dinsdag 25 juni 2013

Cela nous dépasse... C'est la postmodernité...

ASCHER Francois (2000), “ Ces évenements nous depassent, feignons d'en être les organisateurs" - essai sur la société contemporaine -L'Aube.


Contrairement à une analyse largement partagée qui verrait les liens sociaux se déchirer et les valeurs se dissoudre, François Ascher défend ici l'idée que l'individualisation, la rationalisation et la différenciation sociale, qui caractérisent la modernité, engendrent des liens sociaux beaucoup plus nombreux et choisis, et font émerger de nouveaux enjeux politiques. Il nous montre que le capitalisme cognitif, tel qu'il s'impose aujourd'hui, résulte de ces transformations: cette société est moderne parce que les individus comme les organisations qui la composent prétendent maîtriser leurs actions et leur vie. Mais est-ce réellement possible dans un monde toujours plus complexe et par conséquent toujours plus incertain ? " Une synthèse brillante par un des meilleurs urbanistes français. " Jean-Pierre Le Dantec, Urbanisme. " Une échelle pertinente pour comprendre les enjeux sociétaux et y apporter des réponses concrètes. " Sylvain Allemand, Sciences humaines.

Biographie de l'auteur

François Ascher est professeur à l'Institut français d'urbanisme (université Paris-VIII) et à la faculté d'architecture de l'université de Genève. Il a notamment publié, chez le même éditeur, La République contre la ville et Les Nouveaux Principes de l'urbanisme; chez Odile Jacob, Métapolis, ou l'avenir des villes et Le mangeur hypermoderne. Une figure de l'individu éclectique.

http://fr.wikipedia.org/wiki/François_Ascher

Au chapitre modernité, hypermodernité, postmodernité...

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