dinsdag 2 oktober 2012

Une voix féminine dans un monde masculin...


Une femme, sans carrière;) mais ayant réfléchi à certaines choses – cela peut arriver… - , doit se faire entendre en ce moment. Enfin, c’est ce que je pense donc je le fais. Des sujets tellement importants doivent être débattus qu’ils le seront encore mieux avec l'apport d'une voix féminine, un peu inspirée;)... Car ces cinquante dernières années, elles se sont bien faites entendre, maintenant, on ne les entend plus....  Étudiante, j'ai commencé à m'intéresser à ce que certaines de mes aînées avaient à nous dire. Bien présentes sur la scène médiatique, exposées, il était évidemment difficile  de ne pas les remarquer,  toujours les mêmes, toujours la même école, toujours le même objectif, travailler dans un esprit de rupture. Couper les liens et les fils semblaient être leur seul désir. Couper, arracher, séparer, diviser, enfin toute une pléthore de jolis verbes servant à entacher notre humanité avec je ne sais quelle volonté. Elles ont sans doute voulu détruire quelque chose. Elles se sont démenées, elles étaient bien décidées à faire du désordre, sens dessus-dessous, renversement des valeurs, brouhaha et  charivari. Si elles ne sont pas d’accord, elles peuvent intervenir ici. Je ne prétends pas non plus détenir la vérité mais j’ai des idées et, avec l’aide de la machine, je les expose.  J'écris. C’est aussi un peu une mission dans le virtuel;), même si j’espère une rencontre un jour en RL. Pour terminer ce travail critique de postmoderne.
La question qui se pose à nous, hormis de porter toute notre attention à certains mots et à la défense d’une culture, d’une Tradition qui pourrait être menacée par ce qui est appelé la culture de la mort, est de savoir quel BON SENS allons-nous choisir? Allons-nous laisser toujours les mêmes nous dicter la (mauvaise) direction à suivre ? Question fondamentale que je pose, et j’espère que les internautes voudront bien apporter leur réflexion sur le sujet. De quelles élites avons-nous besoin pour bien vivre nos vies ? Avons-nous encore besoin d’une élite intéressée et autoreproductrice ? Une élite pas forcément bien intentionnée.
Nous ne regarderons ni à droite ni à gauche, ni au-delà de l’Atlantique. Nous nous regarderons d’abord nous-mêmes, ici ou là, en Europe, et surtout, nous concentrerons nos regards sur ceux qui nous mènent ou nous ont menés, ceux que l’on appelle les responsables. Des responsables bien payés dont on est en droit de demander quelques petites explications par temps de crises. Car c’est vers les responsables que l’on se tourne d'abord lorsque le temps s’accélère et demande des clarifications, disons,  une justice. Car, est-il normal qu'une élite puisse s'être moquée des valeurs qui sont le socle de notre civilisation? Je crois qu'un jour ou l'autre, il y a toujours des comptes à rendre. Et nous en sommes à ce moment-là de notre Histoire. Qui est responsable de quoi?

PS: Il est évident qu'au début des années soixante, des USA,  ces dames commençaient à se faire entendre et à s'organiser. Je faisais mes premiers pas...  Je fais partie de la génération X.  En fait,  je m'intéresse avec l'Église aux fondements anthropologiques de la société. Et l'Église, comme on le sait a besoin d'une voix féminine. Je le fais à ma façon. Mais je sais qui m'inspire....


et je continue... je réponds cette fois à Sylvie...


Mais Jacques Attali-Attila? nous comprendra tout à fait. D'abord, vous remarquerez que j'ai bien pris soin de parler des USA. Pays important et exportateur de tendances, un peu  comme les Pays-Bas. Là aussi, il y a un lien historique bien sûr. Ensuite, tout blogueur intelligent sait que tout est lié. Tous les sujets fondamentaux ont un lien les uns avec les autres. Jacques Attali-ila?  sait très bien de quoi il en ressort. De toute manière, il y a quelque temps de cela, nous avions eu un petit échange mail sur le sujet. Il doit s'en souvenir. Bref, nous traitons d'un sujet fondamental. Essentiel. Donc, cela ne servira à rien de nous disperser; de nous distraire. Pour comprendre les choses il faut du focus et de la profondeur, et c'est vrai, je m'y adonne avec plaisir, un certain sens du devoir aussi. Un fil que l'on tient et qu'on ne lachera pas facilement.  Comme je l'ai déjà dit, j'y travaille depuis assez longtemps maintenant. Comme une vocation. Enfin, j'espère être bien lu par nos politiques ou journalistes en particulier. Connaissez-vous le monde du journalisme?  Bloguer est une forme de journalisme, une activité non rémunérée qui demande du temps, de la persévérance, des convictions aussi, et qui sert évidemment la liberté d'expression et de pensée. Qui sert, je l'espère, à faire comprendre certaines choses, qui sert une Tradition.  Je ne pense pas qu'on blogue en dilettante, même si on peut s'amuser de temps en temps. En fait, j'adore mélanger les genres;), comme une postmoderne, j'y tiens c'est vrai, mais à chacun sa spécialité;)... Faire des choses essentielles sans se prendre la grosse tête. Sans se prendre trop au sérieux. Une façon ludique d'aborder des choses très sérieuses et très actuelles, mais JA comprendra sûrement... Il n'est pas bête..

Pour ce qui est de la gestion des blogs. À partir du moment où on prend la responsabilité de tenir un blog, la liberté d’expression permettra aux internautes de s’exprimer comme ils l’entendent – on refusera l’injure ou la grossièreté bien sûr – mais, vous savez, j’en ai vu d’autres. Le risque étant alors de se retrouver un beau jour nez à nez avec le blogueur ou la blogueuse . C’est ce qui est arrivé à Paul Jorion, mon ami à moitié néerlandais comme moi ;)… Un blogueur ou un journaliste doit bien comprendre ce que veut dire liberté d’expression et de pensée. Juste faire attention à la notion de blasphème toutefois….

À part cela, comme je suis une touche à tout, je m'intéresse aussi  à l'Europe et à la démocratie européenne que je voudrais charitable et/ou conviviale et/ou citoyenne... je fais un peu de politique, une politique BIEN inspirée, qui sait ce que veulent dire les mots vérité, justice et morale.  On commence par l'écrire. J'ai sous les yeux le journal Le Monde du 28 septembre, journal que je suis un peu du plat pays...  En fait, je suis beaucoup de choses, un travail à temps plein;).... Nous sommes dans la transnationalité. Comme JA sans doute.


 

 

Geen opmerkingen:

Een reactie posten