zondag 20 november 2016

Comment raconter de belles histoires auX jeunes?...

Autrefois, les écrivains lisaient de beauX livres très jeunes. Aujourd'hui, les élèves lisent moins parait-il. En plus, on veut les dissuader parfois d'approfondir sérieusement la Culture et les Humanités européennes façon Erasme. On voudrait même supprimer l'apprentissage d'une deuXième langue étrangère dans les écoles. Antoine Compagnon, quant à lui, eXplique ce qu'il y a de bien dans la lecture sociale de bons livres pour tous les publics. Afin de les enrichir. Les enseignants et eXperts en éducation sont-ils près à se replonger dans les Humanités européennes bien comprises de tous? Avec des projets numériques bien ET très correctement pensés dans les etablissements scolaires qui se mettraient un peu d'accord entre euX. Même à l'échelle européenne d'ailleurs, avec la participation des Directions bruXelloises concernées par ce genre de problématique à l'Education et à la Culture.

Ici, on a un jour écouter Antoine Compagnon à Amsterdam, avec notre professeur belge, on a ensuite acheter, l'autre jour, son livre traduit en néerlandais, Klein digitaal verdriet, Atheneum - Polak & Van Gennep - Amsterdam 2016. En français: Petits spleens numériques.

http://madame.lefigaro.fr/societe/blogueuse-metier-or-020914-901155... Au chapitre se raconter des histoires, une storytelling postmoderne... à l'heure des NTIC qui se comprendraient parfaitement: pas toujours les mêmes s.v.p.. Aujourd'hui, on partage le monopole médiatique. C'est vrai quoi, pas toujours les mêmes au XXIème siècle ré-enchanteur. Les minorités s'eXprimant aussi. C'est quoi la minorité au BénéluX? Une question difficile qui nous permettra de nous replonger dans l'historiographie flamande... et européenne. Où en sommes-nous dans les questions universelles essentielles? comment raconter les plus belles histoires universelles essentielles auX jeunes générations? Sans s'adonner à la diffusion de la violence, du discours de haine, du seXisme et à la pornographie dans les chambres à coucher des mineurs. Les sites et les grands groupes médiatiques se sentant concernés peuvent commenter en ligne chez GOOGLE social. GOOGLE social peut vouloir traiter parfois de l'incitation à la débauche, de la tentative de corruption des mineurs, des atteintes diverses dans la sphère privée des familles et des consciences les plus sur-eXposées. Finalement, vouloir traiter de questions juridiques avec les juristes les plus intègres de la planète. Une drôle d'histoire concernant le monde du droit international... sur les questions essentielles, faites de principes importants et de priorités prioritaires ne servant pas forcément la philosophie du MARKETING du XXème siècle au XXIème siècle.

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