donderdag 23 januari 2014

Des mots dans la presse... Et que font les gouvernements? Et que font les consommateurs?...

Peut-on demander à la presse de cesser d'utiliser de vilains mots, des photos choquantes, et l'inviter à RESPECTER ses lecteurs, la dignité et l'intégrité morale de ses abonnés? Serait-il possible qu'un jour les journalistes soient mis devant leurs responsabilités car soupçonnés de diffuser un discours de haine bien ficelé. Car, une fois de plus on se pose des questions. Les Postmodernes sont assez sensibles à l'usage qui est fait du langage et de la parole, des mots et du discourse. On sait très que les mots mal employés nous emmènent sur des pentes glissantes... Et je ne vous parle pas des jeux violents qu'on a laissé se diffuser, de façon irresponsable, dans la société au moyen des nouvelles technologies à l'attention des jeunes surtout. Toujours ces responsabilités: Qui est responsable dans le fond de la diffusion de contenus offusquants ou outrageants, offensants et pouvant être choquants? Quels acteurs? Les parents, c'est ce que voudrait bien nous faire croire les gouvernements en charge de la protection de la société et des bonnes moeurs. Les parents sont responsables de l'éducation et de la protection de leurs enfants. Mais sont-ils les seuls à porter des responsabilités vis à vis de la société et des plus vulnérables? Les pouvoirs publics ont un rôle certain à remplir, les médias aussi, c'est évident. Responsibility to Protect, code of conduct, accountability. Et les intermédiaires, c'est à dire les médias? Car si nous réfléchissons bien, on s'apercevra que ce sont en définitive toujours les médias qui se trouvent être au centre de la communication entre les différents acteurs sociétaux et mercantiles, et ce depuis longtemps. Les médias ont également des responsabilités, un code de conduite à suivre certainement, une éthique. Et depuis un certain temps, on se rend compte, en les observant, qu'ils utilisent de plus en plus mal les mots et les photos. Comme si leur politique éditoriales était de nous choquer. Respectent-ils assez les lecteurs? Par qui sont-ils contrôlés? Est-de de la selfregulation qui se croit tout permis? Liberté d'expression sans doute, comme ici. On ne reviendra pas sur la liberté d'expression po-si-ti-ve quand elle est bien employée. Mais il y a aussi le droit au RESPECT de la vie privée, de la dignité et de l'intégrité morale des personnes. Tout cela répété, car il est nécessaire de bien le souligner en ce moment, on ne sait jamais, peut-être que des journalistes viennent, ici, lire ce qu'on peut écrire sur le métier. La blogosphère pour surveiller le journalisme traditionnel. Et on les rassure, on essaie de le faire le plus correctement possible, mais consciencieusement; car on a remarquer que les médias ne sont pas toujours très scrupuleux. L'offense fait partie de leur panoplie. Le détournement aussi. Vous m'avez comprise, il y a le problème des pouvoirs publics pas assez concernés par la protection des mineurs, de la jeunesse et des familles et de tout un chacun, le problème des médias traditionnels qui se moquent parfois, et même souvent des lecteurs et des téléspectateurs, celui des nouvelles technologies envahissantes et peu regardantes, aux contenus soumis à aucune régulation, le problème des jeunes internautes livrés à l'industrie et exposés à des contenus malsains et violents, et il y a les parents, responsables, qui se demandent bien ce que font les pouvoirs publics de leurs droits fondamentaux dont celui de la protection de la vie des familles et des plus vulnérables. Est-ce que dans les gouvernements et la presse, et même notre-petit-présentateur-qui-fait-comme-si-de-rien-n'était-et-pendant-ce-temps-je-vous-montre-des-choses-pas-très-jojos, pourraient nous expliquer ce qu'ils pensent de tout ça... dans les médias, à la télevision ou dans la presse, même numérique? Les différents chaînes télé made in USA certainement. Google aussi. Bref, l'ensemble de l'audiovisuel s'introduisant tellement (trop) facilement dans nos foyers. Encore une fois, une possible atteinte au RESPECT de la vie privée et familiale. Est-ce que les lecteurs ou téléspectateurs ou les consommateurs ou usagers pourraient avoir leur mot à dire sur ce qu'ils jugent bon de regarder ou de lire? Participer, mettre leur nez dans les rédactions, rencontrer les responsables éditoriaux, les services marketing des BIG Ones aussi. N'est-il pas temps pour eux d'être vraiment concernés par ce qui se fait dans la télécommunication? Responsables, être vraiment concernés par la protection de la jeunesse qui n'aurait pas été assez prise en compte par les pouvoirs publics ou les médias ou le marché? Les profits d'abord, l'idéologie aussi, le reste après. Les mots nourrissent. Et nous ne voulons pas, chers gouvernants, chers journalistes, chers autres interessés par les propos tenus ici, de mots détournés, galvaudés, mal-traites, de vilains mots pouvant prêter à confusion ou à la manipulation. Est-ce que vous comprenez ce langage, ce discours?

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