dinsdag 27 november 2012

Sur le travail dans la société de connivence chez JA...

Mais que nous dit la philosophie du bon sens sur tout cela? Elle pose d'abord la question: quelle question doit-on aujourd'hui se poser avant toute chose? Ma petite cervelle me dit: nous posons-nous les BONNES questions avec les BONS mots? Qu'en pensez-vous? Par exemple: qu'est ce que veut dire le mot travail? Et nous prenons la revue Esprit d'août-septembre 1995 sur "L'avenir du travail" avec, je lis:
- Une autre politique économique?
-Quand la croissance ne crée plus d'emplois
-Vers une société sans travail?
- Métamorphoses de l'économie
Robert Boss, Daniel Cohen, Jean-Paul Fitoussi, Jean-Paul Maréchal, Dominique Méda, Daniel Mohé, Bernard Perret.
Sur la couverture de cette revue, le mot "important!" est inscrit... Car sur le mot travail, il y a tout un malentendu qu'il serait urgent de régler à grande échelle. Qui travaille? Qui est rémunéré? Que veut dire travailler? Peut-on ne rien faire et gagner de l'argent, beaucoup d'argent? Peut-on travailler et ne rien gagner? Qui fait quoi? Qui travaille et pourquoi? Et le travail bénévole? Et que faisons-nous du principe de subsidiarité?
Merci pour le lien, en tout cas, je commencerai par supprimer le mot com-pé-ti-ti-vi-té. Sécurité juridique?... Des Pays-bas, j'aurais presqu'envie de rire, excusez-moi... Quant au sauvegarde de l'emploi, par gros temps démographique, cela me laisse songeuse... En tout cas, nous avons affaire à des déséquilibres. J'ai même pu comprendre qu'ici et là des retraités continuaient aussi de percevoir un salaire. Comment est-ce possible?

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