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L'idée de justice
« La justice est la première vertu des institutions sociales comme la vérité est celle des systèmes de pensée »3. En comparant explicitement le principe essentiel de la pensée spéculative à celui du politique, Rawls bâtit une théorie politique fondée sur la recherche de règles de justice. Il cherche à rendre compatible le plus haut niveau de liberté avec la réalisation d'une égalité effective des chances. Alexis de Tocqueville avait déjà souligné les tensions qui pouvaient naître de ce double attelage (liberté/égalité)4.
Il fait ainsi de la justice le principe du politique, comme la vérité est la clef de voûte des systèmes de pensée. La recherche de la justice constitue donc pour lui un axiome absolument incontournable. En effet, comme il serait impossible de spéculer rationnellement sans avoir comme postulat fondamental le principe de vérité, la justice devrait être également à la base de toute réflexion politique, précédant toute décision : « étant les vertus premières du comportement humain, la justice et la vérité ne souffrent d'aucun compromis. »4
En conséquence, on ne pourrait transformer nos conceptions de la justice sans bouleverser toute la structure du système politico-social.
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http://fr.wikipedia.org/wiki/John_Rawls
Au chapitre philosophie, des voix de femmes... et le teXte s'est envolé... Il parlait de femmes, des femmes, de certaines femmes, souvent, toujours les mêmes, toujours les mêmes, toujours les mêmes... Conflict of interest, Responsibility to Protect & Duty of Care. Ce teXte, je vous laisse l'imaginer. Il n'était pas très tendre pour les (dames) émancipées autrefois, libérées, affranchies, et aujourd'hui pomponnées, car elles veulent encore et toujours rester jeunes ET actives. Et puis il y a le business de la beauté, etc. Plus de grand-mère au coin du feu, de mémés tricotant dans les jardins publics et faisant un brin de causette. Quand la vie des villages vivait au rythme des saisons. Comme dans nos villages. Des grands-mères avec des aiguilles à tricoter dans leur chignon, je repense à elle avec tendresse, je repense à elles avec nostalgie. Nos grands-mères qui s'en sont allées, aujourd'hui, nos mères sont les grands-mères; nous, la jeune génération des années 80, nous suivons, nous observons un peu, un peu critique... On écrit, le clavier est là, quand l'envie ou l'inspiration nous prend, la machine attend, le clavier est docile, des ingénieurs ont fait du bon boulot. Ils nous ont rendu un grand service. Quand la technologie devient l'amie des écrivains du Net. Et les teXtes partent sur la Toile... sur le WWW. Ils espèrent être lus par des femmes, des ingénieurs, des politiques, des philosophes... Sur la justice et les intérêts des uns et des autres. Dans le monde entier.
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