maandag 3 december 2012

Les médias et le mot RESPECT...

Les médias, la crise, les crises, pourquoi encore des médias à l'heure de l'Internet et de l'expression de citoyens libres et consciencieux?... Le mot consciencieux...

En passant, liberté d'expression et de pensée à l'heure du numérique:

“Our culture, built online, is based on the sharing, the remixing and the copy-pasting of cultural works. These practices, inseparable from free speech and democratic participation, must be encouraged by law instead of being fought against. Today's copyright regime differs dangerously from the social and technological realities we live in, at the expense of our fundamental freedoms. It must be reformed. Citizens must urge their representatives to work on these issues” declared Jérémie Zimmermann, co-founder and spokesperson of the citizen organisation La Quadrature du Net.
"Everyone has the right freely to participate in the cultural life of the community, to enjoy the arts and to share in scientific advancement and its benefits." - art.27.1 Universal Declaration of Human Rights
http://www.laquadrature.net/

Et c'est ainsi qu'il y a des mots, comme ça, qui finissent par ne plus être entendus ni utilisés. Le mot consciencieux en fait partie. Que veut dire être consciencieux? Qui est consciencieux? Qui ne l'est pas? Peut-on dire que les médias sont consciencieux par exemple? Doit-on se laisser servir n'importe quoi? Nous achetons, nous consommons les médias, mais que cherchons-nous en les lisant, en les écoutant, en les voyant? Cherchons-nous à être informés? Certainement et BIEN si possible. Cherchons-nous à être choqués? Certainement pas ou alors nous serions idiots. Et que remarquons-nous trop souvent? Que les médias s'adonnent de plus en plus à une certaine provocation. La provocation ne date pas d'hier, les années 60-70 ont laissées des traces...  Mais là où les choses deviennent intéressantes, c'est lorsque la question se pose de comprendre la raison ou les raisons qui poussent des rédacteurs à rechercher cette ligne rouge à ne pas franchir. Pourquoi chercher d'une  façon ou d'une autre la confrontation avec son lectorat? Quelle ligne de conduite s'imposent en fait ces rédactions? Ont-elles une déontologie bien précise à laquelle se soumettre? Répondent-elles à certains critères de convenance? Qui dans le fond contrôle l'expression médiatique? Liberté d'expression s'empresseront de répondre les uns et les autres... C'est de cela  dont il s'agit: la liberté d'expression mais jusqu'à ce que la conscience nous interpelle. Et nous en revenons au mot consciencieux, je vous épargne la définition du mot conscience...

Consciencieux: Qui obéit à la conscience morale, qui accomplit ses devoirs avec conscience -> honnête -> délicat, scrupuleux -> attentif, exact, fiable, minutieux, travailleur, sérieux. Qui est fait avec conscience.

Pourquoi nous bombarde-t-on en ce moment de grossièreté et de tatouages par exemple? Pourquoi se croit-on obligé de faire dans la vulgarité? Pourquoi s'attaquer ainsi à la famille et au fondement de notre société, la pierre angulaire? Est-ce la stratégie du mieux vendre, le marketing de la dernière chance, du tout pour le tout, le dernier va-tout? Vous posez la question à un journaliste, il ne répondra pas et vous raccrochera sans doute au nez.  Nous parlons d'éthique et de médias, de déontologie, de RESPECT. Et la libre expression ne peut être comprise et acceptée que dans le RESPECT de l'autre. Les médias et le mot RESPECT. Les médias et le mot CONSCIENCE. De là, nous passons à la collusion d'intérêts. Conflits d'intérêts. Intérêts et conscience. Qui est réellement consciencieux? Et que faire du mot intégrité? Mais là, ce sera pour une prochaine fois...


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