Mais que nous dit la philosophie du bon sens sur tout cela? Elle pose d'abord la question: quelle question doit-on aujourd'hui se poser avant toute chose? Ma petite cervelle me dit: nous posons-nous les BONNES questions avec les BONS mots? Qu'en pensez-vous? Par exemple: qu'est ce que veut dire le mot travail? Et nous prenons la revue Esprit d'août-septembre 1995 sur "L'avenir du travail" avec, je lis:
- Une autre politique économique?
-Quand la croissance ne crée plus d'emplois
-Vers une société sans travail?
- Métamorphoses de l'économie
Robert Boss, Daniel Cohen, Jean-Paul Fitoussi, Jean-Paul Maréchal, Dominique Méda, Daniel Mohé, Bernard Perret.
Sur la couverture de cette revue, le mot "important!" est inscrit... Car sur le mot travail, il y a tout un malentendu qu'il serait urgent de régler à grande échelle. Qui travaille? Qui est rémunéré? Que veut dire travailler? Peut-on ne rien faire et gagner de l'argent, beaucoup d'argent? Peut-on travailler et ne rien gagner? Qui fait quoi? Qui travaille et pourquoi? Et le travail bénévole? Et que faisons-nous du principe de subsidiarité?
Merci pour le lien, en tout cas, je commencerai par supprimer le mot com-pé-ti-ti-vi-té. Sécurité juridique?... Des Pays-bas, j'aurais presqu'envie de rire, excusez-moi... Quant au sauvegarde de l'emploi, par gros temps démographique, cela me laisse songeuse... En tout cas, nous avons affaire à des déséquilibres. J'ai même pu comprendre qu'ici et là des retraités continuaient aussi de percevoir un salaire. Comment est-ce possible?
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