zondag 16 december 2012

Troisième dimanche de l'Avent...

Version Française English Version Versión Española Versão Portuguesa Nederlandse Versie Deutsche Version Versione Italiana Arabic version Wersja polska Armenian version Ελληνική έκδοση Dikateny malagasy Troisième Dimanche de l'Avent Commentaire du jour Bienheureux Jean-Paul II Angélus du 14/12/2003 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana rev.) « Soyez toujours dans la joie du Seigneur ; laissez-moi vous le redire : soyez dans la joie. Le Seigneur est proche » « Réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur... Le Seigneur est proche » (Ph 4,4-5). A travers ces paroles de l'apôtre Paul, la liturgie nous invite à la joie. Nous sommes le troisième dimanche de l'Avent, appelé précisément « Gaudete »... L'Avent est un temps de joie, car il fait revivre l'attente de l'événement le plus heureux de l'histoire : la naissance du Fils de Dieu, né de la Vierge Marie. Savoir que Dieu n'est pas loin, mais proche, qu'il n'est pas indifférent, mais plein de compassion, qu'il n'est pas un étranger, mais un Père miséricordieux qui veille sur nous avec amour, dans le respect de notre liberté — tout cela est le motif d'une joie profonde sur laquelle les aléas des événements quotidiens n'ont pas de prise. Une caractéristique incomparable de la joie chrétienne est qu'elle peut coexister avec la souffrance, car elle est entièrement basée sur l'amour. En effet, le Seigneur qui est proche de nous, au point de devenir un homme, vient nous communiquer sa joie, la joie d'aimer. Ce n'est qu'ainsi que l'on comprend la joie sereine des martyrs même dans l'épreuve ou le sourire des saints de la charité face à celui qui est dans la peine, un sourire qui ne blesse pas mais qui console. « Réjouis-toi, comblée de grâce, le Seigneur est avec toi » (Lc 1,28) : l'annonce de l'ange à Marie est une invitation à la joie. Demandons à la Sainte Vierge le don de la joie chrétienne. Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 3,10-18. Les foules qui venaient se faire baptiser par Jean lui demandaient : « Que devons-nous faire ? » Jean leur répondait : « Celui qui a deux vêtements, qu'il partage avec celui qui n'en a pas ; et celui qui a de quoi manger, qu'il fasse de même ! » Des publicains (collecteurs d'impôts) vinrent aussi se faire baptiser et lui dirent : « Maître, que devons-nous faire ? » Il leur répondit : « N'exigez rien de plus que ce qui vous est fixé. » A leur tour, des soldats lui demandaient : « Et nous, que devons-nous faire ? » Il leur répondit : « Ne faites ni violence ni tort à personne ; et contentez-vous de votre solde. » Or, le peuple était en attente, et tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n'était pas le Messie. Jean s'adressa alors à tous : « Moi, je vous baptise avec de l'eau ; mais il vient, celui qui est plus puissant que moi. Je ne suis pas digne de défaire la courroie de ses sandales. Lui vous baptisera dans l'Esprit Saint et dans le feu. Il tient à la main la pelle à vanner pour nettoyer son aire à battre le blé, et il amassera le grain dans son grenier ; quant à la paille, il la brûlera dans un feu qui ne s'éteint pas. » Par ces exhortations et bien d'autres encore, il annonçait au peuple la Bonne Nouvelle. http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR

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