zondag 23 december 2012

Genoeg is genoeg ou bien pourquoi vouloir toujours plus?...

Nous allons pendant cette pause nous concentrer sur certains mots, après tout le 21 décembre 2012 a sonné l'heure de la transformation du système, et ces mots demandent à être revisités: assez, moins, peu, lenteur, attention, hasard, RESPECT, humilité, simplicité, honnêteté, intégrité...

Qui, reconnu ou pas, journaliste et/ou blogueur, penseur, intellectuel, etc. va avoir le courage de nous entretenir sur les questions véritablement essentielles? Et des questions essentielles, il y en a de toutes sortes... Mais pour l'instant ceci - c'est en néerlandais mais peut-être que la machine peut traduire.

Comme je fais dans la transnationalité, je passe du français au néerlandais et vice-versa. Pourquoi le néerlandais me direz-vous? Parce que j'écris de la Hollande et parce que je suis persuadée que la Hollande est un petit pays - mais pas si petit sous une autre perspective - qui a été un peu oublié par nos médias et journalistes, sans parler des blogueurs... J'en ai d'ailleurs fait part de vive voix à un blogueur ainsi qu'à un journaliste du Monde. On peut se rencontrer ou se parler au téléphone. Puisque nos médias, journalistes et blogueurs rechignent à parler des Pays-Bas et de sa véritable place dans l'économie européenne, on peut s'y intéresser. Cela peut en intéresser certains ou pas. Après le 21 décembre, on pourra aussi s'intéresser aux médias et au pouvoir que leur confère leur statut. Qui servent-ils? Quelle déontologie?

Pour l'instant, pour en revenir au sujet de ce billet sur l'économie humaine, c'est à dire une économie au service des hommes, des femmes et des enfants, respectueuse de l'environnement - une économie de la frugalité -, ce petit passage tiré d'un éditorial, intitulé "Zinvol werk", dans le NRC de ce week-end, rubrique "Economie van het genoeg", par Ben Tigelaar:

Martin Luther king zei: I have a dream, niet: I have a plan.

Il s'agit d'expatriés, et d'un questionnement somme toute assez nouveau quant à la valeur du travail fourni, le problème de la rémunération allant avec. Ce que je fais est-il vraiment utile? L'argent gagné est-il bien mérité? Quel rêve? Quelle inspiration? Je continue, et je retranscris là aussi ce qu'écrit cet éditorialiste...

Een van de expats op het feestje stelde letterlijk: "Eigenlijk heb ik al mijn dromen op het gebied van werk gerealiseerd. Wat ik nodig heb, is een nieuwe droom." Een ander vertelde hoe hij zijn loopbaan was gestart vanuit een inhoudelijke passie, maar dat hij het gevoel had dat hij nu vooral hard werkte om zijn collega's en zijn klanten niet teleur te stellen. Beiden wilden ze graag een volgende stap zette die "zinvol" zou zijn. Ze wilden dat het over vijtig jaar iets zou uitmaken dat ze geleefd en gewerkt hadden.

Je kunt dit alles eenvoudig afdoen als een luxeprobleem. Maar wat is er mis mee dat mensen hun talenten en vaardigheden willen inzetten om ECHT NUTTIG (je souligne) werk te doen? Behalve dan dat het zo verdraaide moeilijk is om te formuleren wat "ECHT NUTTIG (je souligne aussi)" is.

Donc la question du jour peut se résumer ainsi: Que veut dire faire un travail utile? Qui SERT-ON véritablement par notre travail? Qui profite du travail des uns et des autres? Nous en revenons au chapitre sur la VALEUR TRAVAIL. Qui nous reparlera du rapport Stiglitz par exemple? Car on ne fait pas des rapports en tous genres ni ne met des commissions en place uniquement pour distraire l'assistance, gagner du temps et pour que tout s'oublie au final...

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