donderdag 25 juni 2015

La presse pas assez déontologique en Hollande... C'est pas jojo... C'est sur le discours de haine...

"Ik wil een mannenclub" van Nico Dijkshoorn:

"Ik wil een mannenclub

Volkskrant‎ - 1 dag geleden

COLUMN Over de geheimen van de mannenclub, of het nou om een knuppel of een motor ..."

Wat willen de Power Girls in Holland?

De Power Girls hebben het over Justitie.

Zij willen dat de mannen (soms vrouwen) & de media die geweld in de samenleving aanmoedigen worden aangehouden.

Over Geweld, Media en Jeugd en aanzet tot haat.

Hoofdstuk haat zaaien et discours de haine in de Nederlandse pers, dans la presse hollandaise du discours de haine et du seXisme, de la pornographie aussi:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Violence_psychique

https://nl.wikipedia.org/wiki/Pornografie

https://nl.wikipedia.org/wiki/Haat_zaaien:

[...]

Un discours de haine (ou discours haineux, discours de la haine) désigne un type de discours qui vise à intimider, à inciter à la violence ou aux préjugés contre une personne ou un groupe de personnes sur la base de caractéristiques diverses (race, âge, sexe, religion etc.). L’expression s’applique aux écrits comme à la parole ainsi qu’à certains comportements publics.

[...]

Verschil met belediging

De bepalingen in het Nederlandse Wetboek van Strafrecht die met "haat zaaien" worden geassocieerd staan Titel V. van het Tweede Boek van dit wetboek, onder de titel "Misdrijven tegen de openbare orde", terwijl "Belediging" (smaad, laster, etc.) aan de orde komt in Titel XVI. Kort gezegd gaat het in het eerste geval om een collectiviteit en in het tweede geval om individuen.

In de inventariserende studie "Godslastering, discriminerende uitingen wegens godsdienst en haatuitingen" van Bas van Stokkom e.a. [1] wordt onderscheid gemaakt tussen belediging en haat zaaien:
Beledigende uitlatingen hebben een andere logica dan haatzaaiende uitlatingen. De belediging is in eerste instantie afgestemd op het neerhalen van de status van de opponent (zijn of haar goede naam, reputatie, rang of stand). In het geval van haat zaaien daarentegen is niet de status van de tegenstrever in het geding, maar zijn bestaansrecht. Op haatsites wordt de tegenpartij dan ook geen meningsvrijheid gegund. Zij is niet alleen ‘minder’ of ‘onder’ maar verdient überhaupt geen respect. Haat is dan ook niet ontvankelijk voor informatie die de tegenpartij van ‘schuld’ ontlast.
In de context van vrije meningsuiting geeft haat zaaien soms begripsverwarring tussen bedoelde (smalende, minachtende) beledigingen en onbedoelde beledigingen die het gevolg zijn van vrije en oprechte meningsvorming. Strafrechtelijk is beslissend of het opzettelijk gebeurt.

[...]

Wat zou Justitie in Den Haag kunnen zeggen?

Au chapitre les médias, la violence, le discours de haine, la jeunesse, les consommateurs ET la Justice.

Pourquoi écrit-on cela? Parce que les médias (néerlandais en particulier, même en ligne s'adressant auX mineurs et auX jeunes) se sentent parfois un peu trop libres d'écrire ou de diffuser n'importe quoi: ils font dans la diffusion de la violence, du discours de haine, l'insulte gratuite. Une plainte a d'ailleurs été déposée au bureau de police. Où en est-on dans l'enquête qui se poursuit à La Haye? Que pourrait dire la justice là-bas. Elle préfèrera ou ils préfèreront ne pas trop rechercher. Pourtant l'enquête est en ligne et a été faite pour euX. A qui s'adressent les médias laissés un peu trop libres dans ce pays? A la Société, auX lecteurs, auX jeunes, auX familles, auX plus vulnérables. Ce blog travaille ces questions, ce qui l'amène à sur-veiller un peu les hommes, des femmes aussi, qui, dans les médias, se sentiraient un peu trop libres dans leur eXpression et le choiX de leurs mots cherchant à violenter le lectorat et la Société. Ils finissent par oublier la Constitution/Grondwet et ce que veut dire protection de la jeunesse et moeurs (goede zeden volgens de Grondwet). Une question très importante en fait, pour le monde médiatique aussi. C'est une des tâches de ce blog d'observer ces médias trop peu scrupuleuX et d'introduire l'idée que la Justice internationale peut aussi eXister pour les journalistes et les éditorialistes comme monsieur Nico Dijkshoorn. Ils pourraient en venir à perturber l'ordre public.

[...]

