donderdag 27 juni 2013

Ce soir, aux nouvelles...

Ici, entre autres, aux nouvelles ce soir, ce ne sont plus les contribuables qui paieront... nous dit-on. La Banque Centrale va contrôler les banques et épargner les Petits et les Moyens Européens...

BRUSSEL (ANP) - Het is van groot belang dat in elk Europees land dezelfde regels gelden bij de redding van banken. Dat onderstreepte minister van Financiën Jeroen Dijsselbloem voorafgaand aan overleg in Brussel. De rekening van de redding van banken moet door de eigen sector worden betaald en niet meer door de belastingbetaler.

Daarom zijn de Europese landen , "gezamenlijke spelregels" aan het opstellen over wat er gebeurt als een bank in de problemen komt en dreigt om te vallen. De ministers van Financiën van de EU-landen zijn weer in Brussel bijeen om hier overeenstemming over te bereiken.

http://www.rtlnieuws.nl/economie/home/sector-moet-redding-banken-zelf-betalen

Les ministres des finances européens sont parvenus à un compromis dans la nuit de mercredi à jeudi 27 juin, acceptant des règles pour renflouer ou liquider les banques en épargnant les contribuables. Après plus de six heures de discussions, un accord a finalement été trouvé sur le degré de flexibilité laissé à chaque Etat, qui constituait un point de blocage.

"C'est un succès, un succès arraché de haute lutte", a réagi à la sortie de la réunion le ministre des finances français, Pierre Moscovici, jugeant que cet accord était "très important pour la stabilité financière de l'Union européenne". "L'accord de cette nuit est un jalon majeur dans nos efforts pour briser le cercle vicieux entre les banques et les dettes des Etats", s'est félicité au cours d'une conférence de presse le ministre irlandais Michael Noonan, qui présidait la réunion. "Si une banque a des problèmes, nous aurons désormais un ensemble unique de règles dans toute l'Europe pour décider qui paie la facture", a souligné de son côté le ministre néerlandais, Jeroen Dijsselbloem, par ailleurs président de l'Eurogroupe qui réunit les ministres des finances de la zone euro.

Pour éviter de faire payer les contribuables quand une banque doit être restructurée ou liquidée, les Européens s'étaient déjà mis d'accord pour faire payer, dans l'ordre, les actionnaires, puis les créanciers les moins bien assurés, puis, le cas échéant, les détenteurs d'obligations dits "seniors" et en dernier recours les déposants, au-delà de la somme de 100 000 euros. Mais deux groupes de pays s'opposaient. Dans le premier se trouvaient la France et le Royaume-Uni, qui voulaient pouvoir bénéficier d'une certaine flexibilité au cas par cas. Paris souhaitait par exemple pouvoir protéger, dans certaines circonstances, les déposants individuels et les PME. D'autres pays comme l'Allemagne, les Pays-Bas et la Finlande, défendaient au contraire les règles les plus strictes possibles, pour éviter l'incertitude qui risque de faire fuir investisseurs et déposants. Ils voulaient aussi éviter tout recours à l'argent public.

Au final, pour les Etats qui souhaiteront de la flexibilité, le compromis prévoit d'imposer des pertes d'abord aux créanciers et actionnaires à hauteur de 8 % minimum du passif des banques. Ensuite pourront être sollicités des fonds nationaux dits "de résolution", alimentés par le secteur bancaire lui-même, et si nécessaire, "des ressources, soit nationales, soit européennes", avec la possibilité de "recapitalisation directe par le MES", le fonds de secours de la zone euro, a expliqué M. Moscovici. Même si le recours à l'argent public est donc encore possible, "c'est un changement majeur qui fait qu'on passe de l'argent public, celui du contribuable, à celui du secteur financier lui-même, qui va devoir dans une très large mesure régler ses propres problèmes", a souligné M. Dijsselbloem.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/06/27/accord-europeen-sur-le-financement-des-banques-en-faillite_3437259_3234.html

Bon, je me retiens un peu de faire des remarques, mais Jeroen Dijsselbloem ici, et Neelie Kroes là, sans parler d'autres encore, et d'autres encore qui à leur âge n'hésitent pas à donner leur grain de sel sur les questions européennes et la politique internationale... Et d'autres encore aux responsabilités multiples et variées... Bref, je me retiens.

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