On le sait très bien, l'histoire commence toujours quelque part, Voltaire l'aurait dit aussi, ou Rousseau et Montesquieu, Diderot l'a sans doute dit aussi, et même avant, de nombreux écrivains ont très bien su écrire. De quoi s'agit-il ici? Des Humanités certainement, mais il s'agit aussi d'Histoire et d'historiographie qui intéressent beaucoup les intellectuels, savants, érudits, penseurs, professeurs, nombreux, sociologues même, instituts de recherche, les think-tanks, les universitaires et les universités, les collèges et les académies, les archivistes. Cela fait beaucoup de monde, en effet. L'idée de tous les réunir au Palais de la Paix n'est pas anodine. Parfois, il faut avoir un peu d'audace et savoir lancer les invitations les plus cordiales en ligne. Pourquoi? Toute la Frise Occidentale, et même Anvers se connecterait. La télévision en parla.
Manière de voir est une publication du Monde diplomatique, les lecteurs, dans les ambassades aussi, peuvent encore s'y intéresser. Dans les ambassades, vous trouverez parfois des bibliothèques qui permettent aux employés de mieux penser les relations internationales et européennes, dans une perspective historiographique et commerciale bien souvent. Pourquoi cela? Des professeurs en parlent, des diplomates aussi, des philosophes philosophent en lisant la presse intellectuelle parfois. Le commerce dans tous ses états pourraient dire les acteurs du commerce international.
Les élèves et internautes que cela peut intéresser, jeunes et moins jeunes, car les retraités doivent eux aussi pouvoir encore s'intéresser aux questions sociales et savantes que peut poser internet, ou les bibliothèques, y compris dans les maisons de jeunes retraités, parfois bien lotis, sauront prendre des notes. Des retraités, jeunes et moins jeunes, le disent aussi, les journées sont parfois longues, il faut savoir bien s'occuper. Intelligemment si possible. Certains auront la joie de pouvoir s'occuper de leurs nombreux petits- et arrières-petits-enfants, mais, comme la télévision l'a mentionné, de très nombreux retraités sont seuls, sans famille, et de plus en plus âgés. Depuis les années 60, l'individualisme a fait qu'en voulant trop s'émanciper l'individu a fini par ne plus penser qu'à son bien-être, avec des tendances hédonistes, faut-il le rappeler ici. Alors que faire? On en parle à Amsterdam aussi d'ailleurs. Même les artistes des temps anciens ont un peu vieilli.
Manière de voir en parla en abordant les questions économiques du monde contemporain: TAFTA, CETA, TISA.. Libre-échange - La déferlante. Pour le prix de 8 EUROS 50, le numéro 141 abordait cette question très libérale. Le néo-libéralisme a su s'imposer d'une façon peu commune dans nos sociétés, l'Education ayant peu ou pas du tout contribué à en freiner les excès notoires, bien au contraire. Le marketing s'invita même dans les écoles afin d'inciter les écoliers à fréquenter les magasins de jouets, sans leurs parents si possible. Sachant que les divorces ont pertubé parfois les professeurs aussi. Quelles responsabilités pour qui? Quelles questions sociales pour les pédagogues?
Les consommateurs peuvent encore se poser des questions en 2023. L'Autorité Consommateur & Markt, comme d'autres autorités d'ailleurs, et même des familles d'avocats ou des associations familiales, des magazines parfois aussi, ont bien compris le risque de voir des individus affaiblis ou bien naïfs se voir contraints d'absorber les dictats commerciaux du Marché. On en parlait sans doute au XIXème siècle également, d'une autre façon. Londres aux écoutes. Les compagnies aussi. La mairie de Hoorn (N-H) et le Musée du XXème siècle en retraceraient l'histoire. Revenir au XVIIème siècle est possible aussi.
Les associations familiales se sont bien posées des questions aussi, mais les écrans du marketing ont bien souvent su les distraire et les éloigner des questions essentielles, parfois historiographiques. Quelles questions exactement? Quels principes pour le commerce? En anglais, on parle de trade et de trading, traders et actions, de shopping aussi, et d'argent, money en anglais. Des actionnaires ambitieux, des investisseurs cherchant du rendement au prix de l'intérêt général, des fonds de pension résolus à servir quelques intérêts bien précis ont cependant compris, depuis quelques années, que les libéralités du Marché et ses objectifs financiers pouvaient connaître des limites. On en parlait déjà dans les années 70. Il y a des excès que l'instruction civique peut vouloir souligner dans les salles de classe. La presse en parle encore. Quel rôle pour les médias? demanda un diplomate à l'assemblée réunie. Il faut d'abord converser, dit un professeur bien renseigné.
