zaterdag 26 mei 2012

Quand on blogue...


Je ne sais pas combien de temps nous allons encore dialoguer, je constate seulement que même si j'enfonce des portes ouvertes, vous me suivez toujours, vous êtes encore là... J'en conclus que, ou bien ce que j'écris vous dérange à tel point que vous vous sentez en devoir de me contredire commentaire après commentaire... , ou bien cela vous intéresse.... Pourtant ce que j'écris n'est pas extraordinaire, peut-être un peu dérangeant, car je fais en passant une critique de "la culture de masse" et d'une certaine élite qui utilise cette masse justement, d'où j'écris la perspective est particulièrement intéressante comme je l'ai déjà dit...   

Ce qui est bien dans ce dialogue, c'est que nous abordons des sujets très sérieux, pour ne pas dire profonds, mais d'une façon légère, pour ne pas dire ludique. Encore une fois, nous sommes dans la postmodernité. La postmodernité dit quoi? En fait, qu'une fois certains discours de la modernité décryptés ou déconstruits, après avoir fait une critique subtile en remettant les choses en question, en questionnant le langage employé, bien souvent savamment utilisé pour manipuler et pour nous tromper (rôle des médias), apparaît une autre réalité... Je dois dire que cela me passionne, déconstruire certains discours et comprendre comment on peut manipuler au moyen du langage et des mots... L'émancipation des femmes avec l'épanouissement personnel ont été sans aucun doute des terrains très propices à la manipulation pour servir des intérêts... Là aussi, le sujet me passionne. Certains me comprendront... 

Enfin, tout cela pour dire, qu'une fois déconstruite, on s'aperçoit que derrière cette réalité construite ou fabriquée avec la complicité d'une élite et des massmédias - cela va sans dire - se cache en fait une autre réalité, belle en plus: celle de la foi, de l'espérance et de la charité, celle de sa volonté, de son amour, de la Vie. Voilà ce que je pense.  

Vous pourrez utiliser tous les mots que vous voulez, sans cet ancrage que nous dicte en fait notre conscience, vous finirez par être déçu, un électron libre, on peut alors parler de désillusion ou de désenchantement... Vous le savez sans doute, l'époque est au ré-enchantement, j'y travaille à ma façon au moyen du numérique entre autre... J'aime bien écrire le matin.

Geen opmerkingen:

Een reactie posten