donderdag 1 november 2012

Responsabilité toujours...


La politique européenne

Différents acteurs pour quelle convergence et quelle cohérence ? À cheval sur deux pays, Bruxelles est au centre, je me pose des questions quant aux responsabilités des uns et des autres. Et je me pose la question de savoir où va l’Europe et où veut nous amener une certaine intelligenstia, M. Attali inclus.

Nous définissons petit à petit  les cadres de la discussion. Un mot essentiel dans cette discussion est le mot RESPONSABILITÉ.  Nous parlons de l’Europe.  Dans cette Europe, il ne devrait pas y avoir à priori de trop grandes divergences de vues. Depuis le temps, l’Europe est habituée à travailler certaines choses. Les peuples se sentent européens, beaucoup d’Européens sont des produits mixtes, la plupart ont (beaucoup) voyagé, certains ont  même des résidences ici et là. Bref, l’Europe est un fait, et pourtant on nous fait croire que la machine a des difficultés, qu’elle s’est enraillée.  Le problème est de cerner ce qui fait obstacle. Où se trouve ce qui empêche les choses d’aller dans le BON SENS ?  Les commissaires européens ont sans aucun doute des responsabilités. Mais pour quels intérêts travaillent-ils ?  Nous devrons peut-être même parler  quelquefois de conflit d’intérêts. Car, il est peut-être difficile de jouer en même temps les cartes technocratique, politique et diplomatique . En espérant que ne s’y ajoute pas la carte du lobby ou de l’intérêt personnel…

Un problème donc est de définir les responsabilités des uns et des autres et de déterminer de quel contrôle ils répondent ? Qui contrôle le tout ?  De même pour un organisme comme la Banque centrale européenne.  Mario Draghi s’est vu parachuter président de cette même instance internationale. Mais avec quelle légitimité ? Des décisions sont prises par des gens pour des gens, pour les Européens, mais sont-elles prises pour le BIEN des peuples ? Une question fondamentale à laquelle répondre. Pour qui travaillent les grandes instances  internationales? Jamais les organismes aussi divers qu’ils soient ne devraient oublier qu’ils ne sont faits que d’hommes et de femmes qui ne travaillent que pour d’autres hommes et femmes. La technique peut certes les aider, mais sans plus. Les responsables prennent des décisions et devraient être bien conscients à ce niveau qu’ils pourraient à tout moment, surtout si les choses n’allaient plus justement dans le bon sens, devoir rendre des comptes. Nous pourrions presque dire qu’ils sont payés pour cela. Pourquoi ? Comment ? Quelles décisions ? Pour servir qui ?Quelle légitimité ? Quel mandat ? Pour quel résultat ? Être responsable veut  souvent dire être très bien rémunéré mais à la condition de pouvoir donner aux contribuables les explications nécessaires le moment venu.  D’autant plus qu’ils bénéficient de certains avantages.  Le moment venu, c’est-à-dire le jour  où les populations se posent des questions, notamment au niveau des responsabilités et de la légitimité des choses. Ce qui serait parfaitement justifié dans une démocratie et l’Europe est une démocratie.  La justice y est un maître mot.

 Au fait, parlons-nous assez de  justice  et de l’appareil judiciaire européen dans son ensemble ?  Parlons-nous assez de la véritable justice. Et d’où vient la justice ? Sur quoi repose-t-elle ?  Quels sont les systèmes de contrôle ? Et nous ne parlons pas du contrôle des citoyens,  mais bien des instances qui sont censées prendre les BONNES décisions pour ces mêmes citoyens. Certainement deux mots qui mériteraient tout un rapport sont les mots justice et responsabilité.

À lire:

http://jesusmarie.free.fr/encyclique_quanta_cura.html

 

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