Des questions se posent, pour les grands propriétaires aussi. Selon le Berlaymont, des multinationales, de grands groupes, des conseils d'administration, quelques actionnaires, retraités ou pas, de très grands propriétaires et de petits porteurs peuvent eux aussi se poser des questions sociales, ce qui n'est pas interdit au XXIème siècle. On en parlait au XIXème déjà. Il est même normal de se poser des questions sociales parfois, au XXème siècle, de nombreux ouvrages abordèrent toutes questions importantes. On peut vouloir poser la question aux meilleurs libraires. De nombreux écrivains ont très bien su exposer les défis sociaux auxquels ont été confrontés de simples consommateurs, fragilisés, faibles parfois, seuls ou isolés aussi, seuls devant leurs écrans susceptibles de ne pas leur apporter les bons programmes souhaités par le bon sens. Des familles choisir sans doute de se déconnecter de ce système économique et mercantile: moins, c'est parfois plus. L'après 68 connu des mouvements contestataires, il suffit de consulter les archives pour s'en rendre compte.
Quel rôle pour l'instruction civique dès le primaire? Des professeurs s'interrogent: pourquoi les Humanités? Un peu d'éthique peut aussi, parfois encore, permettre aux conseils municipaux de réunir les conseils d'administration et des savants dans les mairies concernées ou intéressées par ce genre de discussions sociales. Où en sommes-nous au XXIème siècle? La gouvernance locale restant intéressante pour ce qui est de la prise en charge de quelques questions sociales, économiques, financières, fiscales, parfois même relatives à l'Education ou au logement tout simplement. Les questions de mobilité préoccupant aussi les agglomérations congestionnées. Même si de plus en plus de retraités ont des difficultés certaines à se déplacer au volant de leurs véhicules.
La question des transports publics se posent souvent en mairie, d'autres questions s'y posent aussi. Des rapports intéressants vous décrivent les problématiques diverses possibles qui peuvent se présenter sur les territoires. Des familles peuvent vouloir convaincre les conseillers municipaux de s'engager à lancer des appels à bons projets sociaux, y compris concernant les questions de mobilité d'ailleurs ou toute autre réflexion d'ailleurs. Des conseillers municipaux bien connectés peuvent ainsi vouloir demander: à l'échelle européenne? Tout à fait possible, répondent les entrepreneurs et les entreprises concernées.
La question de l'immobilier se posera sans doute, comme celle de l'aménagement des territoires. Les tendances spéculatives des marchés feront réfléchir les acteurs en présence. La Commission: nous pourrions participer à ces discussions, en effet, nous sommes capables d'apporter, là où il faut, des fonds pour soutenir les meilleures initiatives. Des porteurs de bons projets peuvent vouloir participer, dit ainsi GOOGLE. Mieux servir l'intérêt général sera dorénavant un must; des questions écologiques sauront aussi se poser là où il faut. Dès les années 70, il en fut d'ailleurs question.
Retour au XIXème siècle, un peu d'histoire encore. Quels progrès furent accomplis à la Belle Epoque? Qui pour venir présenter cette question à l'UNESCO par exemple? L'ONU doit aussi pouvoir réfléchir, avec les collectivités territoriales et quelques intellectuels, sans oublier les institutions européennes. Le Comités des Régions prendrait des notes avec le Conseil Social et Economique Européen. La Cour des comptes lançant un appel.
A la fin du XIXème siècle, des compagnies émergèrent, des compagnies qui devinrent des géants de l'industrie, des géants du monde de l'Energie. Lumières. En effet, avez-vous songé au fait qu'au temps des rois, on s'éclairait encore à la bougie? Puis vint le progrès, les ingénieurs commencèrent à vouloir éclairer le monde. Ils cherchèrent, ils furent recruter, des diplomates cherchèrent, ils explorèrent le monde, ils partirent avec les diplomates, ils trouvèrent parfois de nouveaux espaces, quelques banques prêtent à soutenir les initiatives. Ils s'adonnèrent même à la photographie. C'est ce que l'on appelle le progrès. Rien d'anormal jusque là. Cependant, des historiographes ont fini par se poser des questions qui prirent une tournure géopolitique et sociale. Qui pour en parler au Palais de la Paix? Des familles?
