtout manquant de sincérité...
Mais soyons clair, lorsque je parle de
religion, je pense à ce qui relie, je pense à son universalité et à son
humanité avant tout, à une libération du joug des dictatures et celles-ci
peuvent être certes aussi diverses que variées, et prendre plusieurs formes...
Le mot dictature est intéressant. On
peut parler par exemple de diktats du marché ou de vernis démocratique... On
peut même parler de la dictature du relativisme... De la dictature de la
confusion, d'un certain vocabulaire aussi...
Il y a même eu l’ « interdit d’interdire »…
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