woensdag 18 september 2024

L'Intelligence Artificielle: Le devoir social et moral... Une dissertation à présenter au Palais de la Paix à La Haye...

 Lisse en parle aussi, le renseignement s'interroge: qui invite qui au Palais de la Paix à La Haye? À Vogelenzang, des maires se sont réunis, tout Haarlem en parle, toute la Hollande septentrionale aussi: mais où se trouve donc le Palais de la Paix à La Haye? L'arbitrage international est capable, aujourd'hui, de lancer des invitations pour ceux que cela intéresse. Le renseignement européen: sommes-nous invités? La presse en parlait, au pays des tulipes, on peut en parler, il suffit de réunir des personnalités à Vogelenzang. Des mairies: sommes-nous concernés?

Une fois de plus, des questions se posent, la presse financière en parlait, tout Lisse en parlerait également. Du côté de la place Churchill, chez Europol, des inspecteurs. Chez Eurojust, des inspecteurs également. C'est la Commission européenne qui fait tout ce travail? En Europe, l'on se dit que cela est de l'ordre du possible. Quel rôle pour les inspecteurs première classe, même à la retraite. À la retraite, rappelés, des inspecteurs connectés se sentiraient concernés. Pourquoi?

En Europe, on en parle, l'inspection mérite un peu d'attention, ce sont des mairies qui l'annonceraient. Quel rôle pour les mairies? On peut se poser des questions, et tout cela est bien normal. Se poser des questions, dit la presse européenne, est important, il suffit de se poser les bonnes questions. Les inspecteurs: faut-il parler de devoir social et moral ou de Corporate Social Responsibility? L'Éducation, ses professeurs, des sociologues, des savants et érudits, les Affaires sociales, tous en parlaient déjà dans les années 90. Mais de quoi parlait-on dans les années 90? C'est un professeur d'histoire qui nous fait la leçon? Dans les universités, les Humanités se connecteraient, les recteurs aussi.

Pourquoi parler d'intelligences et d'intelligence artificielle dans les ministères concernés? On est en droit de s'interroger, les écrivains écrivent depuis New York aussi. New York n'est pas Amsterdam, selon la Silicon Valley et ses nombreux expatriés. Microsoft: nous sommes basés à Redmond. Un fiscaliste: Redmond est en Amérique. Dans les finances, un employé en parlerait: et les taxes? Des inspecteurs: nous pourrions en parler au World Forum du côté de la place Churchill. La Commission européenne: bonne idée. 

Au château de Haarzuilens, des banquiers préfèrent l'anonymat tout en se retrouvant pour y aborder les plus grandes questions de notre temps: mais où va donc l'argent? Le concierge du château: mais comment est-il gagné au juste, cet argent? Au renseignement, les Affaires intérieures se sont connectées: nous sommes prêts à tous nous retrouver à La Haye, les débats doivent être bien mener par les très nombreux chefs de service qui sont désormais, parfois, à la retraite. On peut les rappeler. Pourquoi faut-il, en Europe, savoir mener les bons débats, même au Palais de la Paix, un palais qui mérite un peu d'attention? ET ce n'est pas l'ONU qui le dit. Pourtant, on peut s'intéresser à l'ONU. Pourquoi?

La presse internationale, les journalistes, convaincus qu'il faut savoir mener les bonnes enquêtes là où il faut, parlent désormais du rôle des médias et des archives. De nombreux professeurs en sciences médiatiques seront intéressés de se joindre à ces discussions. Des diplomates lancèrent ce genre de débat, même depuis le Parlement européen, où les relations internationales font parler les eurodéputés aussi. Tout cela est bien normal, disent les médias. ET l'Europe dans tout ça? Qui pour aborder au Palais de la Paix la question de la bonne stratégie européenne dans tous les domaines? Des Conseils constitutionnels, toujours au téléphone, en parleraient aussi: nous faut-il une bonne Constitution européenne?

Dans les lycées et les universités, dans les bureaux et maisons de retraite, on en parlerait aussi. Le sujet de la rédaction est: La Constitution européenne et le devoir social et moral, vos meilleures idées sont les bienvenues. Dans les ministères et conseils, dans les conseils municipaux, même à Haarlem ou Lisse, on en parlerait. Au pays des tulipes, les moulins attirent l'attention des écrivains. On en profitera pour y aborder la question de l'énergie. Energy? Londres aux écoutes, Aberdeen parlant toujours à ses plateformes, des historiens écrivent sur le monde énergétique. Des historiographes aussi. On peut revenir au XIXème siècle. Au XIXème siècle? demandent les professeurs des plus grandes universités, certainement dans les Humanités. Dans les palais, on se pose parfois des questions aussi. Pourquoi?

Comment réussir à faire des économies d'énergie? Vous roulez encore beaucoup trop, vous faites trop de kilomètres et empêchez parfois ainsi les cyclistes de pédaler tranquillement? Les mairies prendront des notes et parleraient désormais de maîtriser la circulation automobile. Des maires, bien renseignés, parleraient aussi de bus qui s'achètent sur internet, de transports publics, de mobilité responsable, de la question du logement, de bon service à la personne, de la bonne écoute, d'une bonne communication à mettre en place avec les administrés et d'emploi. Des secteurs recrutent en ce moment, la population vieillit, il faut se remettre à travailler parfois, des retraités surpris, et moins faire appel aux allocations familiales. 

Il faut savoir gérer le budget en Europe, les ordinateurs peuvent aider, des intelligences aussi. C'est le Conseil constitutionnel qui le soulignerait également, tous les conseils se connectant, l'Office Européen des Brevets parlant de brevet. Le Conseil de l'Europe approuvant cela aussi. Des professeurs et écrivains: parlons du devoir social et moral. Le monde de la Culture réuni dans un palais des Congrès: bonne idée. Le renseignement prenant des notes. Aux Affaires intérieures européennes, des notes seraient prises: qui invite qui au Palais de la Paix à La Haye? 

Les politiciens et politologues faisant dans la politologie: sommes-nous invités, nous aussi? La presse en parle, le monde entier en parlerait aussi. Même à Singapour. Quelques parlementaires et assistants parlementaires: réunissons-nous au Palais de la Paix et nous verrons bien où les discussions nous mèneront. Quelles questions poser devant l'arbitrage international? L'Intelligence Artificielle: parlez-nous du devoir social et moral. Les autorités: bonne idée, nous pourrons même tenter d'aborder la question des responsabilités: qui est responsable de quoi? Corporate Social Responsibility? Quels principes? Et le monde de la Justice, intéressé lui aussi, parlerait également de rencontres conviviales au Peace Palace. Pourquoi? 

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