Quels géants du monde de l'Energie réunir au Peace Palace à La Haye? Dans le Sud, le progrès allait bon train aussi, des intérêts se jouaient, les expositions universelles attiraient des millions de visiteurs déjà à l'époque, les universités formaient des étudiants à conquérir les espaces, de grandes fortunes se préparaient aux défis des temps modernes. Londres aux écoutes, mais pas que Londres. Un peu de géopolitique encore. Dans les ambassades de La Haye, celles que cela peut concerner, des notes seraient prises. Des musées ont sans doute, encore aujourd'hui, la faculté de s'adonner à cette grande réflexion aussi. Lesquels?
Des représentations européennes, dans une toute autre perspective, parleraient elles de lancer des discussions intelligentes sur les droits sociaux à harmoniser au niveau européen. La solidarité doit être la notion à inscrire dans les institutions européennes, la concurrence trop axée sur le côté pécunier des choses sera une conception à éviter pour l'instant. Des inspecteurs, partis à la retraite récemment, seront ainsi cordialement invités à revenir au Palais de la Paix présenter leurs visions des choses. Les anciens doivent encore pouvoir proposer de bonnes idées, bien mieux comprises de tous.
De nombreux auteurs en parlent dans leurs ouvrages et dans les instituts et unités de recherche, à Sophia-Antipolis aussi d'ailleurs pour diverses raisons, des familles sauront prendre des notes, un traité social et fiscal européen pourrait émerger bientôt. Et les collectivités territoriales sont ainsi cordialement invitées à participer à cette initiative européenne. Pourquoi l'Europe? Le Berlaymont: bonne question.
Quelques pas de plus dans le bon sens (Généreux, Seuil, 2005) ne peuvent pas trop contrarier les conseils municipaux, ni les conseils régionaux, ni les collectivités, ni les ministères, commissions, comités, clubs, agences et rédactions, ni les structures financières engagées sur les territoires. Quel rôle pour la Cour des comptes? Quel rôle pour les acteurs sociaux engagés sur les communes? Les services doivent-ils encore être libéralisés? Retour sur la libéralisation et ses excès. Des multinationales prenant des notes, un dictionnaire sur les bureaux.
Des discussions européennes et internationales sont possibles au Palais de la Paix aussi. Les secrétariats du Peace Palace seraient ainsi très sollicités. Des mécènes et grands actionnaires s'inviteraient même dans les discussions sociales de La Haye. Sans oublier le Sud aussi. Quel rôle pour les architectes et les agents immobiliers? Il est vrai qu'eux aussi sont cordialement invités à participer aux discussions européennes et internationales ainsi présentées. Pourquoi?
Le monde de la rénovation rénove et recrute, dit-on en mairie. Grande concertation sociale dans les mairies. Et qui pour parler de notre patrimoine? Bonne question encore. Les collectivités territoires appelleraient ainsi le Berlaymont, la Direction Générale aux bonnes idées. Savoir bien innover est devenu essentiel au XXIème siècle. Quel rôle pour l'entrepreunariat social? Des salons et quelques banques bien connues proposèrent des pistes de réflexion. Le château de Haarzuilens: nous sommes prêts à recevoir les grands banquiers. GOOGLE prêt à soutenir tous ces projets très sociaux. La Silicon Valley aux écoutes. Quelques îles aussi d'ailleurs. Pourquoi?
Manière de voir - Le monde diplomatique en parlera sans doute dans son prochain numéro, comme la rue de Lille d'ailleurs, La Revue des Deux Mondes s'intéressant aux Humanités, et cela depuis le XIXème siècle. Le château de Fontainebleau: nous pourrions réunir des écrivains aussi. Des écrivains au château de Fontainebleau? C'est une bonne idée, en effet. S'intéresser au XVIIIème siècle est possible aussi. Tout le gotha en ligne plongé dans ses lectures: qui fait quoi? qui invite qui au Palais de la Paix? La mairie de Genève: aucune idée, quoique. Ce doit être GOOGLE. Ou des ingénieurs du CERN.
Et Tongeren? www veut dire World Wide Web. Selon Europe Online. Combien d'internautes pour s'y intéresser? Même la Frise Occidentale se connecterait. Pourquoi? Le Musée de Hoorn et la mairie, Enkhuizen, Medemblik, Westwoud et Wognum également: mogen we participeren? Et les Conseils constitutionnels de se rappeler avec un téléphone: c'est l'abbaye de Egmond qui fait tout ce travail? La maison provinciale de Haarlem: why not? Quelques touristes se décideraient ainsi à venir découvrir ce coin européen aux vastes horizons. Un peu d'histoire encore.
Autre chose, vous avez fait beaucoup de photos au XIXème siècle? Qu'est donc devenu ce riche patrimoine culturel? Intrigués, des ambassadeurs s'appelleraient.
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