Conseil de l’Europe:

Alors que l’article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme, qui traite de la liberté d'expression, évoquait simplement la possibilité que cette liberté puisse être soumise à des formalités ou des sanctions, le conseil des ministres du Conseil de l’Europe est allé plus loin en recommandant aux membres de l’Union européenne de combattre les discours de haine14. La commission européenne contre le racisme et l'intolérance a également été créée contre le racisme et l’intolérance15

La France interdit la publication de propos diffamatoires ou insultants, qui inciteraient à la discrimination, à la haine, ou à la violence contre une personne ou un groupe de personnes en raison de leur lieu d’origine, de leur ethnie ou absence d’ethnie, de la nationalité, de la race ou d’une religion spécifique, et ce depuis 1881. La loi interdit l’incitation à la discrimination, la haine, la violence contre les personnes en raison de leur sexe, orientation sexuelle, ou leur handicap. La loi interdit les déclarations qui nient, justifient ou relativisent les crimes contre l’humanité (comme la négation de la Shoah).

En 2007, le tribunal correctionnel de Lyon a condamné Bruno Gollnisch à trois mois de prison avec sursis et à une amende de 55 000 € pour avoir contesté l’existence de crimes contre l’humanité dans une remarque sur la Shoah. Cette décision est confirmée en appel le 28 février 2008, mais le 23 juin 2009 la Cour de cassation annule la condamnation et blanchit Bruno Gollnisch, arguant du fait qu'il n'avait pas contesté l'existence des crimes contre l'humanité, mais suggéré que les « spécialistes » (c'est-à-dire les historiens) aient légalement le droit de débattre au sujet de ces crimes, sans que la loi n'interdise par avance, dans leurs débats, l'exploration de certaines thèses ou possibilités.

[...]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Discours_de_haine

Finalement, les individus qui contribuent à diffuser du discours de haine, à caractère pornographique ou seXiste également, pourraient peut-être se dire qu'une bonne amende ou un passage dans un institutu pénitentiaire ne serait pas de trop. Les prisons ici sont un peu vides, on y met des Norvégiens, des Belges, voire des Américains. Car les teXtes de lois sont faits pour tous. Même pour le monde du journalisme. Surtout euX peut-être: ils s'invitent tellement facilement chez vous, dans les chambres des enfants aussi, dans les consciences, dans la Société en général, c'est un peu comme les affiches publicitaires dans les rues, qu'à un certain moment des blogueurs, même génération d'ailleurs, peuvent le faire remarquer en ligne. Des journalistes ou des écrivains comme ce monsieur, responsable de son éditorial, car il y a de la responsabilité dans l'air - on ne peut pas faire n'importe quoi dans la presse non plus - pourront aussi insulter très facilement des pays, de grands pays ou leur lectorat. Est-ce bien normal?

Monsieur Nico Dijkshoorn peut répondre en ligne pour eXpliquer son propos jugé porteur de violence et de discours de haine au sein de la Société. Une Société se protège, les blogueurs peuvent y contribuer aujourd'hui. C'est le progrès technologique qui veut ça.

Sur les règles déontologiques de la profession de ceuX qui s'eXpriment dans la presse, même gratuite et se distribuant très, trop facilement dans les gares à un jeune public peut-être, genre Metro. Les parents veillent. Le monde des médias en Hollande, une presse entre les mains des Flamands, serait un peu surveillé. On y revient. Aujourd'hui, les lecteurs peuvent réfléchir à ce qu'on leur donne à lire et réagir en ligne très rapidement. Les commentaires sont les bienvenus. Sachant que les teXtes législatifs valent aussi pour les journalistes et les responsables dans ce monde médiatique qui oublie trop souvent la déontologie des choses. Le côté éthique comme dans Responsabilité Sociale de l'Entreprise ou Corporate Social Responsibility. Ou Code of Conduct pour journalistes aussi. Quel code pour la presse hollandaise entre les mains flamandes? Une simple question d'égalité bien comprise aussi, la Justice vaut aussi pour le monde des journalistes et éditorialistes. Même s'ils se sentent trop libres comme monsieur Dijkshoorn (1960). Il y a évidemment de la liberté dans ce propos, une forme de fraternité aussi que l'on voudrait faire bien comprendre auX Hollandais avant les festivités du Tour de France qui commencera en Hollande. On en profitera pour faire remarquer que de nombreuX ressortissants hollandais, même des journalistes, ont acheté des maisons... en France.

Quelles déontologie journalistique pour ceuX qui écrivent dans la presse et en ligne, qui utilisent les voies électroniques en général, la télévision comprise? Quelle gouvernance eXactement? Quels teXtes de lois? Parce que pour ce blog, la Justice internationale à La Haye a un sens. Vous l'avez compris, ici on travaille le problème de la diffusion de la violence et du discours de haine au travers des médias pouvant toucher un public en tous genres. Les jeunes et les femmes en particulier, les plus vulnérables. On le fait remarquer à monsieur Dijkshoorn.

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