GOOGLE reprend:
"Il y SoiXante-cinq ans, Donald W. Winnicott présentait à la société britannique de psychanalyse son célèbre eXposé sur les "objets et phénomènes transitionnels" qui allait bouleverser l'accompagnement psychologique du tout-petit enfant... et l'économie du jouet.
Aujourd'hui, les familles achètent le précieuX "doudou" que L'enfant est censé "trouver-créer" dans son environnement immédiat pour, entre autres, apprivoiser les peurs ou les angoisses de L'Enfant. Ces nouveauX objets transitionnels, surinvestis par les adultes (parents, familles, professionnels), jouent-ils toujours leur rôle initial? Que disent-ils du conteXte actuel dans lequel grandissent les enfants et les mineurs, alors que beaucoup de familles ont été trop eXposées à l'influence parfois néfaste des mass-medias depuis Mai 68 sans doute.
Les objets numériques (téléphones portables, jeuX vidéos, écrans de télévision, robots, jouets électroniques tels que Bart SMIT les comprit) qui nous relient les uns auX autres et compensent les faiblesses de la société actuelle... depuis des décennies, sans vouloir dramatiser non plus, mais énormément de familles ont subi les effets d'une politique du laisser-faire moral, sont-ils les doudous d'aujourd'hui? Même pour les personnes âgées seules... derrière leurs écrans.
Psychiatres, psychologies, psychanalystes, sociologies, philosophes et puéricultrices, enseignants, politiques, responsables, fabricants, producteurs, vendeurs de choses, juristes, familles revisitent le concept de Winnicott à l'ère de la marchandisation et des nouvelles techonologies.
[...]
La petite eXpérience qui pourra être proposée est la suivante: demandez auX enfants, auX mineurs et auX jeunes, auX hommes aussi, comme dans Droits de l'HOMME, ce qu'ils pensent vraiment de ces fameuX doudous électroniques? Vos réfléXions pourront être envoyés à Bart SMIT par eXemple qui est parti en Grande-Bretagne, le climat européen devenant plus difficile pour ses affaires. A partir du mois d'avril, l'enseigne Bart SMIT qui vendait du jouet pour enfants depuis la fin des années 60 se sera transformé en Intertoys. Une forme de monopole dans la distribution du jouet que l'on ne s'eXplique pas très bien. Comment sont les jouets scandinaves? Sont-ils encore plus eXplicitent? C'est quoi un jouet?
Se posant ce genre de questions, les parents finiront par recycler tous les jouets d'autrefois. C'était parfois plus simple... avant. Les mamies fabriquaient elles mêmes les doudous et les poupées, les papets fabriquaient euX mêmes les jolis jouets en bois. Aujourd'hui, pour fabriquer du jouet, il faut aller parfois à la recherche de métauX précieuX en saccageant la nature. Est-ce un progress? Là est la question du doudou électronique. On en profitera pour noter que les jeuX violents, classés pour adultes, ne devraient plus être vendus au milieu des poupées, poussettes, dinettes, matchboX colorées pour les garçons, cahiers de dessin, crayons de toutes les couleurs, jeuX de société pour les familles déconnectées, il doit y en avoir parfois, puzzles, jeuX de contruction, hochets et peluches pour les bébés qui arrivent dans les couffins dans les magasins ou les structures d'accueil. C'est quoi le CARE?
Certains diront, qu'aujourd'hui, les drones vous apporteront bientôt votre couffin avec bébé commander sur Internet, couleur bleue ou couleur rose, au choiX. Ou votre poupée gonflable et robotisée, habillée à la mode yéyé ou hippie pour les plus nostalgiques. Certains disent que c'est le progrès technologique qui voudrait cela. Même dans la presse des années 60-70. Les plus jeunes se disent: c'est quoi le progrès social? où sont les parents responsables? Des ministres dans les pays les plus libérauX de la planète diront, quant à euX, que les parents doivent bien/mieuX éduquer les enfants et s'occuper des plus âgés isolés. Surtout ceuX qui avaient vingt ans en Mai 68. Dans les années 70, le CARE, c'était, pour certains, vivre en communauté. Les enfants se souviennent parfois de l'époque. C'était la liberté avant tout, pour certains. Puis, ce fut: changeons tout, il faut maintenant rendre la société plus compétitive, plus matérialiste, sélectionnons, mettons tout le monde en compétition, lançons les affaires pécunières diverses et variées, ce sera mieuX. Les communautés de hippies se transformèrent alors en machines à performer... pour gagner, enfin, encore beaucoup plus d'argent. L'émancipation des familles s'annonçait. Voir aussi pour les néerlandophones, l'article "Strategisch denken" door Annet Aris - "Hoe legitiem is beïnvloeding?" - (INSEAD, Fontainebleau et toute sa riche histoire). Le progrès, c'est quoi?
Les familles, les eXpats, les eXperts, les philosophes, les penseurs, les juristes, les migrants, les émigrés, les immigrés, les travailleurs délocalisés, les diplomates, les fonctionnaires, les académiciens, les scientifiques et techniciens, les psy- en tous genres, des travailleurs tout simplement, les retraités derrière les écrans, même dans les îles, lisent et se disent: c'est quoi l'interteXtualité sociologique? GOOGLE et les débats sociologiques: faut-il aller demander l'avis des techniciens indiens?
Autre chose, un lecteur y revient:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Opérateur_de_réseau_mobile_virtuel
Quelles responsabilités pour ce secteur?
Autre chose: le marketing, les annonceurs, les clients et les écrans? quelles questions?
Autre chose: la télévision française abordait hier soir la question de la pornographie, de la violence, du discours de haine, du sexisme sur les écrans des mineurs. Une émission intéressante suivie au BénéluX. Il n'y a pas qu'Hilversum qui eXporte ses programmes dans la mondialisation. Quelle éthique et quels principes essentiels pour les secteurs touchant des publics vulnérables?
Les penseurs originaires d'Afrique du Nord à Paris y reviennent dans la presse française: la question délicate des drones. Henry Schlumberger-Seydoux se pose la même question. L'électronique faisant partie de l'industrie de l'armement et pas forcément de celle des doudous pour les enfants:
https://www.fayard.fr/meurtres-en-toute-intelligence-9782213709482, par Jacques Attali:
Le 2 octobre 2018, le PDG d’une des plus grandes firmes de la Silicon Valley est assassiné dans sa suite de l’hôtel de Crillon à Paris. Porte close, fenêtre fermée de l’intérieur. Le mystère est total. A-t-il été tué par un de ses collaborateurs ? Par un concurrent ? Par les services secrets ? Quels noirs desseins nourrissait le fondateur de Boromir Technologies, le numéro un mondial de la prévision technologique, économique et géopolitique, en tentant un rapprochement avec une petite entreprise française produisant des drones militaires ?
La commissaire Fatima Hadj, chargée de l’enquête, se retrouve plongée dans la vie cachée des plus puissants patrons du monde, en même temps qu’elle découvre les côtés les plus sombres de la finance et de la technologie. Car cet assassinat n’est que l’annonce de l’attentat le plus meurtrier de l’histoire et d’autres désastres plus terribles encore.
La nouvelle enquête époustouflante de la commissaire Fatima Hadj explore les dangers d’une humanité devenue esclave de ses prouesses technologiques.
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Parution prévue pour le mois prochain, plus de 300 pages. La presse en parle, http://www.lemonde.fr/piXels, une autre presse, celle de l'Express, aussi. Les libraires également.
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