zaterdag 1 februari 2014

De l'X on passe au Procope...

Petite publicité gratuite... De l'X, on passe au Procope et on passe à l'ami virtuel que j'aimerais rencontrer en Real, nous discuterions des lumières, des lumières diverses et variées... D'ailleurs, à quoi pense-t-on quand on utilise le mot lumière(s)? C'est la question du jour posée, s'il venait à lire l'âne dont le lien lui a été transmis, et même une demande de R.-V... La réponse a dû s'égarer dans les méandres du WWW... En suspens quelque part... Rencontre conviviale avec la blogosphère et ses acteurs. Les journalistes seraient de la partie bien entendu, ils rapporteraient l'évènement: Les blogueurs influents se présentent... Bien qu'ils préfèrent l'anonymat dans l'air du temps... Mais, en p. 38 du Figaro du 27 janvier 2014, on apprend que "L'anonymat gagne à être connu"... Être reconnu par qui et par quoi? Par les experts médiatiques, les conseillers, les "grands" penseurs, qui aujourd'hui travaillent dans les cafés, et quand on les aborde, vous disent qu'ils préparent un speech pour le Sénat d'en face, et que, eux, ils travaillent au moins, ils ont d'autres choses à faire que de venir papoter, comme de petites bonnes femmes, à l'heure du thé. Ils sont amusants ces hommes, ils travaillent, eux, avec les yeux rivés à l'écran. Dans un café, avec les petites bonnes femmes... Ils sont spécialistes, experts en nouvelles technologies, ils font dans l'ars. Et pour certains, ce serait même une industrie. On parle même aujourd'hui d'industries culturelles. Industries culturelles, j'ai rencontré... Un débat serait sans doute nécessaire pour bien comprendre ce qui se cache derrière les industries dites culturelles... Car, il y a aussi le mot vidéoludique, et puis, on va dans le serious games, les villes très intelligentes avec des caméras partout, des bracelets qui permettent de vous rappeler que tout n'est pas permis, vous envoient des signals dès que vous avez dépassé les limites. Même votre humeur sera bientôt contrôlée. C'est ce que le journal du 20h en Hollande nous annonçait hier soir... Et c'est vrai. Les voyous auront leur bracelet, l'État contrôlera. L'État, c'est qui au plus juste? Il aura mis ses serviteurs derrière les écrans et on vous suivra... Il ne faudra pas faire n'importe quoi, juste faire ce qu'on vous demande de faire: vous taire et travailler, gagner de l'argent pour acheter, même si vous n'êtes plus responsables - enfin, si, vous êtes responsables pour payer, pour le reste, vous n'êtes plus les véritables responsables de l'éducation, l'État va s'en charger (qui est l'État?) -, pour acheter l'attirail électronique à vos enfants afin qu'ils soient correctement branchés aux réseaux... (quelle régulation?). Là, on se chargera de les guider, c'est très simple dans le fond. Ils portent déjà des casques décoratifs, des fils partout, écrans ici et là; Facebook et Google et Microsof et Apple s'empresseront du empowering... La technique vous augmente aujourd'hui, l'âne en profite à sa manière, et remercie au passsage, s'il est lu, Google et sa plate-forme, Microsoft, etc. Pas de superflu remarquez. Il se limite, simplicité volontaire; la machine le rend intelligent, mais il ne se laissera pas manipuler par le marketing omniprésent. Un âne ne fait pas n'importe quoi. Il sert, il est anonyme, certains finissent par le connaître car, dans le cadre de sa recherche, ils contacte beaucoup et il rencontre même. Pourtant, c'est bien grâce aux ânes que les hommes ont pu réaliser leurs projets, porteurs, ils les ont aidés à construire, à bâtir, à avancer, ils transmettent aussi. Et des choses ont ainsi été faites. On est dans la création de richesses, chères à l'ami virtuel. Et c'est po-si-tif, c'est un pacte avec la vie, un pacte de responsabilité bien compris;)... Est-ce que les hommes penseraient à les remercier? Les hommes oublient vite, ils ne pensent pas toujours raisonnablement, quand ils manquent de bon conseil, nos hommes s'embarquent dans des entreprises à haut-risque. Regardez la finance par exemple, ni vu ni connu, dans la finance, c'est l'anonymat aussi, ils avancent, petits plans par petits plans, vite parfois car les logiciels et les algorithmes font beaucoup pour eux aujourd'hui, les servants dans ce secteur marchent à l'adrénaline pour remplir les caisses. Des caisses qui ne sont pas toujours au bon endroit. Certaines font dans l'exotisme. Mais pas que. La fiscalité complaisante se trouve un peu partout, même ici. La société n'a qu'à suivre et surtout payer... C'est une histoire d'X, de génération X... La génération perdue des anonymes, leurs rejetons serviront les intérêts divers et variés. Que dit-on? On dit non, la fête est terminée, une question de responsabilités partagées. Code of conduct, Accountability, Corporate Social Responsibily, Responsibility to Protect.
A.

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