ODELLO Laura
Philosophie et philosophies
18h30-20h30
Mar 12 nov : Salle JA05 Germaine Tillion, Carré des Sciences, 1 rue Descartes, 75005 Paris
Mar 19 nov : Salle JA01 Maurice Allais, Carré des Sciences, 1 rue Descartes, 75005 Paris
Mar 26 nov : Salle JA05 Germaine Tillion, Carré des Sciences, 1 rue Descartes, 75005 Paris
Mar 3 déc : Salle JA01 Maurice Allais, Carré des Sciences, 1 rue Descartes, 75005 Paris
Mar 10 déc : Salle JA05 Germaine Tillion, Carré des Sciences, 1 rue Descartes, 75005 Paris
Mar 17 déc : Salle JA01 Maurice Allais, Carré des Sciences, 1 rue Descartes, 75005 Paris
Mar 7 jan : Salle PrM-1.03, Lycée Henri IV, 23 rue Clovis, 75005 Paris
Mar 14 jan : Salle JA05 Germaine Tillion, Carré des Sciences, 1 rue Descartes, 75005 Paris
Pour les séances de séminaire se déroulant au Carré des sciences, vous devez donner votre nom et présenter votre pièce d'identité ou votre passeport, à l'exclusion de tout autre document, au vacataire du Collège.
Le séminaire se propose d’interroger la notion derridienne de souveraineté ou d’ipséité souveraine, à savoir ce que Derrida définit, tout au long de l’histoire de la métaphysique occidentale, comme le pouvoir qu’a tout sujet d’être soi-même.
Bien qu’il s’agisse d’une figure relativement tardive dans la pensée de Derrida, la souveraineté ainsi caractérisée aura toujours été l’objet même de la déconstruction, en tant que déconstruction du pouvoir. On précisera les attributs qui, dans le texte métaphysique, sont essentiellement liés à la souveraineté (auto-affection, immunité, logocentrisme, autonomie…) et que Derrida, depuis ses premiers textes, a sollicités et mis à l’épreuve d’une lecture critique et déconstructive, au nom d’une « force faible » ou d’une « inconditionnalité » de l’autre.
Toutefois, on s’attardera également autour de la figure énigmatique du Walten, qui traverse de façon insistante le dernier séminaire de Derrida (La Bête et le souverain) et qui semble réinvestir autrement le concept même de souveraineté. La super- ou hyper-souveraineté du Walten, dont Derrida explore le puissant lexique présent dans le texte heideggerien, semble en effet nommer quelque chose qui ne se réduit plus à l’ordre d’une souveraineté théologico-politique dont Derrida a montré qu’elle est depuis toujours en déconstruction. On tentera dès lors d’interroger la « force » excessive de ce Walten que Derrida définit comme souveraine au-delà de la souveraineté.
http://ciph.org/activites.php?rub=agenda&date=20131119
En espérant que les philosophes en place ne compliquent pas trop... L'âne, lui, essaie de simplifier... C'est une façon de voir les choses...
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