donderdag 10 januari 2013

Une question de génération et de perspective...

Dans le temps, des intellectuel(le)s, encore jeunes, firent leur révolution. Il fallait tout changer. Aujourd'hui, ils ont gagné des années et sont toujours là. Seulement, qu'ont-ils encore à nous dire? Certains se font moins entendre, celles qui se faisaient remarquer sur les ondes, dans les journaux, les magazines, partout, se sont faites plus discrètes. Elles s'occupent peut-être de leurs petits-enfants pendant que leurs filles et belles-filles travaillent pour avoir bien appris leur leçon. D'autres ont encore leur mot à dire. On les rencontre ici ou là. Et nous, nous nous demandons: que veulent-ils au juste? Prendre la retraite, après des années de bons et loyaux services serait évidemment difficile, avoir été à la pointe du progrès ne s'abandonne pas ainsi. Ils avaient un projet, il faut s'accrocher. Et ils sont encore là aux manettes, à leur plume, au micro, derrière leur clavier, téléphone en main... Les machines sont utiles... Aujourd'hui, plus que jamais... Qui les tient aura une certaine écoute, qui se fait entendre, se fait remarquer, pensera encore pouvoir mener l'opinion. Ce qui n'est pas totalement faux. Les médias traditionnels ont eu leur part de marché dans la conquête des esprits, les nouveaux moyens de communication sont devenus plus diffus, plus démocratiques, plus omniprésents, à l'usage de tous, sans aucun doute un casse-tête pour les responsables et les élites auto-proclamées. Pensez donc, le citoyen lambda s'exprimant sur tout, à toute heure, s'adressant à tout le monde, cela s'appelle la révolution numérique. Que le meilleur gagne. la compétition bien comprise pourrait être celle-là: les élites versus la société civile. Mais dans le fond, n'est-il pas temps que les élites descendent un peu de leur hauteur et viennent à la rencontre Real Life de la société qui manifeste et dont elles font partie après tout? Car, il ne faudrait pas se tromper: aujourd'hui, le développement technologique est tel que bon nombre de barrières sont en train de tombées, la hiérarchie se fait plus horizontale, elle s'aplanit. Ce qui veut dire que l'organisation pyramidale de nos sociétés évolue et se transforme. Et certains travaillent, à leur façon, à ce qu'elle se transforme dans le BON SENS. Pour le bien de tous. J'appelle cela la DCE pratiquée par des créatifs culturels. Nous sommes, comme vous le savez, dans la postmodernité. Mais bon, ce n'est qu'une idée... Une idée lancée avec une certaine perspective. Des mots lancés sur le Web... Dans quelles oreilles atterrissent-ils? Là est la question. En attendant la rencontre de blogueurs bien intentionnés. On peut les appeler blogueurs de bonne volonté. Le jour où ces différentes générations se rencontreront un verre à la main parce qu'elles auront été mises en contact par la machine, alors nous pourrons parler d'un bon positif en avant. Du bon usage du mot positif. N'est-ce pas cela en définitive le but du progrès technique? Réunir des hommes et des femmes pour travailler dans le BON SENS, aux BONNES valeurs, à l'heure postmoderne...

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